Adélaïde Charlier

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2020

À l’invitation à un devoir d’espoir, exprimée par Thomas Dermine, secrétaire d’Etat à la Relance et aux Investissements stratégiques, les fers de lance du mouvement pour le climat en Belgique répliquent par une invitation à un devoir d’actions cohérentes
Le mouvement Fridays for Future prévoit une nouvelle grève mondiale pour le climat ce vendredi 25 septembre. Les jeunes du monde entier sont à nouveau appelés à se mobiliser contre l’insuffisance des réponses politiques au réchauffement planétaire.
Ce jeudi Matin Prem1ère accueille Adélaïde Charlier, Anuna De Wever et Luisa Neubauer. Depuis Berlin où elles se trouvent en compagnie de Greta Thunberg afin de rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel, les jeunes militantes pour le climat font le point sur l'appel qu’elles ont lancé aux chefs d’État et de gouvernement européens afin qu’ils prennent des mesures urgentes afin de prévenir une catastrophe climatique.
La militante suédoise et figure du mouvement pour le climat Greta Thunberg a entamé jeudi une rencontre avec Angela Merkel à Berlin, après avoir dénoncé "l'inaction politique" et le "déni" des Etats face au changement climatique.
Plusieurs figures emblématiques du mouvement des jeunes pour le climat, dont Greta Thunberg et les Belges Anuna De Wever et Adélaïde Charlier, ont été reçues jeudi par la chancelière allemande Angela Merkel.
Anuna De Wever, Adélaïde Charlier, Greta Thunberg et d'autres membres du mouvement Fridays for Future ont pu discuter du changement climatique avec la chancelière allemande Angela Merkel jeudi lors d'une réunion informelle qui a duré une heure et demie.
L'accord obtenu à l'arraché, mardi matin au sommet européen, sur le prochain cadre financier 2021-2027 de l'Union et un instrument de relance post-coronavirus à 750 milliards d'euros n'a pas entraîné que des louanges et des "ouf" de soulagement. Dans les rangs verts, entre autres, des critiques émergent mardi, alors que le paquet financier doit encore passer par l'étape des négociations avec le Parlement européen.
Les émissions de gaz à effet de serre détruisent nos conditions d’existence sur la Terre. Alors que nous luttons contre une terrible pandémie, une récente étude scientifique montre qu’un milliard d’êtres humains risquent de devoir migrer ou subir des chaleurs insupportables pour chaque degré supplémentaire de la température globale, dans les cinquante prochaines années. Ne rien faire, c’est accepter ce risque d’un milliard de victimes supplémentaires, migrants, malades ou morts.

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