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avril 2024

Over the past 50 years, humans have extracted the Earth’s groundwater stocks at a steep rate, largely to fuel global agro-economic development. Given society’s growing reliance on groundwater, we explore ‘peak water limits’ to investigate whether, when and where humanity might reach peak groundwater extraction. Using an integrated global model of the coupled human–Earth system, we simulate groundwater withdrawals across 235 water basins under 900 future scenarios of global change over the twenty-first century. Here we find that global non-renewable groundwater withdrawals exhibit a distinct peak-and-decline signature, comparable to historical observations of other depletable resources (for example, minerals), in nearly all (98%) scenarios, peaking on average at 625 km3 yr−1 around mid-century, followed by a decline through 2100. The peak and decline occur in about one-third (82) of basins, including 21 that may have already peaked, exposing about half (44%) of the global population to groundwater stress. Most
Global projections of macroeconomic climate-change damages typically consider impacts from average annual and national temperatures over long time horizons1–6. Here we use recent empirical findings from more than 1,600 regions worldwide over the past 40 years to project sub-national damages from temperature and precipitation, including daily variability and extremes7,8. Using an empirical approach that provides a robust lower bound on the persistence of impacts on economic growth, we find that the world economy is committed to an income reduction of 19% within the next 26 years independent of future emission choices (relative to a baseline without climate impacts, likely range of 11–29% accounting for physical climate and empirical uncertainty). These damages already outweigh the mitigation costs required to limit global warming to 2 °C by sixfold over this near-term time frame and thereafter diverge strongly dependent on emission choices. Committed damages arise predominantly through changes in average tempe

mars 2024

Evidence shows a continuing increase in the frequency and severity of global heatwaves1,2, raising concerns about the future impacts of climate change and the associated socioeconomic costs3,4. Here we develop a disaster footprint analytical framework by integrating climate, epidemiological and hybrid input–output and computable general equilibrium global trade models to estimate the midcentury socioeconomic impacts of heat stress. We consider health costs related to heat exposure, the value of heat-induced labour productivity loss and indirect losses due to economic disruptions cascading through supply chains. Here we show that the global annual incremental gross domestic product loss increases exponentially from 0.03 ± 0.01 (SSP 245)–0.05 ± 0.03 (SSP 585) percentage points during 2030–2040 to 0.05 ± 0.01–0.15 ± 0.04 percentage points during 2050–2060. By 2060, the expected global economic losses reach a total of 0.6–4.6% with losses attributed to health loss (37–45%), labour productivity loss (18–37%) and i

février 2024

Le débat sur les nouveaux OGM est biaisé par les lobbies qui défendent toute une série d’intérêts économiques. A la faveur de sa présidence européenne, la Belgique doit se positionner dans ce dossier en facilitant l’élaboration d’une politique européenne qui donne la priorité à l’équité, à l’autonomie des agriculteur.e.s, à la santé publique et à l’environnement.
Pour répondre aux objectifs climatiques, le secteur financier privé doit aussi participer massivement en s’alignant sur cette priorité et contribuer ainsi à la transformation de l’ensemble de l’économie.
Anthropogenic emissions drive global-scale warming yet the temperature increase relative to pre-industrial levels is uncertain. Using 300 years of ocean mixed-layer temperature records preserved in sclerosponge carbonate skeletons, we demonstrate that industrial-era warming began in the mid-1860s, more than 80 years earlier than instrumental sea surface temperature records. The Sr/Ca palaeothermometer was calibrated against ‘modern’ (post-1963) highly correlated (R2 = 0.91) instrumental records of global sea surface temperatures, with the pre-industrial defined by nearly constant (<±0.1 °C) temperatures from 1700 to the early 1860s. Increasing ocean and land-air temperatures overlap until the late twentieth century, when the land began warming at nearly twice the rate of the surface oceans. Hotter land temperatures, together with the earlier onset of industrial-era warming, indicate that global warming was already 1.7 ± 0.1 °C above pre-industrial levels by 2020. Our result is 0.5 °C higher than IPCC estim

janvier 2024

L'édition 2024 du Forum économique mondial, grand rendez-vous annuel des dirigeants économiques et politiques, s’est ouvert à Davos (Suisse) avec un but : «rebâtir la confiance» et «améliorer l’état du monde». Dans un entretien à Vert, l’économiste et directeur de l’Institut Rousseau Nicolas Dufrêne démontre qu’il n’y a rien à attendre de ce sommet commercial.

octobre 2023

Cette note est née d'une curiosité personnelle : que croire de tout ce qu'on entend autour de soi, et qu'on pense parfois par devers soi, sur les cancers (de plus en plus fréquents, de plus en plus de tel type de cancer, etc.) ? Elle n'a donc aucune prétention explicative mais vise à faire le point sur les grandes tendances quantitatives : comment ont évolué le nombre de cancers et les taux d'incidence, globalement et pour les cancers les plus fréquents, en distinguant les femmes et les hommes ? 1
AFFICHES - La question climatique et celle liée à l’avenir au sens large du terme sont au centre des préoccupations des jeunes qui ne vont pas bien et se sentent peu entendu e s par le monde politique. Santé, climat, perception du monde politique et vision de l’avenir. Ce sont les quatre thématiques que Latitude Jeunes et Solidaris ont voulu aborder auprès des 18-25 ans afin de mieux comprendre ce que vivent aujourd’hui les jeunes Belges francophones et quelles sont leurs principales préoccupations.
Cette enquête a été réalisée par l’Institut Solidaris en partenariat avec l’asbl Latitude Jeunes, Organisation de Jeunesse partenaire de Solidaris. Latitude Jeunes et Solidaris souhaitaient lancer cette enquête pour plusieurs raisons : - écouter la parole des jeunes belges francophones, - interroger leur rapport à la politique, - se faire le porte-voix de leurs préoccupations et de leurs demandes à l’approche des élections de 2024. Nous avons classé les résultats obtenus selon 4 grands axes : la santé, le climat, la politique, l’avenir.
La question climatique et celle liée à l’avenir au sens large du terme sont au centre des préoccupations des jeunes qui ne vont pas bien et se sentent peu entendu e s par le monde politique. Santé, climat, perception du monde politique et vision de l’avenir. Ce sont les quatre thématiques que Latitude Jeunes et Solidaris ont voulu aborder auprès des 18-25 ans afin de mieux comprendre ce que vivent aujourd’hui les jeunes Belges francophones et quelles sont leurs principales préoccupations.

septembre 2023

Les présidents du PS, MR et Ecolo ont négocié en secret ces derniers mois un accord pour une réforme des institutions francophones, rapportent Le Soir et Sudinfo jeudi.
L’interminable controverse sur les dangers du glyphosate, entre les agences réglementaires et les institutions scientifiques, nourrit le relativisme et la défiance, estime Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Les aspirations à vivre en maison ne semblent pas faiblir, alors même que les exigences du Zéro artificialisation nette freinent la production de logements individuels. Comment résoudre l’équation et concilier la dimension sociale avec les impératifs environnementaux ?

août 2023

Sofia s'adresse aux agents publics, aux chercheurs, aux étudiants et aux citoyens qui s'interrogent sur l’intérêt général et la meilleure façon de le défendre, qui souhaitent comprendre comment fonctionnent concrètement les administrations et les services publics, et comment ils pourraient mieux fonctionner encore à l’avenir. Dernier kilomètre, territorialisation, co-construction, transition écologique : la communication autour de l'action publique mobilise aujourd'hui des notions riches et exigeantes qui s'épuisent de ne pas être mises en valeur et traduites dans des initiatives concrètes.