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Les ressources hydriques sont massivement contaminées par une molécule issue de la dégradation du flufénacet, un pesticide récemment classé perturbateur endocrinien. Les associations demandent son interdiction en urgence.
A mesure que le réchauffement se renforcera, les conséquences sur les ressources hydriques d’un modèle agricole dopé aux intrants de synthèse deviendront de plus en plus sévères, prévient Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Spécialiste des enjeux de sécurité liés à l’eau, le chercheur Franck Galland met en évidence, dans une tribune au « Monde », l’impact de la raréfaction de l’eau sur le secteur technologique, une industrie qui consomme beaucoup de ressources hydriques.
Les grands lacs rétrécissent, le débit de fleuves puissants faiblit, des sources se tarissent... Les effets conjugués du changement climatique et des activités humaines se constatent à l’œil nu sur la terre, mais qu’en est-il en dessous ? Les auteurs du rapport 2022 de l’Organisation des Nations unies (ONU) sur les ressources hydriques se sont penchés cette fois sur les ultimes réserves de la planète : les eaux souterraines. L’objectif de leur copieux document, publié à l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, est de « Rendre visible l’invisible », comme l’indique son titre. Il doit être lancé depuis le Forum mondial de l’eau qui se tient dans la ville nouvelle de Diamniadio près de Dakar, au Sénégal, du 21 au 26 mars.
Une région est dite en stress hydrique quand, pour la population qui vit sur le territoire, l’eau disponible est en pénurie ou proche de la pénurie. Vous serez peut-être surpris d’apprendre que la Belgique est très mal positionnée quand on mesure le stress hydrique