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Face à une multiplication des pollutions de l’eau, des élus choisissent d’inciter directement les agriculteurs présents autour des zones de prélèvement à changer leurs pratiques.
La qualité de l’eau potable est de nouveau en question dans plusieurs communes. Une contamination bactérienne a conduit à une interdiction de la consommation d’eau du robinet. Retour sur les faits et sur les mesures prises pour protéger les habitants.
Un rapport remis en mai au précédent gouvernement, mais jamais publié, préconise plusieurs mesures d’urgence pour protéger les captages d’eau. Aucune n’a encore été mise en œuvre.
Les ressources hydriques sont massivement contaminées par une molécule issue de la dégradation du flufénacet, un pesticide récemment classé perturbateur endocrinien. Les associations demandent son interdiction en urgence.
Selon les informations du Monde, les ressources hydriques françaises seraient massivement touchées par une pollution à l’acide trifluoroacétique (TFA), un «polluant éternel» issu de la dégradation d’un pesticide.
L’incident de l’usine d’Ourovéni intensifie les coupures d’eau dans plusieurs communes de Grande-Terre (Chiconi, Dembéni, Sada, Ouangani, Bandrélé, Chirongui, Bouéni et certains villages de Kani-Kéli).
Des analyses effectuées par l'intercommunale bruxelloise Vivaqua font état de nombreuses traces d'acide trifluoroacétique (TFA) dans l'eau potable de Bruxelles, comme l'ont indiqué la RTBF et Bruzz.
Les organisations environnementales luxembourgeoises réclament une valeur limite pour les produits chimiques TFA dans l'eau. La commission de l'environnement a discuté du sujet cette semaine.
Le TFA est un composé perfluoré moins toxique que d'autres PFAS mais qui persiste lui aussi dans l'environnement.
Pour la première fois, l’acide trifluoroacétique (TFA), le plus petit des 'polluants éternels', a été analysé sur...
Un dérivé des PFAS a été détecté en concentration importante dans de l'eau potable en Wallonie.
Une étude menée par l’association Générations futures répertorie cinquante-six molécules issues de la dégradation de pesticides susceptibles d’être présentes dans les eaux souterraines françaises et ne faisant l’objet d’aucun suivi par les autorités sanitaires, pourtant averties par les fabricants des risques encourus.
Des dizaines de molécules issues de la dégradation de pesticides, potentiellement toxiques, ne font l’objet d’aucune surveillance de la part des autorités, dénonce un rapport publié ce mardi 15 octobre par l’ONG Générations Futures.
Générations Futures révèle, dans un rapport exclusif publié ce jour, une surveillance de l’eau très insuffisante et une sous-estimation importante de la pollution des eaux en France.