Valérie Masson-Delmotte

OA - Liste

espace50x10

filtre:
Pablo Servigne

2025

(Non) violence, hérarchie, pouvoir… L’entraide suffit-elle ? Avec Pablo Servigne Partons de l’hypothèse que nous allons vivre des effondrements systémiques. Comment penser l’entraide sans ignorer le pouvoir, la hiérarchie, la peur, ou la violence ? Jusqu’où le “nous” peut-il s’étendre sans se refermer ? Et comment construire de la résilience dans un monde dominé par la dette, les algorithmes et la perte de sens ? Un dialogue avec Pablo Servigne sur la frontière entre lien et domination, entre spiritualité et lucidité, entre survie et vie commune. Interview enregistrée le 20/10/2025
10 ans après : "Comment tout peut s'effondrer ?" Pablo Servigne revient sur l'État du monde. Dans cette interview, Pablo Servigne parle de l'effondrement de la civilisation et de la collapsologie, en soulignant que le collapse est un processus graduel, et non un événement soudain. Selon lui, nous sommes en cours d'effondrement. Pour Pablo Servigne, cultiver nos relations sociales, est un moyen d'amortir les chocs, de s'organiser efficacement lorsque les catastrophes surviennent.
Adaptation Radicale reçoit une nouvelle fois Pablo Servigne à l'occasion de la sortie de son dernier livre "Le réseau des tempêtes. Manifeste pour une entraide populaire ?". Ce livre qui prolonge l'un de ses précédents ouvrages "L'entraide l'autre loi de la jungle" co-écrit avec son ami Gauthier Chapelle, nous intéresse plus particulièrement, parce qu'il nous semble poser les pierres fondatrices pour des réseaux locaux des tempêtes.
Pablo Servigne est invité chez Blast. Il y présente le concept d'adaptation radicale (deep adaptation) de Jem Bendell.
Adaptation Radicale reçoit une nouvelle fois Pablo Servigne à l'occasion de la sortie de son dernier livre "Le réseau des tempêtes. Manifeste pour une entraide populaire ?". Ce livre qui prolonge l'un de ses précédents ouvrages "L'entraide l'autre loi de la jungle" co-écrit avec son ami Gauthier Chapelle, nous intéresse plus particulièrement, parce qu'il nous semble poser les pierres fondatrices pour des réseaux locaux des tempêtes. Nous interrogerons Pablo Servigne à plusieurs voix, pour qu'il nous redonne dans un premier temps sa vision des conditions de fonctionnement de l'entraide, puis nous examinerons avec lui, la dimension politique et éthique de ce qu'il appelle de ses voeux "l'entraide populaire au quotidien" : quel projet sociétal une telle conception propose-t-elle ? Nous terminerons la soirée en explorant ensemble comment concrètement peuvent se mettre en place des réseaux locaux des tempêtes, notamment à partir des pistes que nous mettons en oeuvre avec les jeux de l'entraide que
On sent un ras-le-bol. Pas seulement politique ou social, mais existentiel. Une lassitude qui dépasse les idéologies, une fatigue du monde, une impression que tout a déjà été dit et que rien ne change vraiment. L’écologie, qui devait ouvrir des horizons, semble à son tour s’être usée à force d’alerter. Les rapports se succèdent, les mots deviennent mécaniques, les scénarios s’empilent. Tout peut s'effondrer demain !!! Le futur continue de se dérober, mais le présent, lui, ne s’effondre pas. Il se délite, doucement, comme une corde qui s’effiloche sans rompre. Le système tient. Contre toute attente, il absorbe les crises, les recycle, les digère, il mute. Il trouve toujours une manière de retomber sur ses pieds, quitte à les poser sur le dos des autres. Et cette robustesse du vieux monde produit quelque chose d’étrange : une forme de désenchantement. Non pas la peur du pire, mais le doute devant un effondrement qui ne vient jamais (en tout cas pas de manière brutale, pas chez nous). Et dans ce vide, d’autres
Bilan personnel et intellectuel d’une décennie de réflexion sur nos trajectoires. Peurs, doutes, effondrement, anarchie, révolution, vivant, entraide et sérénité. Biologiste de formation, chercheur indépendant et auteur majeur de la pensée écologique contemporaine, Pablo Servigne revient dix ans après "Comment tout peut s’effondrer" pour faire le point : Qu’est-ce que l’effondrement voulait dire, et que veut-il encore dire aujourd’hui ? Pourquoi nos sociétés semblent conscientes mais inertes ? Et comment rester humain, lucide et vivant dans une époque en perte de sens ?
Pablo Servigne, chercheur, auteur, conférencier donne un conférence pour présenter son cours Sator. Il met en avant l'entraide et le danger que représente la hiérarchie poussée à l'extrême dans notre société moderne. Quel plaisir d'écouter Pablo, merci pour tout ce travail et cette inspiration.
Pablo Servigne s'est fait connaître avec « Comment tout peut s’effondrer » en 2015, un livre devenu un best-seller, fondateur de la collapsologie. Il publie aujourd'hui aux Liens Qui Libèrent, "Le Réseau des tempêtes. Manifeste pour une entraide Populaire". Objectif : braquer les projecteurs sur la participation citoyenne à la gestion de crise, à l’opposé du repli sur soi. Pour lui, le lien social devient dans des moments de crise notre meilleure stratégie et cela peut tout simplement améliorer nos vies. Pablo Servigne nous explique aussi le concept de "supervivalisme" à l'opposé du survivalisme. Bonne écoute avec Impact Positif.
Et si, dans un monde de plus en plus instable et menaçant, la meilleure préparation aux crises était de miser sur nos liens sociaux plutôt que sur les ressources matérielles ? C’est la proposition du Réseau des tempêtes : que chacun se tisse un robuste filet de sécurité sociale, composé d’un maximum de liens avec ses amis, sa famille, ses voisins, les secours, les autorités… ou avec n’importe qui !
La plupart des gens s'entraident en cas de crise. Partout. Tout le temps. En cas de crise grave… Qui aidez-vous en premier ? À qui demandez-vous de l'aide ? Quel est votre réseau ? Les personnes sur qui vous pouvez vraiment compter, et que vous allez aider quoi qu'il arrive, voilà votre réseau. Développez-le avec l'appui du Réseau des Tempêtes.
Et si, dans un monde de plus en plus instable et menaçant, la meilleure préparation aux crises était de miser sur nos liens sociaux plutôt que sur les ressources matérielles ? C’est la proposition du Réseau des tempêtes : que chacun se tisse un robuste filet de sécurité sociale, composé d’un maximum de liens avec ses amis, sa famille, ses voisins, les secours, les autorités… ou avec n’importe qui !
Face à la destruction imbécile et délibérée de notre monde par une clique d’industriels décérébrés, pourquoi avons-nous tant de scrupules à nous mettre en colère, à nommer les coupables et à les mettre hors d’état de nuire ? Pourquoi sommes-nous aussi nuls ? Parce que la colère, c’est mal ? Non, ça, c’est ce qu’on nous a enseigné pour nous rendre dociles et anxieux. Et ça a marché ! Nous avons été amputés d’une émotion vitale, la seule qui pourrait encore nous sauver aujourd’hui, la seule qui ait jamais fait trembler les puissants : la colère. Est-elle réellement aussi mauvaise qu’on le dit ? Est-elle forcément synonyme de violence ? Qui a intérêt à nous faire croire cela ? Le moment n’est-il pas venu de la réhabiliter ? de l’organiser ? d’investir nos colères individuelles dans de grandes “banques de colère” ? Il ne tient qu’aux femmes et aux hommes de bonne volonté de s’emparer de la seule émotion qui puisse changer le monde. Les brutes qui nous assassinent, elles, n’hésitent pas.
Face à la destruction imbécile et délibérée de notre monde par une clique d’industriels décérébrés, pourquoi avons-nous tant de scrupules à nous mettre en colère, à nommer les coupables et à les mettre hors d’état de nuire ? Pourquoi sommes-nous aussi nuls ? Parce que la colère, c’est mal ? Non, ça, c’est ce qu’on nous a enseigné pour nous rendre dociles et anxieux. Et ça a marché ! Nous avons été amputés d’une émotion vitale, la seule qui pourrait encore nous sauver aujourd’hui, la seule qui ait jamais fait trembler les puissants : la colère. Est-elle réellement aussi mauvaise qu’on le dit ? Est-elle forcément synonyme de violence ? Qui a intérêt à nous faire croire cela ? Le moment n’est-il pas venu de la réhabiliter ? de l’organiser ? d’investir nos colères individuelles dans de grandes “banques de colère” ? Il ne tient qu’aux femmes et aux hommes de bonne volonté de s’emparer de la seule émotion qui puisse changer le monde. Les brutes qui nous assassinent, elles, n’hésitent pas.
« Que sont-ils devenus ? » Pour fêter ses 15 ans, Usbek & Rica revient tout au long de l’été sur ces concepts qui ont pris un coup de vieux… ou pas. Après les fab labs, place à la collapsologie. Très en vogue pendant un temps, l’étude de l’effondrement de la civilisation industrielle, qui a brusquement disparu des radars en 2020, n’a peut-être pas dit son dernier mot.
La culture de la compétition généralisée est devenue toxique pour la société et pour la biosphère. Elle constitue un verrou majeur pour bâtir des sociétés plus saines, pacifiées, sensées et équilibrées. Il est toutefois possible de faire sauter ce verrou en s’intéressant aux manières qu’ont les êtres vivants de s’associer. Rencontre avec Pablo Servigne à la Climate House en avril 2025, pour nous parler de son Grand cours "La puissance de l'entraide" avec Sator la plateforme-école des transitions.
Comme le dit souvent Arthur Keller, la peur ne fige pas, elle pousse à l'action. Voici donc quelques propos choquants qui j'espère susciteront de la peur et de l'action chez ceux qui la regarderont. Les intervenants : Cédric Ringenbach, Aurélien Barrau, Jean-Marc Jancovici, Pablo Servigne

2024

Avant de lancer cette chaîne. Nous avions créer un pilote lorsque j'étais encore sur ‪@TarmacRTBF‬ la plate-forme média de la ‪@rtbf‬ qui avait pour vocation d'introduire les limites planétaires à des personnes qui n'y connaissaient rien. "1,5°C" était le titre que nous avions trouvé en symbole avec les accords de paris de la COP 21. Cette vidéo j'ose espérer captivante revient sur le constat global de notre époque : comment notre planète, nos écosystèmes et nos sociétés sont à la croisée des chemins face au changement climatique. Avec des invités comme ‪@jean-marcjancovici2537‬ Pablo Servigne, ‪@RokhayaDialloFR‬ ou encore le climatologue François Massonnet de ‪@universitedelouvain‬ nous dressons un état des lieux sans concessions mais aussi porteur d'espoir.
If modern societies are breaking down, is there a political movement ready to soften the collapse and begin anew? Or do we need new ideas and organisations for collective action? Might a local focus be the only meaningful approach as industrial consumer systems decline? Or is this a period that calls for greater international solidarity with those suffering the most? I think the conversations and initiatives in the Francophone world will provide us many insights on these questions, for a number of reasons, which I’ll come to in a moment.
Et si le suricate possédait le remède à nos angoisses ? C’est le pari de Pablo Servigne et Nathan Obadia dans « Le Pouvoir du suricate », où ce mammifère leur inspire une jonction entre développement personnel et collectif. À la sortie de Comment tout peut s’effondrer, en 2015, Pablo Servigne a découvert dans quel état de sidération son livre a plongé son lectorat. À chacune de ses conférences, quelqu’un dans l’audience surgissait, souvent en état de panique, pour partager ses plus grandes trouilles. Les (...)
Peur de l’avenir, peur de l’échec ou du conflit, stress, éco-anxiété, angoisse existentielle… la peur plane sur nos vies. Sous prétexte qu’elle peut faire paniquer ou tétaniser, nous en sommes arrivés à la mépriser, à l’ignorer, à la fuir, et même à la combattre. Erreur stratégique  ! Car la peur nous constitue et nous fait grandir. Elle est pure énergie. Elle protège, stimule et mobilise. Elle nous sauve la vie. À une condition : en faire une alliée. Pablo Servigne et Nathan Obadia invitent à revisiter notre rapport à la peur. Ils proposent une boussole et une carte pour naviguer dans ce territoire méconnu et choisissent la métaphore du Suricate – ce petit animal du désert posté en sentinelle à l’affût de la moindre menace –, pour désigner notre système interne de détection des dangers.
Pablo Servigne, effondriste, a inventé le concept de collapsologie. Après les crises climatiques, environnementales, financières qu'il annonce, il se réjouit, avec la jeunesse, de passer à un autre monde : “On va pouvoir créer quelque chose de nouveau”.

2023

Chercheur in-terre-dépendant et auteur
« Effondrement: 20 scénarios possibles » met en lumière les divers scénarios d’avenir, de la croissance des technologies vertes à la possibilité de récession, de la gestion démographique à la question cruciale de la neutralité carbone. Thierry Brugvin examine ces facteurs clés avec une rigueur analytique, offrant des estimations réalistes et explorant des futurs plus ou moins désirables.
Aurélien barrau Pablo Servigne écologie
"Des solutions techniques ? Et puis quoi encore! " avec Aurélien Barrau et Pablo Servigne autour de Julien Devaureix. Table ronde organisée lors du festival LIVRES EN MARCHE
Entretien avec Pablo Servigne suite à la conférence "L’entraide en temps de crise : une nécessité", à Clermont-Ferrand en mai 2023.
Janvier 2023 - décembre 2025 Ce projet de recherche opérationnelle vise, à partir d’une série d’études de cas, à mieux comprendre les processus d’entraide qui se mettent en place de façon spontanée en situation de crise ainsi que les rapports entre les réseaux d’entraide et les professionnels de l’aide, afin de donner des pistes de recommandations opérationnelles pour les citoyens/individus et les organisations/acteurs de la réponse en amont, pendant et après les crises.

2022

"C’est foutu." "C’est mort." Ces affirmations, on les entend de plus en plus souvent au regard de l’urgence écologique qui devient chaque jour plus concrète et alarmante. Face à la multiplication des catastrophes naturelles, des pénuries, à l'émergence des pandémies, aux espèces qui disparaissent, beaucoup de personnes n’ont plus d’espoir et sont persuadés que tout va s’effondrer.
Depuis quelques semaines, les actions de désobéissance civile se multiplient en France et à travers le monde. Ainsi, on a pu voir s'enchaîner les images de célèbres tableaux aspergés par des activistes, mais aussi de scientifiques qui se collent au sol ou…
Effondrement, catastrophisme, survivalisme, collapsologie, les mots ne manquent pas pour annoncer la chute qui nous attend à l’issue de la fin du règne du Dieu marché. Pour ne pas se limiter à la stupeur qui engendre souvent l’incapacité d’agir, les serveurs du Comptoir vous proposent de rencontrer Pablo Servigne, co-auteur de Comment tout peut s’effondrer (Seuil, 2015) avec Raphaël Stevens. Pour préserver notre santé mentale, il a aussi participé à l’écriture de L’Entraide : L’autre loi de la jungle (Les liens qui libèrent, 2017) avec Gauthier Chapelle. Un ouvrage qui nous rappelle que notre société individualiste n’est pas irrémédiable et que l’humanité est traversée par la coopération entre ses membres, qu’il s’agit aujourd’hui de favoriser contre vents et marées.
L’entraide est une force horizontale qui rapproche les gens, dont nous avons toujours besoin, et qui a toujours existé. Face aux enjeux sociaux et écologiques majeurs de ce siècle, il est évident que cette force va devenir vitale à toutes les échelles.
A la suite du succès phénoménal de Comment tout peut s’effondrer et d’Une autre fin du monde est possible, la question d’un possible effondrement a envahi les médias, l’époque, les esprits. Les événements catastrophiques qui ponctuent l’actualité prennent place dans ce récit. Mais de quels effondrements s’agit-il ? Peut-on en parler aux enfants ? Comment ? Et aussi, pourquoi les boomers ont-ils tant de mal à comprendre ? Mêlant arguments, expérience et affects, Pablo Servigne et Gauthier Chapelle répondent aux questions des jeunes parents inquiets dans L’effondrement expliqué à nos enfants… et à nos parents, éditions du Seuil.
L’entraide en temps de crise, une nécessité Pablo Servigne, éthologue, auteur et conférencier Avec la crise, les égoïsmes reviennent. C’est une idée reçue. Non seulement ce sont les égoïsmes qui sont à la racine des problèmes, mais c’est plutôt l’entraide qui émerge en temps de catastrophe ! Pourquoi ? Comment ? De quelle entraide parlons-nous ? Et comment est-elle la clé pour traverser les tempêtes ? Une conférence pour nous faire changer de regard, pour retrouver puissance, résilience et espérance. Ancien chercheur en éthologie, Pablo Servigne se consacre, depuis 2008 à l’éducation populaire, à travers des livres, des conférences et des formations. Il est notamment le cocréateur du concept de collapsologie (l’étude des effondrements) et il a co-écrit avec Gauthier Chapelle L’Entraide, l’autre loi de la jungle (LLL, 2017).
Sélection & plus - Pablo Servigne, Gauthier Chapelle, Cédric Chevalier, Laurent Lievens, Timothée Parrique
Editions Seuil - « Papa, c’est quoi cette histoire de fin du monde ? » Entre effondrement du vivant et effondrement possible de notre société… le mot plane comme une ombre au-dessus de notre époque. Mais de quels effondrements s’agit-il ? Peut-on en parler aux enfants sans les angoisser ? Avec quels mots ? Et aussi, pourquoi certains boomers ont-ils tant de mal à comprendre ? Mêlant arguments, expérience et affects, Pablo Servigne et Gauthier Chapelle tissent une discussion à bâtons rompus entre générations avec pour horizon la préservation des liens.
Depuis la publication en 2015 de Comment tout peut s’effondrer (Seuil), Pablo Servigne est devenu une figure majeure de la collapsologie, cette « science appliquée et transdisciplinaire de l’effondrement ». Avec Gauthier Chapelle, agronome et biologiste, ils publient L’Effondrement (et après) expliqué à nos enfants et à nos parents (Seuil, 2022), petit livre grand public mettant en scène des échanges intergénérationnels autour de ce sujet angoissant. Une manière de rétablir le dialogue alors que le clivage entre la génération Greta Thunberg et les « boomers » ne fait que s’accentuer.
Pablo Servigne a défini la collapsologie comme l’étude de l’effondrement de la civilisation industrielle et de ce qui lui succédera. De quoi mettre en récit la catastrophe, dans l’espoir d’un sursaut individuel et collectif.
Et s’il était désormais impossible d’empêcher un emballement climatique et donc d’éviter un effondrement sociétal ? C’est le constat du mouvement d’origine anglaise Deep Adaptation (Adaptation Radicale), qui arrive maintenant en France. Ce jeune mouvement est né après la publication d’un article de Jem Bendell, professeur d’université sur le développement durable à l’université de Cumbria (Grande-Bretagne).
Nous sommes le 4 février 2120. Paris est-il toujours Paris ? Des bisons broutent-ils la prairie autour du Rond-Point ? Et le théâtre est-il désormais une ferme en permaculture, un atelier low-tech ou un centre d’hébergement pour les migrants climatiques ?


Listing généré avec