Automobiles – Voitures

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2024

Le directeur général, Luca de Meo, a affirmé aux «Echos» à paraître ce lundi 22 juillet qu’il estimait que le marché n’était «pas encore sur la bonne trajectoire», estimant qu’il aurait mieux valu «viser 2040».
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, candidate à un second mandat, défend la technologie des carburants de synthèse pour atteindre l'objectif de neutralité climatique des automobiles en 2035, un moyen de prolonger l'utilisation des moteurs thermiques, selon un document publié jeudi.Une concession confirmée par Ursula von der LeyenL'Union européenne a validé au printemps 2023 l'obligation imposée aux automobiles neuves de ne plus émettre de CO2, mesure centrale du plan climat des Vingt-Sept.
Des partis ayant plaidé pour un moratoire l’ont emporté lors des élections européennes. Les constructeurs veulent aller de l’avant.
Vert de gris. Porté en 2019 par les mobilisations citoyennes pour le climat, puis l’ambition du Pacte vert, le groupe des eurodéputé·es écologistes fait aujourd’hui les frais des procès en «écologie punitive». Des attaques qui se sont durcies depuis la crise agricole de 2023.
Les coûts de réparation d'une voiture électrique suite à une collision sont en moyenne plus élevés que ceux d'un véhicule à moteur thermique, selon un rapport publié ce 27 mai par l'association Sécurité et réparations automobiles (SRA).
Usines qui ferment ou ralentissent... La production de voitures thermiques en Chine est en chute libre. Et les actifs échoués se multiplient.
Dans un rapport paru ce lundi 22 avril, la Cour des comptes européenne estime que trois conditions nécessaires ne sont pas réunies pour atteindre cet objectif, fixé par l’Union européenne.
Dans un rapport publié ce mercredi, l’institution financière estime notamment que le poids grandissant a annulé les améliorations technologiques en termes d’émission de CO2. Et affirme que «le principal défi» est le passage à l’électrique.

2023

Voitures, Fake or not ? Concilier mobilité et neutralité carbone sans fake news : moteur électrique vs moteur thermique, transition énergétique, dépendance...
Le moteur thermique compose quant à lui 58 % du marché, contre 85% en 2020.
L'interdiction du chalutage de fond proposée par la Commission européenne a mis le feu aux poudres entraînant pour la première fois des "Journées mortes" dans les ports. Pourtant, cette technique très décriée pour son impact environnemental et très gourmande en carburant, est vouée à disparaître si la France veut atteindre ses objectifs climatiques.
La nouvelle législation exigera que les nouvelles voitures vendues en Europe n’émettent aucun CO2. Les transports représentent aujourd’hui un quart des émissions du continent.
Le texte contraindra les automobiles neuves à ne plus émettre aucun CO₂.
Pour un grand nombre de voitures électriques, un dégât au niveau des batteries, même mineur, peut-être fatal et les conduire directement à la casse.
L'Allemagne, rejointe depuis par d'autres pays européens, bloque depuis le début du mois de mars un texte décisif pour interdire la vente des véhicules thermiques neufs d'ici 2035 au sein de l'Union européenne. Alors que ce vote ne devait être qu'une formalité, la brèche ouverte par Berlin relance le débat sur l'électrification. Si la filière est lancée, elle défend également l'ouverture technologique. Au risque de nous faire perdre un temps précieux.
L'Allemagne exige que la Commission autorise la vente de véhicules fonctionnant aux carburants de synthèse et forme une coalition d’alliés. Dont certains en profitent pour attaquer la proposition de nouvelles normes antipollution Euro 7.
Dans une volte-face médusante, Berlin vient d’empêcher l’adoption du règlement européen qui prévoyait la fin des véhicules thermiques en 2035. D’autres textes pourraient être fragilisés.

2022

Le 8 juin 2022, le Parlement européen a voté l’interdiction des ventes de voitures neuves thermiques en 2035 sur son territoire. Cette mesure intervient dans le cadre des objectifs européens de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) avec pour échéances - 55 % en 2030 et la neutralité carbone en 2050. Avec cette décision, les politiques européennes portent le véhicule électrique (VE) comme la solution pour diminuer les émissions de GES dans le secteur du transport. Aujourd’hui la vente de VE augmente de manière quasi exponentielle(1) représentant presque 10 % des ventes de voitures particulières en Europe. Cette échéance de 2035 semble donc en phase avec l’évolution actuelle du marché automobile et l’urgence climatique. Ce développement à marche forcée laisse cependant une impression d’inéluctabilité et de solution finalement trop évidente par rapport à des problèmes planétaires si complexes. Il est nécessaire de prendre conscience des conséquences environnementales, mais aussi des enjeux économ
Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes remettent en question l’impact des voitures électriques sur l’environnement. Selon eux, les voitures électriques ne sont pas une solution pour limiter la pollution car elles seraient en fait plus nocives pour l’environnement que les voitures thermiques. La production des véhicules électriques est, en effet, plus polluante que celle des moteurs à combustibles. Mais pour calculer l’impact global d’un véhicule sur l’environnement, il est nécessaire de prendre en compte l’ensemble de son cycle de vie. La production des voitures électriques a un coût environnemental plus important.
Les 27 États membres de l'UE ont approuvé mercredi le projet de la Commission de réduire à zéro les émissions de CO2 des voitures neuves en Europe à partir de 2035, soit l'arrêt de facto des ventes de moteurs thermiques au profit de véhicules 100% électriques. Cette mesure, proposée par l'exécutif européen en juillet 2021, reste à discuter avec les eurodéputés.
Le Parlement européen s'est prononcé mercredi en faveur de l'interdiction de la vente de voitures particulières et camionnettes neuves à moteur thermique à compter de 2035 dans l'UE. Faisabilité technologique, répercussions économiques et écologiques : ce virage annoncé s'accompagne d'autant de doutes qu'il suscite d'espoirs. Éclairage avec Pierre Leflaive, spécialiste des transports au sein de l'association Réseau action climat (RAC).
Sous la pression des eurodéputés italiens, le Parlement européen a exempté la filière automobile de luxe de l’interdiction de la vente des voitures thermiques d’ici à 2035.
Malgré une farouche opposition de la droite, le Parlement européen a approuvé mercredi, la proposition de Bruxelles de réduire à zéro les émissions des automobiles neuves à partir de 2035, n’autorisant de facto que la vente de véhicules électriques.
Les voitures électriques ne sont pas la panacée contre la pollution de l’air. Tel est le résultat d’une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) publiée fin avril. Contrairement aux véhicules thermiques, les voitures électriques n’émettent ni oxydes d’azote, ni dioxyde de carbone, ni composés organiques volatiles. Elles émettent en revanche une quantité importante de particules fines. La cause : le poids important de leurs batteries, qui contraint les constructeurs à utiliser des pneus plus larges. En frottant sur la chaussée, ces derniers émettent des PM10 (des particules d’une taille inférieure à 10 micromètres), qui finissent leur course dans les poumons des riverains au péril de leur santé.

2021

Une trentaine de pays et une douzaine de constructeurs automobiles se sont engagés mercredi à la COP26 à Glasgow à travailler à la fin de la commercialisation de voitures et camionnettes neuves thermiques au plus tard en 2040.
L'Union Européenne prévoit de réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 55% d'ici 2030. Pour y arriver, la commission compte agir prioritairement sur l'isolation des logements et la mobilité. Les moteurs thermiques vont progressivement disparaitre. Le commissaire européen au climat l'a dit ce dimanche midi sur le plateau de C'est pas tous les jours dimanche.
Au-delà des débats légitimes, par exemple sur l’impact des mesures environnementales pour les plus pauvres ou sur la fin annoncée des voitures thermiques, le pacte vert européen a le mérite de fixer un cap extrêmement volontariste, qui tranche avec les atermoiements du passé.
La proposition de Bruxelles de réduire à zéro les émissions de CO2 des voitures neuves en 2035 revient à interdire les moteurs thermiques et « n’est pas une solution rationnelle à ce stade », a critiqué, mercredi, l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) dans un communiqué.
Le gouvernement bruxellois a pris une décision importante en matière de mobilité ce jeudi : les véhicules à moteur thermique seront interdits de circulation dans les 19 communes de la Région bruxelloise. Précisément : dès 2030 pour les voitures roulant au diesel ; 2035 pour celles roulant à l’essence.
Même si chaque nouvelle voiture sortant aujourd’hui des usines était électrique, il faudrait encore 15 à 20 ans pour remplacer le parc automobile mondial fonctionnant grâce aux combustibles fossiles. Les réductions des émissions de gaz à effet de serre et des particules résultant du remplacement de tous ces moteurs thermiques par des alternatives sobres en carbone ne seront pas assez rapides pour faire la différence dans les quelques années qui nous restent. Pour s’attaquer aux crises du climat et de la pollution atmosphérique, il faut réduire au plus vite tous les transports motorisés, voitures particulières en tête.

2020