A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:
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Vincent Mignerot
2025
Le magazine de vulgarisation scientifique La Recherche a publié au cours de l’été 2025 un dossier spécial[1] “consacré au faux sous toutes ses formes (fausses informations, deepfakes, théories du complot, croyances irrationnelles, etc.).[2]” En appui sur les rappels du magazine La Recherche, cet article invite à questionner la scientificité des présupposés du projet de transition énergétique pour les sociétés thermo-industrielles, en particulier dans l’objectif d’amortir ou d’empêcher leur effondrement. En reprenant par ailleurs l’analyse de Karl Popper, qui a montré que certaines théories scientifiques ont trouvé inspiration dans d’authentiques croyances métaphysiques, cette étude critique interroge l’imprégnation du narratif de transition par différents mythes évoquant la vie éternelle ou l’espérance de surmonter la finitude.
Olivier Hamant est chercheur en biologie et biophysique, spécialiste de la notion de robustesse, dont il explore la mise en œuvre pour nos sociétés, "hyper performantes" mais désormais fragiles face aux fluctuations écologiques, économiques et politiques. Au cours de cet échange, Olivier Hamant fait le point sur les apports de la robustesse pour nous aider à traverser les perturbations. La robustesse est-elle inspirée de l'entraide, chère à Pablo Servigne et Gauthier Chapelle ? La robustesse est-elle une valeur, au titre que "le vivant se construit selon un système de valeurs" ? Est-ce que s'opposer au culte de la performance permettrait d'amortir ou d'éviter un effondrement ? Comment éviter la récupération et l'instrumentalisation de la robustesse ? Olivier Hamant répond à nos questions avec sincérité, prolongeant un débat qui n'est pas encore clos, mais qui avance !
En mars dernier, je constatais une évolution des discours écologiques : enfin, en 2025, le pouvoir d'achat intégrait le débat (voir ce post : https://lnkd.in/dP3C7NzF). […] ❓ J’interpelais alors certains acteurs sur la difficulté à énoncer que la contrainte environnementale (l'impossible développement infini dans un monde fini) allait nécessairement impacter la production de richesse
"Ce qu'on appelle transition énergétique, ce sont les sociétés pétrolières qui élargissent leur offre." Vincent Mignerot est essayiste. Explorant une "théorie écologique de l'esprit", il envisage que la transition énergétique relève de la pensée magique. Une fable qui nous expose à de nombreuses désillusions.
Engager une décarbonation pour défendre la souveraineté engendrerait au contraire une plus grande servitude aux puissances carbonées.
Pour réussir la transition énergétique : ne plus confondre les frigos et les sociétés humaines !
Les promoteurs de la transition énergétique sont toujours plus catégoriques, le déploiement des énergies dites de substitution (ENS : principalement énergie éolienne, photovoltaïque et nucléaire) obtient les résultats attendus : moins d’émissions de CO₂, une plus grande souveraineté pour les pays qui “décarbonent”, une meilleure santé économique. Le succès de la transition ne paraît toutefois pas encore démontré, et le plus souvent argumenté à partir d’une sélection de paramètres qui décrivent trop partiellement la réalité pour suffire à cette démonstration (cherry picking).
La baisse des émissions de CO₂ ferait office de verdict en faveur de la transition énergétique si et seulement si l'économie ne s'effondrait pas en parallèle.
Je lis de plus en plus souvent sur LinkedIn des commentaires qui reprennent cette idée qu'on ne saurait fabriquer éoliennes et panneaux solaires, ni d'ailleurs aucun artefact de la civilisation industrielle, sans énergies fossiles. Pas d'extraction des minéraux possibles sans pétrole, pas de transports de et vers les usines sans pétrole, pas d'usines sans charbon ou gaz. Cette affirmation est rarement démontrée.
Ces dernières années, l’évidence de la Transition énergétique est remise en cause sous différents aspects. Quid des ressources ? Des pollutions engendrées par l’extraction de celles-ci ? Dans quel contexte économique et social ? Pour quel projet de société ? Vincent Mignerot, auteur de L’Énergie du déni, s’interroge sur l’absence de travaux scientifiques argumentant la faisabilité de cette transition. Avec Le Réveilleur, ils proposent que les chercheurs s’expriment : la transition énergétique est-elle basée sur des concepts solides ? Un débat passionnant à suivre.
Les ondes formées par le vent sur le lac nous hypnotisent, mais nous ne percevons pas ce qui convertit le souffle du vent en si délicates figures. La puissance des moteurs déplace les plus lourds véhicules, quand les forces qui autorisent ces déplacements restent invisibles. La graine du tournesol s’affranchit du poids de la terre qui la recouvre, sa tige seulement ensuite s’élève et expose la fleur au Soleil. L’accès à ce qui procure cette vigueur à la graine nous est cependant interdit. Nous observons des mouvements, des interactions, des transformations, sans rien appréhender de ce qui les engendre. Une part du réel – les relations entre les choses – se soustrait à la représentation, une part du réel est inaccessible à l’esprit.
Dans cette vidéo, Vincent Mignerot, un expert en théorie de l'existence, discute de la faisabilité de la transition énergétique et des grandes questions existentielles qui en découlent. À travers une analyse critique des théories scientifiques actuelles, Vincent remet en question la logique des transitions énergétiques proposées par la science conventionnelle, notamment la conversion des énergies fossiles vers les énergies renouvelables. Il explore l'idée de la "domestication de l'humain" par la technologie et les dangers d'une science relativiste qui pourrait mener à une impasse écologique.
📣 Vinz Kanté, sur sa chaîne LIMIT donne la parole à Greg De Temmerman, ingénieur spécialiste de la transition énergétique. Greg de Temmerman rappelle les nombreuses affirmations gratuites - hors-science - qui fondent la croyance en la substituabilité des énergies pour les sociétés thermo-industriel...
Et si la crise écologique et la crise des institutions sanitaires et sociales relevaient des mêmes logiques ? Et si ces espaces de traitement des fragilités humaines étaient en réalité des modèles pour penser notre place et nos liens dans un contexte où nous allons nous (RE-)découvrir davantage vulnérables face à notre milieu ? Ce sont les questions explorées lors du colloque intitulé "Crise écologique et crise des institutions : clinique d'une nouvelle écologie des liens". Cette 2e partie présente la 1ère table ronde intitulée : "Progrès humain et dérégulation du milieu, un équilibre est-il possible ?"
La transition énergétique est-elle possible selon la thermodynamique ? Pour en être certain, il faudrait ne plus confondre les frigos et les sociétés.
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