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26 novembre 2018

Henri Waisman, vous êtes chercheur senior au sein du programme Climat qui est axé sur les trajectoires de développement bas carbone à long-terme. Coordinateur du Deep Decarbonization Pathways Project (DDPP), vous cherchez à mobiliser l’analyse de long terme comme outil de soutien au processus politique enclenché par l’Accord de Paris. C’est notamment dans ce cadre que vous avez été chargé de rédiger le chapitre 5 "Développement durable, éradication de la pauvreté et réduction des inégalités" du rapport spécial 1,5°C du GIEC.

10 novembre 2018

25 octobre 2018

Les experts du Giec soulignent dans leur dernier rapport que le monde devra engager des transformations « rapides » et « sans précédent » s’il veut limiter le réchauffement climatique à 1,5°C…

24 octobre 2018

Le dernier rapport spécial du GIEC, présenté le 8 octobre dernier, fait suite à la COP21 et à la signature de l’Accord de Paris, dans lequel les États s’engagent à agir pour « contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels [et à] poursuivre l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels ». Le GIEC a été invité à produire un rapport portant sur les impacts du réchauffement planétaire de 1,5 ° C par rapport aux niveaux préindustriels, et sur les trajectoires d’émissions de gaz à effet de serre.

16 octobre 2018

Sommes-nous sous la menace d’un « effondrement » imminent, sous l’effet du réchauffement climatique et de la surexploitation des ressources ? Pour l’historien Christophe Bonneuil, la question n’est déjà plus là : des bouleversements sociaux, économiques et géopolitiques majeurs sont enclenchés et ne vont faire que s’accélérer. Il faut plutôt déplacer la question et produire une « pensée politique » de ce qui est en train de se passer : qui en seront les gagnants et les perdants ? Comment peser sur la nature de ces changements ? Migrations de masse, émergence d’un « capitalisme écofasciste », risque de conflits pour les ressources : malgré un constat brutal sur le monde qui se dessine, l’historien appelle à éviter le piège d’un « romantisme » de l’effondrement. « Une autre fin du monde est possible », affirme-t-il. Il revient aux sociétés civiles d’écrire le scénario final. Entretien.
Il y a une semaine, le GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat mettait en garde les États sur les conséquences pour la planète du réchauffement climatique de plus d’1,5°C. Une étude de chercheurs du laboratoire de climatologie de l’Université de Liège, à laquelle nous avons eu accès et qui sera publiée dans la revue scientifique The Cryosphere, est encore plus alarmiste. Selon leur modèle, la fonte de la calotte glacière du Groenland pourrait être deux fois plus importante que prévu par les derniers modèles du GIEC.
Le monde a atteint un "point de non retour" en matière de changement climatique, a averti mardi l'ancien secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon lors du lancement aux Pays-Bas d'une commission internationale pour le climat. La commission examinera les mesures que les pays, en particulier les plus pauvres, peuvent prendre pour s'armer contre les effets du changement climatique, tels que la montée des eaux et la sécheresse de longue durée.

13 octobre 2018

Dans leur rapport spécial, les scientifiques du Giec démontrent qu’il possible de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C, avec de nombreux bénéfices à la clé. Mais la transition à mener pour y parvenir doit immédiate et de grande ampleur

12 octobre 2018

Dans une tribune publiée dans le Monde, ces scientifiques appellent à une réduction de l'accroissement démographique, sous peine de se diriger vers "une catastrophe pour notre planète"
Pour l'écologiste Yves Cochet, la croissance démographique représente une menace écologique imminente. Faut-il arrêter de faire des enfants pour lutter contre le réchauffement climatique ? Lundi, l'agence France presse (AFP) a déclenché un vif débat après la publication sur Twitter d'une infographie présentant des moyens de réduire notre empreinte carbone en fonction de leur efficacité. Loin devant les autres, "avoir un enfant de moins" est présenté comme la solution qui aurait le plus grand impact sur les émissions de CO2. La décision d'enfanter étant mise sur le même plan que des actes banals, tel qu'abandonner sa voiture à essence ou son sèche-linge.

11 octobre 2018

Les signes de l’accélération du réchauffement climatique sont toujours plus alarmants. L’année 2017 vient d’être classée comme l’une des trois années les plus chaudes de l’histoire moderne, les banquises polaires fondent à vue d’œil et font inexorablement monter le niveau des océans, tempêtes et sécheresses dévastatrices se multiplient, avec des effets de plus en plus inquiétants sur la biodiversité.
Le 8 octobre 2018 paraissait le rapport intermédiaire du GIEC sur le réchauffement climatique à 1.5 degrés. Que dit réellement ce rapport ? Quelles sont ses principales conclusions ? Décryptage.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a publié le 8 octobre 2018 un rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C. Il sera au menu de la Conférence sur les changements climatiques prévue au mois de décembre en Pologne pour faire le point sur l’Accord de Paris. Au coeur du rapport, on trouve les estimations du budget carbone compatibles avec un réchauffement de 1,5°C. De nouveaux calculs montrent que la marge est un peu plus importante que les estimations précédentes.

10 octobre 2018

Le nouveau rapport des experts internationaux sur le climat (GIEC) est l’ultime alerte avant un monde en crise permanente. Les émissions de gaz à effet de serre ont déjà fait grimper la température mondiale de 1°C depuis la révolution industrielle. Et "il est probable" que le réchauffement atteigne 1,5°C entre 2030 et 2052. À cette température, les impacts sur le niveau des eaux, la biodiversité, la sécurité alimentaire sont déjà majeurs.
Le secrétariat de la convention-cadre onusienne sur les changements climatiques (la CCNUCC) s'est "félicité" lundi de la publication du résumé du rapport spécial du Giec sur les conséquences d'un réchauffement planétaire de 1,5°C, soulignant que ce texte confirme bien qu'il est indispensable de maintenir un engagement ferme dans le sens d'une limitation du réchauffement planétaire. "Face aux répercussions" estimées par le Giec, dans le cas d'un réchauffement d'1,5°C par rapport à la situation pré-industrielle, ou dans le cas d'un emballement de 2°C, "le monde doit garder à l'esprit les objectifs de l'Accord de Paris", souligne le secrétariat.
Selon le groupe d'experts intergouvernemental sur le climat (Giec), des transformations sans précédent sont nécessaires pour contenir le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle. Tous les secteurs sont concernés, mais aussi les citoyens. "Chacun, selon ses moyens, a la possibilité de réduire ses émissions de gaz à effet de serre", affirme le climatologue et professeur à l'UCL, Jean-Pascal Van Ypersele.
e dernier rapport sur le réchauffement pourrait laisser croire que les 1,5°C sont encore atteignables. Ce qui est très improbable.
Le GIEC a approuvé le 6 octobre son rapport spécial sur « les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C »(1), qui répond à une demande exprimée fin 2015 lors de l’adoption de l’Accord de Paris (COP21). Une réduction des émissions nettes de CO2 de 45% d’ici à 2030 Pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5°C d’ici à la fin du siècle(2), « il faudrait modifier rapidement, radicalement et de manière inédite tous les aspects de la société », résume le GIEC(3). Les transitions « rapides et de grande envergure » que le Groupe d’experts sur le climat appelle de ses vœux concernent en premier lieu le secteur énergétique mais aussi les domaines de l’industrie, du bâtiment, des transports ou encore de l’aménagement du territoire. Selon le GIEC, les émissions mondiales nettes de CO2 d’origine anthropique (c’est-à-dire la différence entre le volume de CO2 émis et capturé) devraient être réduites d’environ 45% à l’horizon 2030 par rapport au niveau de 2010 pour espérer atteindre la cible de 1,5°C de réchauff
Il ne faut pas dépasser un réchauffement de 1,5 degré. Voici ce qui ressort du rapport publié par le GIEC ce matin. Jean-Pascal Van Ypersele, climatologue et professeur à l’UCL, est revenu de Corée du Sud où il a participé à la rédaction de ce rapport. "L'avenir est encore entre nos mains", selon ce spécialiste.
Les 28 ministres de l'Environnement européens devront décider, ce mardi lors d'un Conseil organisé au Luxembourg, s'ils veulent rehausser les objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre. Des Etats comme la Pologne, la Hongrie, la République tchèque et même l'Allemagne y seraient hostiles.

08 octobre 2018

Les gouvernements ont approuvé samedi le dernier bilan scientifique du Giec sur le dérèglement climatique, qui montre de forts impacts dès 1,5°C de réchauffement par rapport au niveau préindustriel, en dépit de contestations exprimées par l'Arabie saoudite, a-t-on appris auprès de plusieurs participants.
Se désintoxiquer du charbon, payer plus cher l’avion, utiliser la valeur agronomique des sols, contrer l’influence des lobbys…. Plusieurs solutions sont disponibles pour contrer le changement climatique, mais elles demandent une intense métamorphose de notre mode de vie.
Le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius est l'invité du grand entretien à 8h20 à l'occasion des 60 ans de la constitution. L'ancien Ministre des affaires étrangères s'exprime également sur les questions environnementales et climatiques quelques jours avant la publication du nouveau rapport du GIEC.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat rend publique ce lundi sa première étude sur les effets d’un réchauffement de 1,5 °C des températures mondiales. Cette limite que 197 Etats s’étaient engagés à respecter fin 2015, lors de la COP 21, aura tout de même de graves conséquences sur la planète.

03 octobre 2018


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