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décembre 2024

Nos gouvernements régionaux et fédéral mettent en place une politique d'austérité non prospective. Dans notre contexte de poly-crises, le temps n'est plus à l'esprit comptable. Nous avons besoin de responsables politiques stratèges et visionnaires !
Le puits Martha #1 dans le canton de Waterford du comté d’Erie, en Pennsylvanie, a été bouché ! C’est en soi fantastique. Le méthane est 84 fois pire que le dioxyde de carbone (CO2) en matière de changement climatique. Le bouchage d’un puits empêche le méthane de s’échapper dès que le bouchon est mis en place !
Alors que les dirigeants mondiaux se sont réunis à la COP29 en Azerbaïdjan pour discuter de l’action climatique, des scientifiques se demandent s’il est encore possible de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius par rapport aux moyennes préindustrielles.
L’ancien eurodéputé belge Philippe Lamberts a quitté le Parlement européen cette année, à l’issue de son troisième et dernier mandat. Il prend le chemin du Berlaymont où il sera conseiller au climat de la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Conseiller à la transition vers une économie climatiquement neutre pour être précise. Nous avons rencontré Philippe Lamberts à l’aube de sa prise de fonction.
Ouragans, sécheresses, inondations : la facture alarmante du réchauffement climatique en 2024
Les scientifiques utilisent des cellules souches pluripotentes induites pour recréer des traits de mammouths chez les éléphants. Réintroduire des éléphants modifiés pourrait aider à stabiliser le permafrost et lutter contre le changement climatique. Les défis éthiques et scientifiques posent des questions sur l’impact des technologies de biotechnologie modernes.
Alors que l’on ne connaît toujours pas le nombre de décès consécutifs au passage du Cyclone Chido, qui a ravagé Mayotte
La calotte glaciaire du Groenland a perdu 563 miles cubes de glace entre 2010 et 2023. Une vidéo basée sur des données de la NASA et de l’ESA montre cette fonte en moins de 30 secondes. La fonte du Groenland est un des principaux contributeurs à l’élévation du niveau des mers dans le monde.
LIMIT | Parlons des limites planétaires
Dix ans après la découverte de milliers d’oiseaux marins morts sur les plages du Pacifique Nord, des biologistes révèlent l’origine de cette extinction de masse, la plus importante jamais observée.
La décision de la plus importante juridiction internationale déterminant les obligations qui incomberont aux Etats pour protéger le système climatique représente un enjeu décisif pour les procès en cours à l’échelle nationale ou continentale, explique, dans une tribune au « Monde », la juriste Judith Rochfeld.
Selon le bilan de Météo-France, 2024, marquée par de nombreuses inondations, figurera parmi les dix années les plus pluvieuses et l’une des cinq plus chaudes jamais enregistrées.
President formally files new plans under Paris agreement and hails ‘boldest climate agenda in American history’. Joe Biden has announced tougher targets on the US’s carbon dioxide emissions for the next decade, in a defiant final gesture intended as a “capstone” on his legacy on the climate. With just weeks to go before Donald Trump enters the White House, the Biden administration is formally filing new plans under the Paris agreement – the global climate treaty from which Trump has vowed to withdraw.
Le président américain Joe Biden a présenté jeudi sa feuille de route climatique pour les États-Unis, fixant un nouvel objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui pourrait toutefois être rapidement balayé par son successeur Donald Trump. Le pays, deuxième plus grand pollueur au monde derrière la Chine, prévoit à présent une baisse de ses émissions de l’ordre de 61 à 66% d’ici à 2035 par rapport à 2005, selon ce plan d’action soumis aux Nations unies.
Dans un bilan provisoire annuel dévoilé jeudi 19 décembre, Météo France annonce que 2024 figure dans le top 5 des années les plus chaudes et le top 10 des pluvieuses.
Au-delà des risques pour les riverains, ce type de projet pose des questions sur la manière de résoudre la crise climatique et environnementale.
Nos modes de consommation et d'alimentation causent des crises "interconnectées" pour la biodiversité, le climat et la santé, menaçant la survie d'écosystèmes essentiels comme les coraux, alertent des experts du monde entier dans un rapport de référence.
Imaginez un iceberg trois fois plus grand que la ville de New York se déplaçant à nouveau après des mois d’immobilité. C’est l’histoire fascinante d’A23a, un énorme bloc de glace surnommé « mégaberg », qui intrigue les scientifiques et ravive l’intérêt pour les mystères des océans. Pourquoi un tel iceberg est-il si important ? Que peut-il révéler sur les écosystèmes marins et sur les changements climatiques ?
Dans son rapport de l’an passé, l’AIE évoquait un « point de retournement historique » avec le pic charbonnier en vue. Changement de ton, dans le rapport 2024. La consommation mondiale devrait progresser de 1% en 2024 (2,4% en 2023). Pour les trois prochaines années, il n’est plus question que d’un plateau (légèrement ascendant en réalité).De la lecture du rapport, j’ai retenu quatre points principaux.
L'année 2024, attendue comme la plus chaude dans le monde, sera aussi l'une des plus chaudes et des plus pluvieuses pour la France, poursuivant une décennie de températures hors normes mais conformes aux projections des climatologues, a annoncé jeudi Météo-France.
Mauvaise nouvelle pour le climat : la demande mondiale de charbon a atteint un nouveau record en 2024, année la plus chaude jamais enregistrée, et seul l'essor des énergies renouvelables devrait contribuer à la stabiliser jusqu'en 2027, a rapporté l'Agence internationale de l'énergie (AIE) mercredi."Après avoir atteint un niveau record en 2024, la demande mondiale de charbon devrait se stabiliser" jusqu'en 2027 du fait de la forte progression des énergies renouvelables, écrit l'AIE dans son rapport annuel sur le charbon dans le monde sur la période 2024-2027.
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
Un rapport scientifique international estime à 25 000 milliards de dollars le manque à gagner pour la planète du fait de l’absence de lutte commune contre les crises environnementale, climatique et sanitaire. S’attaquer séparément à la perte de la biodiversité ou au réchauffement ne fait qu’aggraver les problèmes, explique-t-il.
Selon une étude récente, l’année 2023 a été synonyme d’une baisse importante de l’absorption de carbone par les forêts et les sols. Mais quelles sont les conséquences de cet effondrement sur le réchauffement climatique ?
L'IPBES, le Giec de la biodiversité, vient de publier deux rapports majeurs ces mardi 17 et mercredi 18 décembre. Le premier montre la nécessité de traiter les différents sujets ensemble - changement climatique, biodiversité, santé, eau et alimentation, pour une action efficace. Le second s'intéresse aux obstacles à l'action et appelle à un "changement transformateur" de nos points de vue, nos structures et nos pratiques.
Climate Central a évalué comment le réchauffement des températures, attribué au dérèglement climatique, a affecté le nombre de jours à + 0°C en décembre, janvier et février dans 123 pays de l'hémisphère nord entre 2014-2023.
Si le lien entre le cyclone très destructeur à Mayotte et le réchauffement climatique est difficile à établir, la tendance à long terme est claire : les cyclones vont être plus intenses plus rapidement, et associés à plus de pluies, en raison de la hausse des émissions de gaz à effet de serre.
De nouvelles projections, publiées mardi 17 décembre par le service météorologique britannique et l’Agence pour l’environnement nationale, prévoient une hausse drastique du risque de crues éclair en raison du dérèglement climatique.
Une guerre culturelle a commencé. Continue, ouverte ou cachée, explicite ou détournée, elle concerne le destin de l’humanité tout entière. Elle concerne les savoirs autour de l’énergie, et plus particulièrement les contre-vérités diffusées par les « pétropouvoirs » internationaux.En témoigne l’insolent succès, en librairie, des ouvrages climatosceptiques qui nourrissent explicitement le doute(1).
L’IPBES, le « GIEC de la biodiversité », publie une évaluation qui démontre que traiter chaque problème de manière isolée aggrave la situation globale.
L'année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée en Allemagne, a indiqué mardi le service météorologique allemand (DWD), à l'instar de records de température enregistrés dans le monde entier.
Les récifs coralliens illustrent parfaitement l'avertissement lancé mardi dans un rapport de référence des experts du monde entier regroupés dans la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) : les crises - climat, biodiversité, santé... - affectant la planète sont "toutes interconnectées". En ignorant cette interconnexion, les récifs coralliens pourraient disparaître de la surface de la terre d'ici 10 à 50 ans, préviennent ces experts mandatés par l'ONU.
Alors que le réchauffement climatique s’accélère, une start-up britannique propose une solution technologique pour recréer de la glace en Arctique. Mais cette initiative divise écologistes et scientifiques, soulevant des questions éthiques et environnementales.
Jusqu’à trois semaines de gel en moins dans les régions les plus au nord du continent européen sont imputables au réchauffement climatique, d’après un rapport publié mardi 17 décembre par l’organisme américain Climate Central.
Le HFC-125 est un gaz à effet de serre puissant qui contribue de manière significative au réchauffement climatique. Utilisé principalement dans les systèmes de refroidissement et les extincteurs, il a vu sa concentration dans l’atmosphère augmenter de façon exponentielle au cours des deux dernières décennies. Une récente étude canadienne a mesuré pour la première fois ses niveaux dans la haute troposphère et la basse stratosphère grâce à des données satellitaires. Ces résultats révèlent l’ampleur du problème et soulignent l’urgence de prendre des mesures pour limiter son impact.
En ce début de l’été austral, le sud de l’Australie suffoque. Des températures de 5 à 12 °C au-dessus des moyennes sont enregistrées. Et les autorités craignent déjà de possibles feux de brousse.
La géothermie, énergie renouvelable issue de la chaleur naturelle des sous-sols et des nappes souterraines, a un avenir radieux pour répondre aux besoins croissants de la planète en électricité, estime l'Agence Internationale de l'Energie qui incite les pétroliers à investir dans ce domaine.La géothermie pourrait couvrir à elle seule 15% de la croissance de la demande mondiale en électricité entre maintenant et 2050, si le coût des projets continue de se réduire, estime l'AIE dans son rapport de 125 pages, intitulé "L'avenir de l'énergie géothermique", publié vendredi.
Après deux années de veille médiatique, QuotaClimat publie ce jour un rapport international révélant une augmentation alarmante des discours de désinformation climatique dans les médias d’information.
Dans cette conversation fascinante, Valérie Paumier, activiste et ancienne promotrice immobilière, dresse un constat sans appel : l’économie du ski telle que nous la connaissons est en déclin irréversible. Entre manque de neige, montée des températures et aberrations comme les Jeux Olympiques 2030, elle décrypte les dérives du modèle actuel et propose des alternatives pour repenser les montagnes. De la justice climatique au besoin de concertation citoyenne, découvrez comment agir pour préserver ces territoires et éviter un effondrement total.
En septembre 2024, alors que l’ouragan Helene frappait violemment la Floride, la station spatiale internationale (ISS) a révélé des phénomènes fascinants dans la mésosphère, une région peu étudiée de l’atmosphère terrestre. Ces observations inédites ouvrent une nouvelle fenêtre sur les interactions complexes entre les conditions météorologiques extrêmes et les couches supérieures de l’atmosphère.



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