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Chaque minute, dans le monde, plus de 300 000 couches jetables sont utilisées, puis jetées, souvent en décharge. Ces déchets s’accumulent, car les couches traditionnelles mettent environ 500 ans à se décomposer naturellement. Face à cette montagne de plastique, une start-up texane propose une solution totalement innovante, inspirée de la nature : des couches jetables biodégradables activées par un champignon capable de « manger » le plastique. Une avancée qui pourrait transformer notre façon de consommer ces produits et changer la donne écologique.
Les températures à la surface de l'océan ont atteint un niveau record ce mois-ci. Deux facteurs peuvent expliquer cette tendance.
- Belga
Un revenu de base pour tout le monde peut, dans certains cas, aggraver la précarité au lieu de la résorber, ressort-il des conclusions tirées par des chercheurs du Centre de politique sociale de l'Université d'Anvers, citées mercredi dans De Standaard.
À regarder attentivement les images et à écouter les témoignages, il y a un constat objectif qui peut être fait : les inondations n’ont manifestement pas touché toutes les couches sociales de la population locale de la même façon. Tous les bords de cours d’eau ne sont pas socialement défavorisés, mais on ne peut être que frappé par le nombre de ménages aux revenus relativement faibles habitant dans des “maisons ouvrières” qui sont touchées par ces catastrophes.
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Chaque minute, dans le monde, plus de 300 000 couches jetables sont utilisées, puis jetées, souvent en décharge. Ces déchets s’accumulent, car les couches traditionnelles mettent environ 500 ans à se décomposer naturellement. Face à cette montagne de plastique, une start-up texane propose une solution totalement innovante, inspirée de la nature : des couches jetables biodégradables activées par un champignon capable de « manger » le plastique. Une avancée qui pourrait transformer notre façon de consommer ces produits et changer la donne écologique.
Les températures à la surface de l'océan ont atteint un niveau record ce mois-ci. Deux facteurs peuvent expliquer cette tendance.
Un revenu de base pour tout le monde peut, dans certains cas, aggraver la précarité au lieu de la résorber, ressort-il des conclusions tirées par des chercheurs du Centre de politique sociale de l'Université d'Anvers, citées mercredi dans De Standaard.
À regarder attentivement les images et à écouter les témoignages, il y a un constat objectif qui peut être fait : les inondations n’ont manifestement pas touché toutes les couches sociales de la population locale de la même façon. Tous les bords de cours d’eau ne sont pas socialement défavorisés, mais on ne peut être que frappé par le nombre de ménages aux revenus relativement faibles habitant dans des “maisons ouvrières” qui sont touchées par ces catastrophes.
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