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Concevoir des objets utiles, sobres, faciles à réparer: depuis peu, des écoles d'ingénieurs initient leurs étudiants aux "low-techs", des pratiques visant à faire mieux avec moins, à rebours de l'image de haute technicité associée au métier.Derrière cet anglicisme, construit en opposition aux "high-techs", se cache un mouvement né dans les années 1970 qui questionne le "tout technologie", avec en toile de fond l'épuisement des ressources naturelles.
Les sociétés humaines se sont historiquement organisées à partir de l’exploitation de la matière organique sous trois formes : alimentaire, biomasse combustible, fossile. Compte tenu de la descente énergétique fossile, la seule transition énergétique sérieuse et responsable est la relocalisation au plus près des autres formes de matière organique, l’alimentation et le bois. Ne serait-ce pas là l’inévitable de la décroissance urbaine et surtout le dessein essentiel d’un réempaysannement des sociétés, basé sur d’autres énergies de vie ?
Vivre en autonomie dans le désert mexicain grâce aux low tech, tel est le défi relevé par Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz.
Une expérience de 4 mois pour repenser notre rapport au vivant grâce aux low-tech
Ce jeudi 28 décembre, Élisabeth Quin reçoit François Gemenne, chercheur et spécialiste de la gouvernance du climat, pour faire un bilan environnemental de ces douze derniers mois. 2023 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée, mais également l'année du record mondial de consommation de charbon, ou encore celle de la COP28 aux Émirats arabes unis. Elle a été marquée par la notion de sobriété — consentie ou subie — pour ralentir le réchauffement climatique, mais aussi par les différentes réactions face à l'urgence climatique. De l'activisme écologique à la désobéissance civile, en passant par le déni des climato-sceptiques : a-t-on encore le temps de convaincre les citoyens ? Nous poursuivrons ces discussions avec l'exploratrice low-tech Caroline Pultz, qui a passé quatre mois en autonomie totale dans le désert mexicain. L'objectif : prouver que les techniques sobres en énergie sont viables et peuvent accompagner la lutte contre le dérèglement climatique, avec une empreinte environnementale favorab
Pour Caroline, éco-designeuse, et Corentin, ingénieur, on peut, grâce aux low-tech, ces techniques peu gourmandes en ressources, vivre même dans les milieux les plus arides. Pour le prouver, ils vont bâtir tout un écosystème destiné à vivre en autonomie pendant quatre mois dans le désert. Four-parabole, toilettes-ressourcerie ou dessalinisateurs solaires… une préparation dans les moindres détails pour une mission hors norme.
Yggdrasil Magazine Boutique
Pour ce troisième épisode, nous partons à la découverte du monde de la Low Tech, avec Jacques Tiberi, rédacteur en chef du Low Tech Journal. On y parle de ce qu'est la Low Tech en essayant de vous partager quelques exemples, et on vous présente comment elle va nécessairement être amenée à se développer dans les années à venir. De quoi vous donner quelques récits de ce que pourrait être notre monde de demain... Retrouvez le Low Tech Journal sur www.lowtechjournal.fr
Avec le photovoltaïque, le petit éolien constitue l'un des moyens les plus simples pour produire sa propre électricité. Dans ce livre, Tristant Urtizberea nous donne toutes les clés pour installer chez soi une petite éolienne performante et abordable. Il met plus particulièrement l'accent sur l'autoconstruction d'une éolienne Pigott dont il présente les étapes pas à pas. Conçues avec un design simple, des matériaux robustes et des techniques accessibles à tous, ces éoliennes autoconstruites ont une durée de vie quasi infinie et sont l'incarnation même de l'anti-obsolescence.
Impulsée en 2007 l’association Tripalium développe les stages d’autoconstruction d'éolienne de type piggott.
Low-Tech Liège se donne pour mission de partager les solutions et la démarche low-tech au départ de la province de Liège et de manière plus large en Wallonie. Mais avant de poursuivre cette présentation, il est nécessaire d’expliquer ce qu’est la démarche low-tech.
Dans la ville de Nantes, aux rencontres organisées à la fin du mois de juin par l’association APALA, censée mettre en avant la Low Tech, une discussion publique s’est muée en festival du malaise : Yves Cochet, un ancien ministre de l’Aménagement du territoire (époque Jospin) discutera avec Ferghane Azihari, auteur récent d’un affligeant texte (Les écologistes contre la modernité) obsédé par la croissance économique, aveugle à la raréfaction grandissante de ressources essentielles, qui considère que tout ce qui s’exprime à contre courant de la mondialisation "constitue un profond désintérêt pour le sort de l’humanité ». Certains animateurs de la "fresque des low techs" nous ont transmis cette tribune, qui met le doigt sur les différents processus de dévoiement/détournement des critiques de la technique.
Solenne Marry, dr en urbanisme à l'Ademe, nous livre une vision très holistique des low tech appliquées à l'architecture, une approche de sobriété et résilience
Rechercher par domaine ou trouvez les initiatives près de chez vous.
Balladez-vous sur notre plateforme collaborative de solutions low-techs
Dans « Perspectives Low-Tech. Comment vivre, faire et s’organiser autrement ? » Quentin Mateus et Gauthier Roussilhe s’interrogent : la low tech peut-elle conserver son potentiel émancipateur ou est-elle condamnée à être dévoyée.
Plus nous avançons dans un siècle incertain, plus nous prenons la mesure de la fragilité des systèmes techniques qui structurent nos modes de vie. La low-tech, qu’on oppose généralement à la high-tech, interroge nos besoins dans un monde contraint. S’il n’est pas dépourvu d’ambiguïtés, ce mouvement dynamique pourrait bien participer à reconstituer des cultures techniques et conviviales, d'autres manières de vivre et de s’organiser. Qu’il soit rattrapé par des logiques marchandes et autoritaires, ou qu’il constitue un levier d’émancipation, la question que pose en creux le mouvement low-tech est celle des chemins techniques à prendre pour refonder nos sociétés sur des bases viables, justes et désirables.
The deployment of low-tech requires taking into account the human factor and changing design practices.
Cela fait des décennies que l’on s’inquiète de la déplétion des ressources notamment minérales, depuis le rapport Meadows. Plus récemment les travaux d’Ugo Bardi avec sa courbe de Sénèque ont attiré l’attention sur la contradiction entre les besoins en métaux de la transition énergétique et l’état des ressources naturelles exploitables....
Au Low-tech Lab, nous employons le terme low-tech pour qualifier des objets, des systèmes, des techniques, des services, des savoir-faire, des pratiques, des modes de vie et même des courants de pensée, qui intègrent la technologie selon trois grands principes : Utile. Accessible. Durable. Notre mission : les partager au plus grand nombre.
Face aux effets et dégâts engendrés par certaines technologies, comment imaginer des systèmes technologiques plus sobres, plus durables, plus accessibles, plus simples – en bref, des « low tech » ? Si les low tech passionnent de plus en plus de monde, peuvent-elles pour autant passer à l’échelle ? Pour le dire autrement, sont-elles « scalables » ? Peuvent-elles devenir un sujet captivant pour le grand public, une préoccupation pour les institutions, des produits sur le marché ?
Les low-techs s'affichent comme un idéal de sobriété : moins de technologies, de ressources, de déchets... Ce mouvement popularisé par des passionnés en quête d'autonomie infuse aujourd'hui dans les réflexions sur l'innovation et l'ingénierie. Les pionniers de la low-tech nous réapprennent à cibler ce dont nous avons réellement besoin tout en s'adaptant aux ressources que notre environnement peut offrir.
Pour répondre objectivement à la question : "le logiciel libre peut-il nous accompagner au quotidien ?", nous devions tester ces solutions, dans le cadre privé et professionnel. C’est ce que nous avons fait.
Fours solaires, maisons en terre-paille, vélomobiles... Les low-tech plaisent. Ce projet politique radical ne doit pas être récupéré par de grands groupes guidés par la rentabilité, prévient l’auteur de cette tribune.
Vélos cargos, fours solaires… Jusqu’au 3 juillet, dans le Finistère, un « festival de la low-tech » vise à faire découvrir au grand public ces technologies sobres en ressources et en énergie.
The Belgian Institute for Sustainable IT is a think and do tank founded in 2020, based on its French equivalent the INR. Our aim is to bring together Belgian companies, organizations and individuals, and help them succeed their digital transition while reducing the environmental and social footprint of their IT services and usages. Thanks to the support of our members and of public authorities, we promote digital technologies and services that are more sustainable, inclusive and ethical.
L’Institut du Numérique Responsable suisse est une association sans but lucratif fondée en 2020 en partenariat avec l’INR française et l’ISIT belge. Association à but non lucratif créée en 2020, l’INR a pour objet d’être un lieu de réflexion sur les trois enjeux clés du numérique responsable : la réduction de l’empreinte (économique, sociale et environnementale) du numérique, la capacité du numérique à réduire l’empreinte (économique, sociale et environnementale) de l’humanité, et la création de valeur durable / innovation responsable via le numérique pour réussir l’e-inclusion de tous.
L’INR, est un think and do tank créé en 2018. Il émane de la fusion du club du Club Green IT, en association loi 1901 à but non lucratif. L’objectif étant d’ouvrir notre démarche au plus grand nombre et sur des thématiques plus larges que l’impact environnemental du numérique. le Club Green IT est devenu l’Institut du Numérique Responsable (INR).
La question pose le choix de la frugalité ou de la technologie. Même si la réponse peut paraître évidente, elle est néanmoins contrastée, en fonction des besoins à satisfaire. La solution réside très certainement dans un équilibre savamment étudié entre les deux approches. Analyse.
La smart city « n’est ni une évidence, ni une fatalité« , affirme Philippe Bihouix, dans un rapport publié par le Lab de l’ESS.


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juin 2024

Concevoir des objets utiles, sobres, faciles à réparer: depuis peu, des écoles d'ingénieurs initient leurs étudiants aux "low-techs", des pratiques visant à faire mieux avec moins, à rebours de l'image de haute technicité associée au métier.Derrière cet anglicisme, construit en opposition aux "high-techs", se cache un mouvement né dans les années 1970 qui questionne le "tout technologie", avec en toile de fond l'épuisement des ressources naturelles.

mars 2024

Les sociétés humaines se sont historiquement organisées à partir de l’exploitation de la matière organique sous trois formes : alimentaire, biomasse combustible, fossile. Compte tenu de la descente énergétique fossile, la seule transition énergétique sérieuse et responsable est la relocalisation au plus près des autres formes de matière organique, l’alimentation et le bois. Ne serait-ce pas là l’inévitable de la décroissance urbaine et surtout le dessein essentiel d’un réempaysannement des sociétés, basé sur d’autres énergies de vie ?

février 2024

Vivre en autonomie dans le désert mexicain grâce aux low tech, tel est le défi relevé par Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz.

décembre 2023

Une expérience de 4 mois pour repenser notre rapport au vivant grâce aux low-tech
Ce jeudi 28 décembre, Élisabeth Quin reçoit François Gemenne, chercheur et spécialiste de la gouvernance du climat, pour faire un bilan environnemental de ces douze derniers mois. 2023 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée, mais également l'année du record mondial de consommation de charbon, ou encore celle de la COP28 aux Émirats arabes unis. Elle a été marquée par la notion de sobriété — consentie ou subie — pour ralentir le réchauffement climatique, mais aussi par les différentes réactions face à l'urgence climatique. De l'activisme écologique à la désobéissance civile, en passant par le déni des climato-sceptiques : a-t-on encore le temps de convaincre les citoyens ? Nous poursuivrons ces discussions avec l'exploratrice low-tech Caroline Pultz, qui a passé quatre mois en autonomie totale dans le désert mexicain. L'objectif : prouver que les techniques sobres en énergie sont viables et peuvent accompagner la lutte contre le dérèglement climatique, avec une empreinte environnementale favorab

novembre 2023

Pour Caroline, éco-designeuse, et Corentin, ingénieur, on peut, grâce aux low-tech, ces techniques peu gourmandes en ressources, vivre même dans les milieux les plus arides. Pour le prouver, ils vont bâtir tout un écosystème destiné à vivre en autonomie pendant quatre mois dans le désert. Four-parabole, toilettes-ressourcerie ou dessalinisateurs solaires… une préparation dans les moindres détails pour une mission hors norme.
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octobre 2023

Pour ce troisième épisode, nous partons à la découverte du monde de la Low Tech, avec Jacques Tiberi, rédacteur en chef du Low Tech Journal. On y parle de ce qu'est la Low Tech en essayant de vous partager quelques exemples, et on vous présente comment elle va nécessairement être amenée à se développer dans les années à venir. De quoi vous donner quelques récits de ce que pourrait être notre monde de demain... Retrouvez le Low Tech Journal sur www.lowtechjournal.fr

septembre 2023

Avec le photovoltaïque, le petit éolien constitue l'un des moyens les plus simples pour produire sa propre électricité. Dans ce livre, Tristant Urtizberea nous donne toutes les clés pour installer chez soi une petite éolienne performante et abordable. Il met plus particulièrement l'accent sur l'autoconstruction d'une éolienne Pigott dont il présente les étapes pas à pas. Conçues avec un design simple, des matériaux robustes et des techniques accessibles à tous, ces éoliennes autoconstruites ont une durée de vie quasi infinie et sont l'incarnation même de l'anti-obsolescence.
Impulsée en 2007 l’association Tripalium développe les stages d’autoconstruction d'éolienne de type piggott.
Low-Tech Liège se donne pour mission de partager les solutions et la démarche low-tech au départ de la province de Liège et de manière plus large en Wallonie. Mais avant de poursuivre cette présentation, il est nécessaire d’expliquer ce qu’est la démarche low-tech.

juin 2023

Dans la ville de Nantes, aux rencontres organisées à la fin du mois de juin par l’association APALA, censée mettre en avant la Low Tech, une discussion publique s’est muée en festival du malaise : Yves Cochet, un ancien ministre de l’Aménagement du territoire (époque Jospin) discutera avec Ferghane Azihari, auteur récent d’un affligeant texte (Les écologistes contre la modernité) obsédé par la croissance économique, aveugle à la raréfaction grandissante de ressources essentielles, qui considère que tout ce qui s’exprime à contre courant de la mondialisation "constitue un profond désintérêt pour le sort de l’humanité ». Certains animateurs de la "fresque des low techs" nous ont transmis cette tribune, qui met le doigt sur les différents processus de dévoiement/détournement des critiques de la technique.
Solenne Marry, dr en urbanisme à l'Ademe, nous livre une vision très holistique des low tech appliquées à l'architecture, une approche de sobriété et résilience
Rechercher par domaine ou trouvez les initiatives près de chez vous.
Balladez-vous sur notre plateforme collaborative de solutions low-techs

avril 2023

Dans « Perspectives Low-Tech. Comment vivre, faire et s’organiser autrement ? » Quentin Mateus et Gauthier Roussilhe s’interrogent : la low tech peut-elle conserver son potentiel émancipateur ou est-elle condamnée à être dévoyée.

mars 2023

Plus nous avançons dans un siècle incertain, plus nous prenons la mesure de la fragilité des systèmes techniques qui structurent nos modes de vie. La low-tech, qu’on oppose généralement à la high-tech, interroge nos besoins dans un monde contraint. S’il n’est pas dépourvu d’ambiguïtés, ce mouvement dynamique pourrait bien participer à reconstituer des cultures techniques et conviviales, d'autres manières de vivre et de s’organiser. Qu’il soit rattrapé par des logiques marchandes et autoritaires, ou qu’il constitue un levier d’émancipation, la question que pose en creux le mouvement low-tech est celle des chemins techniques à prendre pour refonder nos sociétés sur des bases viables, justes et désirables.

janvier 2023

The deployment of low-tech requires taking into account the human factor and changing design practices.

décembre 2022

Cela fait des décennies que l’on s’inquiète de la déplétion des ressources notamment minérales, depuis le rapport Meadows. Plus récemment les travaux d’Ugo Bardi avec sa courbe de Sénèque ont attiré l’attention sur la contradiction entre les besoins en métaux de la transition énergétique et l’état des ressources naturelles exploitables....

septembre 2022

Au Low-tech Lab, nous employons le terme low-tech pour qualifier des objets, des systèmes, des techniques, des services, des savoir-faire, des pratiques, des modes de vie et même des courants de pensée, qui intègrent la technologie selon trois grands principes : Utile. Accessible. Durable. Notre mission : les partager au plus grand nombre.

juillet 2022

Face aux effets et dégâts engendrés par certaines technologies, comment imaginer des systèmes technologiques plus sobres, plus durables, plus accessibles, plus simples – en bref, des « low tech » ? Si les low tech passionnent de plus en plus de monde, peuvent-elles pour autant passer à l’échelle ? Pour le dire autrement, sont-elles « scalables » ? Peuvent-elles devenir un sujet captivant pour le grand public, une préoccupation pour les institutions, des produits sur le marché ?
Les low-techs s'affichent comme un idéal de sobriété : moins de technologies, de ressources, de déchets... Ce mouvement popularisé par des passionnés en quête d'autonomie infuse aujourd'hui dans les réflexions sur l'innovation et l'ingénierie. Les pionniers de la low-tech nous réapprennent à cibler ce dont nous avons réellement besoin tout en s'adaptant aux ressources que notre environnement peut offrir.
Pour répondre objectivement à la question : "le logiciel libre peut-il nous accompagner au quotidien ?", nous devions tester ces solutions, dans le cadre privé et professionnel. C’est ce que nous avons fait.

juin 2022

Fours solaires, maisons en terre-paille, vélomobiles... Les low-tech plaisent. Ce projet politique radical ne doit pas être récupéré par de grands groupes guidés par la rentabilité, prévient l’auteur de cette tribune.
Vélos cargos, fours solaires… Jusqu’au 3 juillet, dans le Finistère, un « festival de la low-tech » vise à faire découvrir au grand public ces technologies sobres en ressources et en énergie.

février 2022

The Belgian Institute for Sustainable IT is a think and do tank founded in 2020, based on its French equivalent the INR. Our aim is to bring together Belgian companies, organizations and individuals, and help them succeed their digital transition while reducing the environmental and social footprint of their IT services and usages. Thanks to the support of our members and of public authorities, we promote digital technologies and services that are more sustainable, inclusive and ethical.
L’Institut du Numérique Responsable suisse est une association sans but lucratif fondée en 2020 en partenariat avec l’INR française et l’ISIT belge. Association à but non lucratif créée en 2020, l’INR a pour objet d’être un lieu de réflexion sur les trois enjeux clés du numérique responsable : la réduction de l’empreinte (économique, sociale et environnementale) du numérique, la capacité du numérique à réduire l’empreinte (économique, sociale et environnementale) de l’humanité, et la création de valeur durable / innovation responsable via le numérique pour réussir l’e-inclusion de tous.
L’INR, est un think and do tank créé en 2018. Il émane de la fusion du club du Club Green IT, en association loi 1901 à but non lucratif. L’objectif étant d’ouvrir notre démarche au plus grand nombre et sur des thématiques plus larges que l’impact environnemental du numérique. le Club Green IT est devenu l’Institut du Numérique Responsable (INR).

janvier 2022

La question pose le choix de la frugalité ou de la technologie. Même si la réponse peut paraître évidente, elle est néanmoins contrastée, en fonction des besoins à satisfaire. La solution réside très certainement dans un équilibre savamment étudié entre les deux approches. Analyse.
La smart city « n’est ni une évidence, ni une fatalité« , affirme Philippe Bihouix, dans un rapport publié par le Lab de l’ESS.