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Les émissions de gaz à effet de serre liées au tourisme représentent près de 9 % du total mondial, selon une étude publiée mardi dans « Nature Communications ». Ses auteurs mettent en garde contre cette croissance insoutenable pour le climat.
Les rejets issus du pétrole, du gaz et du charbon ont continué d’augmenter cette année, même si le rythme de la hausse ralentit, selon le consortium scientifique Global Carbon Project.
Ce nouvel objectif est l’axe central de la nouvelle contribution que le Royaume-Uni, comme les autres pays signataires de l’accord de Paris sur le climat de 2015, doit déposer à l’ONU d’ici à février. Auparavant le pays s’était engagé à réduire ses émissions de 68 % d’ici à 2030.
L'Europe est en bonne voie pour atteindre ses objectifs de réduction de rejets de gaz à effet de serre d'ici 2030 mais elle doit accélérer pour arriver à la neutralité carbone en 2050, selon le géant énergéticien français Engie. "L'Europe doit accélérer et réduire ses émissions de 4% par an jusqu'en 2050 pour arriver à la neutralité carbone", contre 2% par an entre 2010 et 2020, affirme le groupe mardi dans son scénario de décarbonation de l'Europe à l'horizon 2050.
Le ministère français de la Transition écologique a confirmé lundi son objectif de réduire de moitié les émissions brutes de gaz à effet de serre de la France d'ici 2030 par rapport à 1990. La part des énergies fossiles doit baisser tandis que celle de l'électricité doit augmenter, notamment grâce à la construction de réacteurs nucléaires de nouvelle génération.
La France va fortement réduire sa consommation d'énergies fossiles d'ici 2030, avec en ligne de mire la diminution de 50% de ses émissions brutes de gaz à effet de serre par rapport à 1990, a annoncé le gouvernement en présentant lundi sa feuille de route pour l'énergie et le climat d'ici à 2050.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.
La Commission européenne s'est réjouie jeudi d'une baisse des émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3% en 2023 dans l'UE, par rapport à l'année précédente, grâce au développement des énergies renouvelables.Un niveau d'émissions inférieur de 37% au niveau de 1990"Il s'agit de la plus forte baisse annuelle depuis des décennies, à l'exception de 2020, lorsque le Covid-19 a entraîné une réduction des émissions de 9,8%", souligne Bruxelles dans un communiqué.
"Une autre année. Un autre record…". Les gaz à effet de serre continuent d’atteindre des sommets, laissant un bilan qui, sans changements radicaux, pourrait bien rendre les objectifs climatiques inaccessibles, indique le dernier bulletin de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux décennies.
Dans un rapport publié ce lundi, l’ONU alerte sur de nouvelle augmentations qui entraîneront immanquablement des hausses de température ces prochaines années. Nous éloignant encore de l’objectif de limiter le réchauffement à +2°C.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
L'ONU a tiré l'alarme lundi sur la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre, à deux semaines de l'ouverture de la COP29. Ces engagements mènent à seulement 2,6 % de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43 % préconisés.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
L'Organisation mondiale de la météorologie (OMM) publie ce lundi 28 octobre son relevé annuel des différents gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère. Si le CO2 pèse pour 65 % dans le réchauffement climatique, le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O) sont également impliqués dans le réchauffement planétaire. Un autre rapport de l'ONU-Climat demande aux pays d'augmenter l'ambition de leurs plans climat pour s'aligner sur la trajectoire climatique de l'Accord de Paris.


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décembre 2024

Les émissions de gaz à effet de serre liées au tourisme représentent près de 9 % du total mondial, selon une étude publiée mardi dans « Nature Communications ». Ses auteurs mettent en garde contre cette croissance insoutenable pour le climat.

novembre 2024

Les rejets issus du pétrole, du gaz et du charbon ont continué d’augmenter cette année, même si le rythme de la hausse ralentit, selon le consortium scientifique Global Carbon Project.
Ce nouvel objectif est l’axe central de la nouvelle contribution que le Royaume-Uni, comme les autres pays signataires de l’accord de Paris sur le climat de 2015, doit déposer à l’ONU d’ici à février. Auparavant le pays s’était engagé à réduire ses émissions de 68 % d’ici à 2030.
L'Europe est en bonne voie pour atteindre ses objectifs de réduction de rejets de gaz à effet de serre d'ici 2030 mais elle doit accélérer pour arriver à la neutralité carbone en 2050, selon le géant énergéticien français Engie. "L'Europe doit accélérer et réduire ses émissions de 4% par an jusqu'en 2050 pour arriver à la neutralité carbone", contre 2% par an entre 2010 et 2020, affirme le groupe mardi dans son scénario de décarbonation de l'Europe à l'horizon 2050.
Le ministère français de la Transition écologique a confirmé lundi son objectif de réduire de moitié les émissions brutes de gaz à effet de serre de la France d'ici 2030 par rapport à 1990. La part des énergies fossiles doit baisser tandis que celle de l'électricité doit augmenter, notamment grâce à la construction de réacteurs nucléaires de nouvelle génération.
La France va fortement réduire sa consommation d'énergies fossiles d'ici 2030, avec en ligne de mire la diminution de 50% de ses émissions brutes de gaz à effet de serre par rapport à 1990, a annoncé le gouvernement en présentant lundi sa feuille de route pour l'énergie et le climat d'ici à 2050.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.

octobre 2024

La Commission européenne s'est réjouie jeudi d'une baisse des émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3% en 2023 dans l'UE, par rapport à l'année précédente, grâce au développement des énergies renouvelables.Un niveau d'émissions inférieur de 37% au niveau de 1990"Il s'agit de la plus forte baisse annuelle depuis des décennies, à l'exception de 2020, lorsque le Covid-19 a entraîné une réduction des émissions de 9,8%", souligne Bruxelles dans un communiqué.
"Une autre année. Un autre record…". Les gaz à effet de serre continuent d’atteindre des sommets, laissant un bilan qui, sans changements radicaux, pourrait bien rendre les objectifs climatiques inaccessibles, indique le dernier bulletin de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux décennies.
Dans un rapport publié ce lundi, l’ONU alerte sur de nouvelle augmentations qui entraîneront immanquablement des hausses de température ces prochaines années. Nous éloignant encore de l’objectif de limiter le réchauffement à +2°C.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
L'ONU a tiré l'alarme lundi sur la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre, à deux semaines de l'ouverture de la COP29. Ces engagements mènent à seulement 2,6 % de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43 % préconisés.
Les engagements climatiques actuels des pays mènent à seulement 2,6% de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43% préconisés pour espérer limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, a alerté lundi l'ONU Climat, à deux semaines de la COP29.
L'Organisation mondiale de la météorologie (OMM) publie ce lundi 28 octobre son relevé annuel des différents gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère. Si le CO2 pèse pour 65 % dans le réchauffement climatique, le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O) sont également impliqués dans le réchauffement planétaire. Un autre rapport de l'ONU-Climat demande aux pays d'augmenter l'ambition de leurs plans climat pour s'aligner sur la trajectoire climatique de l'Accord de Paris.