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Avec ses petites unités de stockage couplées à des bornes de recharge, le groupe NW est le leader français. Son président, Jean-Christophe Kerdelhué, explique en quoi la flexibilité apportée par ce maillage peut appuyer la décarbonation.
Les gouvernements du G7 ont appelé mardi à multiplier par six les capacités mondiales de stockage d'électricité d'ici 2030, par rapport à 2022, une croissance indispensable à l'essor des énergies renouvelables attendu pour lutter contre le réchauffement climatique.
Le stockage de l'électricité par batteries, indispensable à l'essor des énergies et transports sans gaz à effet de serre, connait une croissance mondiale inédite.
Des chercheurs japonais ont développé une batterie à air innovante, solide et rechargeable, qui promet une plus grande sécurité et un impact environnemental réduit.
L'installation devrait être opérationnelle à partir de 2024.
Projets de mines de lithium au Portugal, en Serbie, au Chili, aux Etats-Unis: la planète est assoiffée de métaux. Ils favorisent le stockage et le transport de l'électricité à l'intérieur des batteries qui devraient permettre de se passer des énergies fossiles dans les moteurs thermiques et de lutter ainsi contre le réchauffement climatique.
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- Afp
Mise en service en juin et inaugurée vendredi, cette centrale autonome fonctionne sur batterie et peut stocker 10 mégawattheure (MWh) d'électricité, ce qui représente "deux heures de consommation d'une ville comme Corte" et réinjecter sur un an 1,8 gigawattheures (GWh) d'électricité dans le réseau électrique lors des pics de consommation, explique l'entreprise qui présente le stockage de l'électricité comme "un enjeu prioritaire pour la transition énergétique".
Grâce aux sources d’énergie renouvelables, au stockage de carbone, à l’hydrogène, « nous pensons que nous pouvons parvenir à une production d’énergie totalement propre d’ici à 2035 », a déclaré aux télévisions britanniques le premier ministre, qui accueillera dans un mois la COP 26 à Glasgow (Ecosse).
L’Europe s’est par exemple fixé cette cible pour 2050. Alors qu’aujourd’hui elle émet encore 3,3 milliards de tonnes de CO2 (2019), ses émissions futures devront être intégralement compensées par le stockage naturel ou artificiel. Il ne s’agit plus de diviser par 4 nos émissions mais de les diviser par un facteur 6 à 8. C’est dire l’ampleur de la tâche...
C'est dans les vieilles casseroles qu'on fait les meilleures soupes, dit-on. Et s'il en allait de même pour les technologies? Les modèles les plus éprouvés ne présentent-ils pas encore un sérieux potentiel de développement et de progrès? Prenez, par exemple, les piles utilisant du zinc, qui existent quasiment depuis que le monde est électrique. Elles tirent leur énergie de l'oxydation du zinc avec l'oxygène de l'air ambiant. Ces piles présentent le double avantage de fournir de hautes densités énergétiques pour un prix très modique.
Et sans le nucléaire, on fait comment? Cette question, le consortium public-privé Estor-Lux s'est mis en tête de l'aborder frontalement. Composé de Rent-a-Port Green Energy (une joint-venture entre Ackermans & van Haaren, sa filiale CFE, et Bewatt), des véhicules d'investissement wallons SRIW Environnement et Socofe ainsi que du véhicule de développement luxembourgeois Idelux, Estor-Lux dévoile ce lundi la concrétisation d'un ambitieux projet: la construction d’un premier parc de batteries de stockage électrique de 10MW/20 MWh à Bastogne.
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Les bunkers destinés au stockage des déchets légèrement radioactifs sont pleins. Si rien n’est fait rapidement, le traitement de ces déchets pourrait être mis à l’arrêt, prévient Belgoprocess – la société publique en charge du retraitement des déchets nucléaires en Belgique – dans son rapport annuel.
- La Libre
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