Démographie

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La démographie est l’étude quantitative et qualitative des caractéristiques des populations et de leurs dynamiques, à partir de thèmes tels que la natalité, la fécondité, la mortalité, la nuptialité (ou conjugalité) et la migration. Source : wikipedia

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Piotr Smolar

2025

Dans un communiqué publié vendredi, le mouvement islamiste palestinien s’est dit prêt à négocier en vue de la libération des otages et de la fin de la guerre, mais n’a pas mentionné son désarmement et réclame le retrait complet d’Israël. Le président américain a jugé que le Hamas « était prêt pour une paix durable », ajoutant que l’Etat hébreu « doit arrêter immédiatement le bombardement de Gaza ».
Devant près de 800 généraux et amiraux convoqués pour l’occasion, le président américain et son secrétaire à la défense ont exposé leur vision d’une armée débarrassée de ses supposées composantes « woke ». Sa principale mission serait désormais de combattre les ennemis de l’intérieur, à commencer par les villes démocrates.
Le président américain a ignoré les suggestions des pays musulmans qui regrettent notamment que le retrait israélien de la bande de Gaza ne soit pas encadré par un calendrier précis.
Ce plan en 20 points, présenté par le président américain, a été approuvé par le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou. Si le Hamas donne son accord, le conflit prendra fin immédiatement et les otages devront être libérés avant le 2 octobre. Le retrait militaire israélien de l’enclave ne serait pas encadré par un calendrier précis.
Le vice-président américain, J. D. Vance, a pris la tête, lundi, d’une chasse aux sorcières visant « les gens de gauche », accusés sans fondement de promouvoir la violence politique.
En vingt-quatre heures, le président américain a été pris de court sur les deux dossiers majeurs de politique étrangère dans lesquels il a choisi de s’investir lourdement. Dans les deux cas, aucune stratégie claire ne se dessine. […] « Très mécontent », « en colère » ou « déçu ». Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a régulièrement exprimé sa frustration par rapport au président russe, Vladimir Poutine, et son refus de tout compromis en vue d’une paix négociée en Ukraine. Il s’est aussi dit « très mécontent » après la frappe israélienne sur le Qatar, mardi 9 septembre. Plus ces commentaires s’accumulent, et plus le président américain devient le traducteur de sa propre impuissance, de son immobilisme.
Le département d’Etat américain a révoqué les visas de dizaines de membres de l’Autorité palestinienne et de l’OLP. Le président Mahmoud Abbas lui-même pourrait être empêché de se rendre à New York. L’administration Trump justifie sa décision en affirmant que les dirigeants palestiniens « portent atteinte aux perspectives de paix ».
En ordonnant, lundi 25 août, la création d’une unité spéciale dans chacun des 50 Etats pour assurer l’ordre public, le président républicain cherche à banaliser la présence des militaires dans les rues et à fédéraliser la politique de sécurité publique.
Le président américain nourrit depuis près de vingt ans une fascination manifeste pour son homologue russe, qu’il doit rencontrer lors d’un sommet consacré à l’Ukraine vendredi, en Alaska. Son empire immobilier a largement bénéficié de capitaux privés russes.
Dans une déclaration commune signée samedi, les dirigeants français, italien, allemand, finlandais, polonais et Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, ont rappelé que les « frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force ». Une réunion extraordinaire des ministres des affaires étrangères des Vingt-Sept se tiendra lundi.
Des figures de la base trumpiste s’opposent à toute implication des Etats-Unis dans l’affrontement, allant jusqu’à évoquer un « schisme », alors que des membres de l’entourage présidentiel encouragent un changement de régime à Téhéran.
Des millions de personnes se sont rassemblées à travers le pays pour dénoncer les dérives autoritaires du président américain. Pendant ce temps-là, à Washington, le républicain assistait au défilé militaire qu’il avait organisé.
Le communiqué publié par le secrétaire d’Etat, Marco Rubio, ne manifeste aucune forme de solidarité avec l’Etat hébreu. Cette réaction peut traduire une forme d’irritation à l’égard de Benyamin Nétanyahou, qui, en ordonnant les frappes, torpille les négociations avec Téhéran, relancées par Donald Trump en mars.
Vigies de la Constitution, les juges fédéraux tentent de faire respecter l’équilibre des pouvoirs, alors que, des droits de douane à l’immigration, le milliardaire ne cesse d’enfreindre le périmètre qui revient normalement au président américain.
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit.
Dans un entretien au « Monde », le professeur de philosophie américain explique pourquoi il a décidé de s’exiler au Canada. Il justifie ce départ par les assauts de l’administration Trump contre les campus américains, même si son université a été jusqu’ici relativement épargnée. Jason Stanley est professeur de philosophie, spécialisé dans les pratiques et le langage des régimes autoritaires. Il a décidé de quitter Yale et de rejoindre la Munk School of Global Affairs and Public Policy de l’université de Toronto, au Canada.
Le président américain a tenu un meeting, mardi, près de Detroit dans le Michigan. Dans la salle, ses partisans les plus farouches le soutiennent malgré les incertitudes économiques : « Ça s’appelle la foi. »
Les droits de douane historiques et massifs, décidés par l’administration Trump contre la Chine – 104 % ajoutés depuis le début de mandat en janvier – sont bien entrés en vigueur, de même que ceux annoncés le 2 avril contre une soixantaine de pays. Au même moment, une surtaxe allant de 11% à 50% s’est appliquée à 60 partenaires commerciaux des États-Unis - la plus monumentale vague de droits de douane à se jour.
Avec « hands off » (bas les pattes) pour cri de ralliement, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans tous les Etats du pays, samedi, pour protester contre les abus de pouvoir de la Maison Blanche, quelques jours après l’annonce de taxes douanières massives par Donald Trump.
Cette trentenaire connue pour ses propos racistes et xénophobes a demandé personnellement à Donald Trump le limogeage du général Haugh, nommé sous Biden à la tête de l’agence américaine de renseignement, et de plusieurs autres hauts responsables. Leur faute ? Une supposée déloyauté envers le président américain.