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La peur de perdre son travail, puis sa santé. Cinquante ans après l'amiante, un nouveau scandale sanitaire se profile dans les usines : l'exposition des ouvriers aux produits chimiques PFAS, ces "polluants éternels".
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé vouloir s'allier aux États-Unis pour puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Caracas a annoncé dimanche soir que les États-Unis ont révoqué les licences "des entreprises transnationales de pétrole et gaz" qui avaient obtenu le droit d'opérer dans le pays malgré les sanctions et l'embargo pétrolier destinés à évincer le président Nicolas Maduro du pouvoir. Loin d'être une surprise, cette mesure de Donald Trump confirme que le nouveau président américain cherche à asphyxier économiquement le Venezuela et faire tomber M. Maduro.
Des concentrations très élevées de 1,2,4-triazole ont été trouvées dans les eaux usées d'une entreprise d'Ypres. Il s'agit d'un produit souvent utilisé comme fongicide. Les rejets de l'entreprise concernée contribuent "de manière significative" au dépassement de la norme dans l'eau potable du bassin "De Blankaart", en Flandre occidentale. Selon le ministre de l'Environnement et de l'Agriculture, Jo Brouns, il n'y a pas de risque pour la santé, mais des mesures ciblées seront prises et il a pris contact avec les ministres wallons et français compétents.
Depuis 2016, les banques belges ont accordé plus de 20 milliards d’euros de prêts et de souscriptions à des entreprises posant un grand risque de déforestation.
La lettre est signée par un certain Stanislas Parmentier, le directeur général des services de l’ambassade des États-Unis à Paris, selon l’annuaire du département d’État américain. En temps normal, cette affaire serait restée sous les radars, mais on est en plein trumpisme et la missive révélée par Les Echos, vendredi 28 mars, dont Le Monde a obtenu copie, enjoint aux entreprises françaises destinataires de respecter les règles édictées par le président américain, Donald Trump, qui bannissent toute discrimination positive en faveur de la diversité et de la parité homme-femme (DEI, pour « diversité, équité, inclusion »).
Alors que l’Autorité internationale des fonds marins prépare un code minier pour les planchers océaniques est réunie en conseil, The Metals Company menace de se lancer dans l’exploitation de ces milieux fragiles et méconnus en s’en remettant au droit américain. En vertu de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, l’instance onusienne prépare depuis plus de dix ans le futur code minier qui devra, tout en préservant l’environnement, encadrer l’exploitation de « la zone », c’est-à-dire des fonds marins et océaniques et de leur sous-sol situés dans les eaux internationales. Une durée bien trop longue au goût de The Metals Company.
Un courrier de l’ambassade des États-Unis demande aux sociétés françaises de prouver qu’elles ne mettent pas en œuvre de programmes de promotion de la diversité, de l’équité et de l’inclusion qui enfreignent les lois fédérales, sous peine de ne pas pouvoir travailler avec le gouvernement américain.
Une nouvelle étude, Carbon Majors, fait état de ce chiffre effarant, et appelle les entreprises à rendre publique leur contribution au réchauffement.
A l’ouverture des échanges sur le continent ce lundi 3 mars au matin, les actions de Dassault Aviation et Thalès flambaient de près de 15%. Idem pour le Britannique BAE Systems, l’Allemand Thyssenkrupp ou encore le Suédois Saab.
Mardi, au premier jour de la reprise de la COP16, le sommet de l'ONU sur la biodiversité à Rome, les pays participants ont officiellement adopté le Fonds Cali, dans lequel les entreprises déposent une partie des bénéfices qu'elles réalisent grâce aux génomes numérisés de la faune et de la flore.
La France souhaite la création d'une "Banque européenne de la décarbonation et de l'électrification" pour aider les entreprises industrielles européennes à abandonner les énergies fossiles et à investir dans leur transition énergétique, a indiqué Bercy lundi.Le gouvernement français a envoyé "il y a un mois" une proposition en ce sens à la Commission européenne et "soutiendra" cette idée lors des prochains conseils européens de la Compétitivité le 6 mars, et de l'Energie le 12 mars, a précisé le ministère de l'Industrie et de l'Energie.
Les géants de l’agroalimentaire vendent des aliments ultratransformés, tout en investissant dans des entreprises pharmaceutiques ou spécialisées dans la perte de poids. Un marché très lucratif.
Vers une suppression de la CSRD ? Les annonces de Stéphane Séjourné dans la presse laisse entendre que la directive pourrait être remise en cause.
De nouvelles études estiment que les impacts du changement climatique pourraient réduire le PIB mondial de 22 à 55% d'ici 2100.
On the topic of climate and carbon reduction commitments, corporations like Google, Microsoft, and Shell once positioned themselves as leaders in sustainability, setting ambitious net-zero goals to align with global environmental efforts. However, the rapid rise of energy-hungry artificial intelligence is forcing these companies to reconsider—or even abandon—these commitments as they struggle to balance environmental responsibility and making money from new tech.
As Malm and Carton explain, if firm policies were put in place to “leave fossil fuels in the ground”, stranding the assets of fossil fuel companies, there would be “layer upon layer” of value destruction.
A peine entrée en vigueur, la CSRD est déjà menacée par l'un des principaux dirigeants européens. Dans une lettre à la présidente de la Commission européenne, le chancelier allemand Olaf Scholz demande officiellement la révision de la directive sur la durabilité des entreprises. Une posture qui inquiète les professionnels de la transition écologique et sociale.
En Chine, AgiBot accélère la révolution robotique avec son usine futuriste, sur le point de dépasser les 1 000 robots humanoïdes produits, symbole d’un essor technologique ambitieux.
Les Ateliers Planète, c'est le nouveau format collaboratif pour engager les entreprises vers une décarbonation concrète de leurs activités.
La lutte contre les méga-bassines menée depuis plus de trois ans dans le Marais Poitevin draine en elle-même de grandes questions philosophiques. Un modèle industriel d’agriculture à rebours de toutes les préconisations écologiques peut-il être soutenu et encouragé par les instances politiques sensées représenter l’intérêt collectif ? Quels moyens peut-on légitimement se donner pour empêcher un désastre à venir ou une aberration en cours ? Le chantage aux ressources est-il substantiellement et moralement différent d’un chantage au désarmement ?
L’armée allemande tente de sensibiliser les entreprises aux risques géopolitiques qui pèsent sur l’Europe depuis l’invasion russe de l’Ukraine. D’après la “Frankfurter Allgemeine Zeitung”, il s’agit d’anticiper le pire, pour ne pas être rattrapé par les événements.
L'entreprise chimique 3M a présenté lundi une version révisée de son projet d'assainissement des sols des zones résidentielles et récréatives de Beveren et Zwjindrecht, contaminés par des PFAS. La première version avait été jugée "non conforme" cet été par la Société publique flamande de gestion des déchets (Ovam). Celle-ci doit à présent réexaminer le dossier.
Cet ouvrage collectif, qui rassemble une série de rapports et d’enquêtes publiés par des ONG et des médias, documente les effets de la guerre menée par Israël dans l’enclave palestinienne, en riposte au massacre du 7-Octobre. Une démarche destinée à lutter contre l’« invisibilisation » des Gazaouis et de leurs souffrances.
L’interprofession France Bois Forêt conteste l’agrément octroyé à cette organisation au titre de la protection de l’environnement. Une démarche inédite révélatrice des tensions sur le sujet de la gestion forestière en France.
Près de 60% des plus grandes entreprises mondiales cotées ont pris des engagements de neutralité carbone, un chiffre qui progresse mais qui ne garantit aucunement qu'elles ont un plan sérieux pour y parvenir, écrit lundi le consortium Net Zero Tracker.
Cisco, leader mondial de l'IT et des réseaux, a récemment annoncé une série de licenciements massifs touchant environ 7 % de sa main-d'œuvre mondiale. Cette décision choquante s'inscrit dans une stratégie plus vaste visant à rediriger les ressources vers des domaines de croissance rapide tels que l'intelligence artificielle.
Un premier groupe d’entreprises va publier son rapport sur la nature en janvier 2025. 416 organisations se sont désormais engagées à utiliser le cadre de reporting de la Taskforce on nature-related financial disclosures (TNFD). Ce cadre permet aussi d’alimenter les premiers rapports CSRD.
En amont de la COP16, 130 entreprises lancent un appel pour promouvoir le rôle du secteur privé dans la protection de la biodiversité.
Une panne informatique touche de nombreuses entreprises des médias, du secteur aérien ou la distribution à travers le monde ce vendredi 19 juillet.
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La peur de perdre son travail, puis sa santé. Cinquante ans après l'amiante, un nouveau scandale sanitaire se profile dans les usines : l'exposition des ouvriers aux produits chimiques PFAS, ces "polluants éternels".
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé vouloir s'allier aux États-Unis pour puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Caracas a annoncé dimanche soir que les États-Unis ont révoqué les licences "des entreprises transnationales de pétrole et gaz" qui avaient obtenu le droit d'opérer dans le pays malgré les sanctions et l'embargo pétrolier destinés à évincer le président Nicolas Maduro du pouvoir. Loin d'être une surprise, cette mesure de Donald Trump confirme que le nouveau président américain cherche à asphyxier économiquement le Venezuela et faire tomber M. Maduro.
Des concentrations très élevées de 1,2,4-triazole ont été trouvées dans les eaux usées d'une entreprise d'Ypres. Il s'agit d'un produit souvent utilisé comme fongicide. Les rejets de l'entreprise concernée contribuent "de manière significative" au dépassement de la norme dans l'eau potable du bassin "De Blankaart", en Flandre occidentale. Selon le ministre de l'Environnement et de l'Agriculture, Jo Brouns, il n'y a pas de risque pour la santé, mais des mesures ciblées seront prises et il a pris contact avec les ministres wallons et français compétents.
Depuis 2016, les banques belges ont accordé plus de 20 milliards d’euros de prêts et de souscriptions à des entreprises posant un grand risque de déforestation.
La lettre est signée par un certain Stanislas Parmentier, le directeur général des services de l’ambassade des États-Unis à Paris, selon l’annuaire du département d’État américain. En temps normal, cette affaire serait restée sous les radars, mais on est en plein trumpisme et la missive révélée par Les Echos, vendredi 28 mars, dont Le Monde a obtenu copie, enjoint aux entreprises françaises destinataires de respecter les règles édictées par le président américain, Donald Trump, qui bannissent toute discrimination positive en faveur de la diversité et de la parité homme-femme (DEI, pour « diversité, équité, inclusion »).
Alors que l’Autorité internationale des fonds marins prépare un code minier pour les planchers océaniques est réunie en conseil, The Metals Company menace de se lancer dans l’exploitation de ces milieux fragiles et méconnus en s’en remettant au droit américain. En vertu de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, l’instance onusienne prépare depuis plus de dix ans le futur code minier qui devra, tout en préservant l’environnement, encadrer l’exploitation de « la zone », c’est-à-dire des fonds marins et océaniques et de leur sous-sol situés dans les eaux internationales. Une durée bien trop longue au goût de The Metals Company.
Un courrier de l’ambassade des États-Unis demande aux sociétés françaises de prouver qu’elles ne mettent pas en œuvre de programmes de promotion de la diversité, de l’équité et de l’inclusion qui enfreignent les lois fédérales, sous peine de ne pas pouvoir travailler avec le gouvernement américain.
Une nouvelle étude, Carbon Majors, fait état de ce chiffre effarant, et appelle les entreprises à rendre publique leur contribution au réchauffement.
A l’ouverture des échanges sur le continent ce lundi 3 mars au matin, les actions de Dassault Aviation et Thalès flambaient de près de 15%. Idem pour le Britannique BAE Systems, l’Allemand Thyssenkrupp ou encore le Suédois Saab.
Mardi, au premier jour de la reprise de la COP16, le sommet de l'ONU sur la biodiversité à Rome, les pays participants ont officiellement adopté le Fonds Cali, dans lequel les entreprises déposent une partie des bénéfices qu'elles réalisent grâce aux génomes numérisés de la faune et de la flore.
La France souhaite la création d'une "Banque européenne de la décarbonation et de l'électrification" pour aider les entreprises industrielles européennes à abandonner les énergies fossiles et à investir dans leur transition énergétique, a indiqué Bercy lundi.Le gouvernement français a envoyé "il y a un mois" une proposition en ce sens à la Commission européenne et "soutiendra" cette idée lors des prochains conseils européens de la Compétitivité le 6 mars, et de l'Energie le 12 mars, a précisé le ministère de l'Industrie et de l'Energie.
Les géants de l’agroalimentaire vendent des aliments ultratransformés, tout en investissant dans des entreprises pharmaceutiques ou spécialisées dans la perte de poids. Un marché très lucratif.
Vers une suppression de la CSRD ? Les annonces de Stéphane Séjourné dans la presse laisse entendre que la directive pourrait être remise en cause.
De nouvelles études estiment que les impacts du changement climatique pourraient réduire le PIB mondial de 22 à 55% d'ici 2100.