La démographie est l’étude quantitative et qualitative des caractéristiques des populations et de leurs dynamiques, à partir de thèmes tels que la natalité, la fécondité, la mortalité, la nuptialité (ou conjugalité) et la migration. Source : wikipedia
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2025
C’est sans doute l’une des études les plus importantes de l’année. Après « A good life for all within planetary boundaries » (2018), la première tentative de quantification du donut de Kate Raworth, et sa mise à jour en 2022 dans « The social shortfall and ecological overshoot of nations », deux chercheurs viennent de publier la suite. Intitulée « Doughnut of social and planetary boundaries monitors a world out of balance » (2025), l’étude est sortie le mercredi 2 octobre dans la prestigieux revue Nature.
L’agence onusienne alerte ce lundi 6 octobre sur la suppression de 5 000 emplois, alors que le nombre de réfugiés dans le monde ne cesse d’augmenter. En cause, une diminution drastique de l’aide internationale, notamment de la part des Etats-Unis.
Les prédécesseurs de Donald Trump ont tous assumé, chacun à sa façon, la notion d’« exceptionnalisme américain ». Lors de son discours prononcé à l’ONU, le 24 septembre dernier, le locataire actuel de la Maison Blanche a présenté une vision très différente de ce concept, ancrant la politique étrangère conduite par Washington dans les principes de nationalisme et de souverainisme, et y ajoutant une forte composante personnelle. De l’exceptionnalisme américain, on semble être passés à un « exceptionnalisme trumpien ».
L'ONU soutient le plan de Donald Trump pour Gaza : "Nous saluons toutes les tentatives de médiation"
- Belga,
L'ONU soutient le plan de paix pour Gaza proposé par Donald Trump, saluant toutes les tentatives de médiation et se disant prête à apporter une aide humanitaire. Netanyahu a lui aussi donné son accord sous conditions.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran ont été rétablies samedi soir. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'est enclenché à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran, seront rétablies samedi soir, sauf coup de théâtre de dernière minute. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'enclenchera à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche. Cela réactivera les dispositions antérieures qui avaient été suspendues avec l'accord de 2015, connu sous l'acronyme JCPOA.
Le mécanisme inédit visant à obliger le Conseil de sécurité de l'ONU à rétablir les sanctions internationales contre l'Iran pour non-respect de ses engagements nucléaires doit intervenir samedi soir. Explications.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a mis en garde samedi contre toute attaque envers son pays, qui entraînerait une "réponse résolue", alors que Donald Trump a appelé à abattre les avions russes en cas de violation de l’espace aérien de l’Otan.
Le Premier ministre israélien, qui s’apprêtait à prononcer un discours à la tribune des Nations unies, a suscité une vague de désapprobation menant au départ de plusieurs dizaines de diplomates.
C’est en 2020 que cette liste avait pour la première fois été publiée par le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU. La liste actualisée inclut 68 nouvelles entreprises par rapport à celle de 2023, tandis que sept autres, dont le constructeur ferroviaire français Alstom, en ont été retirées.
Plus de 1800 civils ont été tués entre janvier et septembre au Soudan du Sud, un pays "au bord du précipice", où les tensions politiques ont fortement progressé, se sont alarmées vendredi les Nations unies.
Après le sommet sur le climat du 24 septembre à l’ONU, la diplomate Ilana Seid, ambassadrice des Palaos auprès des Nations unies, rappelle que les petites îles risquent la disparition en cas de dépassement du seuil de + 1,5 °C de réchauffement.
À New York, Hadja Lahbib appelle à réinventer le système humanitaire alors que les États-Unis coupent leurs financements à l'ONU.
La plupart des délégués des pays membres de l’ONU ont bruyamment quitté la salle, vendredi 26 septembre, au début du discours du premier ministre israélien. Mais le dirigeant s’adressait avant tout aux Etats-Unis et à son opinion publique.
L’Iran « ne cédera jamais à la pression » sur son programme nucléaire, a déclaré, vendredi, son ministre des affaires étrangères, Abbas Araghtchi. Il a annoncé que des inspecteurs de l’AIEA se trouvaient actuellement dans le pays.
A l’issue du sommet climat organisé par l’ONU, plus de 100 pays, dont la Chine, ont publié, ou ont promis de le faire d’ici à la COP30, de nouveaux engagements de réduction de CO₂. Un tour de force dans un monde fracturé par les guerres et les conflits commerciaux.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a délivré jeudi par vidéo devant l'ONU un vibrant plaidoyer pour le peuple palestinien victime des "crimes" israéliens, assurant sans équivoque que le Hamas n'aurait aucun rôle dans la future gouvernance d'un éventuel Etat de Palestine.
Le président des Etats-Unis s’est lancé dans une longue diatribe anti-science ce mardi 23 septembre au siège de l’ONU à New York. «Libération» a recueilli les réactions de plusieurs scientifiques et experts, qui se disent atterrés sans être surpris.
Avec son discours fleuve, le Président américain a sidéré l’Assemblée des Nations Unies. Il a aussi inquiété la presse.
Entre accusations incongrues, moqueries et contrevérités, le président des Etats-Unis, Donald Trump, s’est acharné, mardi, à New York, à décrédibiliser une institution, l’Organisation des Nations unies, qu’il a contribué à affaiblir.
Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a demandé mercredi que cessent les "attaques" sur la flottille en route pour la bande de Gaza, réclamant une enquête "indépendante". Dans le même temps, le ministre de la Défense italien Guido Crosetto a annoncé l'envoi d'une frégate militaire pour "d'éventuelles opérations de secours".
En affirmant à la tribune de l’ONU que la capitale du Royaume-Uni entend «passer à la charia», le milliardaire Trump reprend des théories conspirationnistes diffusées en ligne par l’extrême droite, et tacle le maire musulman Sadiq Khan, une de ses cibles préférées depuis des années.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé mercredi depuis la tribune de l'ONU que l'Europe ne pouvait pas se permettre que la Moldavie entre dans l'orbite de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé mercredi à la tribune de l'ONU qu'une adhésion à l'Otan ne garantissait pas automatiquement la sécurité et loué le revirement de Donald Trump suggérant que Kiev pourrait reprendre des territoires occupés par la Russie.
Le président américain s’est appuyé sur de nombreux faits et chiffres trompeurs pour accuser les Nations unies de contribuer à une « crise de l’immigration incontrôlée ».
La crise du multilatéralisme que connaît l’organisation se double d’une crise budgétaire. L’institution vient de lancer son plan de réforme qui est aussi un plan social baptisé "ONU80".
Des importations européennes de gaz et de pétrole russes à l’énergie éolienne chinoise, en passant par le réchauffement climatique, le discours de Donald Trump devant l’Assemblée générale des Nations Unies ce 23 septembre a été émaillé de fausses affirmations et de simplifications. Voici une analyse de cinq des plus marquantes.
Le secrétaire général de l’ONU a porté devant la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, mardi 23 septembre, un discours alarmant sur la situation à Gaza, mais aussi au Soudan.
Donald Trump a lancé, mardi, à la tribune de l'ONU une attaque sans précédent contre les Nations unies, affirmant que cette institution ne contribuait pas à la paix.
Lors de son discours à la tribune de l'ONU, le président Emmanuel Macron a défendu mardi un "multilatéralisme efficace". Évoquant les guerres en Ukraine et à Gaza, il a insisté sur le fait que la France refusait le "double standard" en matière de paix et a invité les pays à "agir".
Dans un discours historique et anti-impérial qui a électrisé la salle de l’Assemblée générale des Nations unies avant l’entrée en scène de Donald Trump, Lula s’en est pris à l’ingérence américaine en articulant une doctrine : un nouvel exceptionnalisme sud-américain — la possibilité d’une renaissance du multilatéralisme depuis un continent sans arme de destruction massive et construit sur l’aspiration des peuples à la justice et à la paix.
Dans un discours décousu de près d’une heure, le président américain s’en est pris sans vergogne à ses alliés historiques. Avec une désinvolture qui continue de sidérer.
Selon le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, 92 % des personnes interrogées après leur libération ont subi des mauvais traitements.
A l’occasion de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies ce mardi à New York, le président américain a multiplié les diatribes contre les pays européens, l’immigration ou encore la reconnaissance de l’Etat de Palestine.
Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit lundi à l'appel de l'Estonie, après l'incursion d'avions russes dans l'espace aérien de ce pays, Donald Trump assurant que Washington aiderait à défendre la Pologne et les pays baltes en cas d'escalade de Moscou.
La France et plusieurs autres pays doivent reconnaître lundi l’État de Palestine, tentant de mettre un peu plus la pression sur Israël à l'ouverture de la grand-messe annuelle de l'Organisation des Nations unies (ONU) à New York qui sera dominée par la guerre à Gaza.
Les États-Unis ont promis lundi de défendre "chaque centimètre du territoire de l’Otan", au cours d’un Conseil de sécurité de l’ONU convoqué par l’Estonie après l’incursion d’avions russes dans son espace aérien, le troisième incident en dix jours visant des pays voisins de la Russie.
Lors de l’assemblée générale de l’ONU, qui se tient jusqu’au 29 septembre, un groupe d’ONG et de personnalités espère lancer un cadre prévenant « les risques les plus catastrophiques » de l’intelligence artificielle.
Prévu pour entrer en vigueur en janvier, le traité international de protection de la haute mer adopté à l'ONU doit permettre de donner les moyens aux États d'assurer la préservation des 60 % de la surface des océans qui n'appartiennent à aucun pays. Explications.
Dénonçant des "crimes contre l'humanité", le procureur général du Venezuela Tarek William Saab a demandé vendredi à l'ONU d'ouvrir une enquête sur les frappes de l'armée américaine ayant détruit trois bateaux dans les Caraïbes. Donald Trump a publié le même jour une nouvelle vidéo montrant ce qu'il a présenté comme une frappe américaine qui a selon lui tué trois "narcoterroristes".
Avec le dépôt de la ratification par le Maroc et la Sierra Leone, le texte a atteint ce vendredi 19 septembre le seuil des approbations requises pour enclencher les 120 jours avant d’être effectif, selon le site du service des traités de l’ONU.
Déluges, sécheresses et risques d’inondations touchent désormais des milliards de personnes. L’Organisation météorologique mondiale tire la sonnette d’alarme face à une sixième année consécutive de net déséquilibre du cycle hydrologique de la planète.
La majorité des membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont exprimé jeudi leur frustration et leur colère après un nouveau rejet américain d'une résolution appelant à un cessez-le-feu et à un accès humanitaire à la bande de Gaza.
Les Etats-Unis ont une nouvelle fois bloqué jeudi l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU d'un texte réclamant un cessez-le-feu et l'accès humanitaire à Gaza, provoquant la colère d'Etats membres qui ne veulent pas renoncer à peser sur ce dossier malgré les vétos américains répétés.
En réaction à un rapport présenté mardi 16 septembre lors de la 60e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies par la Commission internationale indépendante chargée d’enquêter dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et en Israël, qui conclut que les autorités et les forces israéliennes ont commis et continuent de commettre un génocide dans la bande de Gaza, la secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard, a déclaré : « Au moment où les autorités et les forces israéliennes intensifient leur violente campagne d’anéantissement, notamment dans la ville de Gaza, le rapport accablant de la Commission d’enquête des Nations unies confirme une nouvelle fois ce qu’Amnesty International et d’autres entités ont conclu depuis plusieurs mois : les autorités israéliennes et les forces israéliennes ont commis et continuent de commettre un génocide contre la population palestinienne à Gaza.
Le rapport publié mardi juge que l’Etat hébreu commet quatre des cinq catégories de faits qui définissent le crime de génocide, selon la convention de 1948.
Une commission d'enquête internationale indépendante de l'ONU a accusé mardi Israël de commettre un "génocide" à Gaza depuis octobre 2023 avec l'intention de "détruire" les Palestiniens, mettant en cause le Premier ministre et d'autres responsables israéliens.
Le premier secrétaire du Parti socialiste a appelé à afficher le drapeau palestinien sur les mairies le 22 septembre le jour où la France doit reconnaître l’Etat palestinien.
L'Assemblée générale de l'ONU se prononce vendredi sur la "déclaration de New York" visant à donner un nouveau souffle à la solution à deux Etats, israélien et palestinien, mais en excluant sans équivoque le Hamas.
Dans une déclaration qui nécessite l'accord de ses 15 membres, donc aussi des États-Unis alliés d'Israël, le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné jeudi les récentes frappes sur le Qatar sans toutefois nommer leur auteur Israël. Le Premier ministre du Qatar a salué cette déclaration de soutien et a assuré "croire pleinement en la médiation".
L'Assemblée générale de l'ONU se prononce vendredi sur la "déclaration de New York" visant à donner un nouveau souffle à la solution à deux Etats, israélien et palestinien, mais en excluant sans équivoque le Hamas.
Environ 100.000 personnes ont été déplacées par les inondations au Soudan du Sud ces dernières semaines, a annoncé l’ONU vendredi, qui craint que ce nombre soit multiplié par quatre d’ici la fin de l’année.
Ce vendredi 12 septembre, 142 Etats ont signé la «déclaration de New York», à dix jours d’un sommet qui sera co-présidé par Paris et Ryad où plusieurs pays - dont la France - devraient reconnaître l’existence de la Palestine.
Varsovie entend attirer l’attention sur l’«attaque sans précédent» menée par Moscou dans la nuit de mardi à mercredi.
En refusant de se soumettre à l’« examen périodique universel sur la situation des droits humains » prévu en novembre par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, les Etats-Unis se détachent un peu plus des instances multilatérales.
Face aux coups de force de l’administration Trump qui affaiblissent le multilatéralisme et attisent les tensions internationales, le siège des Nations unies doit être garanti dans un lieu où l’accès est libre, la neutralité respectée et le financement assuré, propose le journaliste et conseiller régional de Haute-Savoie Benjamin Joyeux.
La récente crise diplomatique provoquée par la décision du gouvernement américain de refuser des visas à une délégation palestinienne, y compris au président Mahmoud Abbas, pour participer à la 80e Assemblée générale de l’ONU, a déclenché un mouvement politique d’une grande portée au sein des Nations unies. Par une large majorité – selon plusieurs sources, plus de 140 États ont voté pour, contre seulement deux – l’Assemblée générale a approuvé une motion visant à transférer ses prochaines sessions à Genève, afin de garantir la participation de la Palestine et d’empêcher Washington d’utiliser la Convention sur le siège de 1947 comme une arme politique pour exclure des délégations jugées gênantes. Ce vote rappelle le précédent de 1988, lorsque Ronald Reagan avait refusé un visa à Yasser Arafat et que l’ONU s’était réunie en Suisse pour lui permettre d’intervenir.
Les feux de forêt libèrent un "mélange toxique" de polluants qui peuvent finir par détériorer la qualité de l'air à des milliers de kilomètres de là, a affirmé vendredi l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
La Belgique emboîte le pas à la France, au Canada et à l'Australie. Le pays va reconnaître l'État de Palestine à l'Assemblée générale des Nations unies en septembre si "le dernier otage est libéré et que le Hamas n'assume plus quelconque gestion de la Palestine", a annoncé mardi le ministre des Affaires étrangères belge.
Les rebelles ont lancé une campagne d’arrestations au lendemain de la mort de leur Premier ministre dans une frappe israélienne.
Le département d’Etat américain a révoqué les visas de dizaines de membres de l’Autorité palestinienne et de l’OLP. Le président Mahmoud Abbas lui-même pourrait être empêché de se rendre à New York. L’administration Trump justifie sa décision en affirmant que les dirigeants palestiniens « portent atteinte aux perspectives de paix ».
Le secrétaire d’Etat américain a pris cette décision extraordinaire alors que la France doit plaider dans quelques jours devant les Nations unies pour la reconnaissance d’un Etat palestinien.
Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, a dénoncé samedi le refus des États-Unis d'accorder des visas à des représentants de l'Autorité palestinienne, affirmant que le siège de l'ONU à New York "ne saurait souffrir d'aucune restriction d'accès"
Les Etats-Unis ont refusé ou révoqué des visas à des responsables palestiniens, dont le président de l’Autorité palestinienne, pour l’Assemblée générale de l’ONU en septembre à New York, où la France plaidera pour la reconnaissance d’un Etat palestinien.
L'ONU a déploré, lundi, l'inaction internationale après qu'une frappe israélienne sur un hôpital de Gaza a tué au moins vingt personnes, dont cinq journalistes. L'organisation a rappelé que ni les hôpitaux ni les journalistes ne doivent "être des cibles", tandis que certaines réactions officielles ont été publiées en fin de journée.
Plus de 2 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à une eau potable gérée en toute sécurité, déplorent mardi les Nations unies dans un rapport.
L’Union postale universelle étudie actuellement des solutions pour faire repartir les livraisons.Colis piégés... par la politique de Trump. L’agence postale de l’ONU a recensé ce mardi 26 août un total de 25 pays ayant décidé de suspendre leurs livraisons de colis vers les Etats-Unis, en raison des incertitudes liées à l’impact de droits de douane imminents, décidés par Donald Trump.
L'Assemblée générale de l'ONU a créé mardi un groupe d'experts scientifiques sur l'intelligence artificielle (IA) qui sera chargé d'aider la communauté internationale à prendre des décisions informées sur ce sujet sensible, comme le fait le Giec pour le climat.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, va lancer un appel à candidatures pour identifier les quarante futurs membres du groupe, qui siégeront pour trois ans.
L’ONU a officiellement déclaré une famine à Gaza vendredi, un "mensonge éhonté" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Les experts des Nations Unies ont cependant attendu plus que la plupart des ONG sur place pour décréter l’état de famine dans le nord de l’enclave, leur cadre d’analyse étant contraignant.
Si les réactions diplomatiques ont été peu nombreuses, la reconnaissance de la famine peut venir alimenter les procédures ouvertes devant la justice internationale pour « crime contre l’humanité » contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant, et pour « génocide » contre l’Etat d’Israël.
Rendu public vendredi, un rapport confirme une crise alimentaire majeure avec plus de 500 000 Gazaouis déjà confrontés à la famine. Cette situation découle de longues périodes de blocus. Le gouvernement israélien conteste ces accusations, que Benyamin Nétanyahou renvoie à des préjugés antisémites.
Parce qu’ils ont tous signé les conventions de Genève de 1949, ils ont l’obligation de faire respecter le droit international humanitaire, soulignent, dans une tribune au « Monde », les juristes Julia Grignon et Alexandre Miliani.
Pour récupérer quelques poignées de riz, des Palestiniens hagards, armés de casseroles et de seaux en plastique, se ruent vers une soupe populaire de la ville de Gaza, ravagée par la guerre et frappée officiellement par la famine selon l'ONU.
« Nous ne pouvons pas laisser cette situation perdurer en toute impunité », a alerté le secrétaire général de l’ONU, alors que selon l’organisation intergouvernementale, plus d’un demi-million de Gazaouis sont confrontés à des conditions de vie « catastrophiques ».
Les Nations unies ont confirmé qu’une famine était en cours dans le gouvernorat de Gaza et qu’elle devrait s’étendre à ceux de Deir Al-Balah et de Khan Younès d’ici à la fin du mois de septembre.
Le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) a déclaré ce vendredi 22 août la ville de Gaza, ainsi que des parties du sud et du centre de l’enclave, en état de famine. Les données sont insuffisantes pour le nord, où la situation est également terrible.
Le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) est un organisme indépendant développé par l’ONU et des ONG et le principal outil de surveillance de la faim dans le monde.
L’ONU a officiellement déclaré vendredi la famine à Gaza, la première à toucher le Moyen-Orient, après que ses experts ont averti que 500.000 personnes se trouvaient dans un état "catastrophique".
Le groupe d’experts mandaté par l’ONU a décrété vendredi 22 août dans un rapport officiel que certaines zones de l’enclave palestinienne étaient entrées dans un état de famine. Il est grand temps que la communauté internationale réagisse.