La démographie est l’étude quantitative et qualitative des caractéristiques des populations et de leurs dynamiques, à partir de thèmes tels que la natalité, la fécondité, la mortalité, la nuptialité (ou conjugalité) et la migration. Source : wikipedia
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Science presse
2025
This paper analyses General Social Survey (United States) data and provides evidence that the advent of Facebook and other social media platforms has widened the gap in scepticism towards science between low-educated Americans and their more highly educated counterparts. The same trend holds true when considering distrust in medicine, the press and television. Overall, the results suggest that education may serve as a protective factor against the influence of fake news, disinformation and misinformation. Additionally, a heterogeneity analysis shows that the increase in distrust is particularly pronounced among young people. Further analyses reveal that political affiliation plays a role in shaping attitudes towards science and that the likelihood of voting for the Republican Party has increased among low-educated individuals. A comprehensive set of robustness and placebo tests supports the reliability of these findings.
C’est une des plus grosses bases de données du monde sur la santé publique: elle suit l'évolution, dans 90 pays, de chiffres aussi divers que ceux sur la mortalité infantile, la malaria, la tuberculose ou la nutrition. Elle a été citée 345 000 fois dans l'écosystème de la recherche. Mais elle est à risque de ne plus être mise à jour pour la première fois depuis 40 ans, à cause des coupes des États-Unis à leur agence d'aide au développement (USAID).
2023
Ce ne sont pas les mauvaises nouvelles de cette année sur le front climatique qui semblent empêcher les géants pétroliers de revenir sur leurs promesses de réduire leurs émissions. Coup sur coup, trois des plus gros ont fait des annonces allant dans l’autre direction.
Avec la réglementation qui restreint l’utilisation du bisphénol A, l’industrie se tourne vers de nouvelles substances pour le remplacer. Le Détecteur de rumeurs a vérifié ce qu’on sait des risques de ces substituts.
Sept des huit « frontières planétaires » ont été franchies, conclut une étude parue cette semaine, à laquelle les médias ont fait écho. Il s’agit d’une remise à jour d’un concept énoncé pour la première fois en 2009 et auquel les auteurs ont ajouté un « coût » qui n’était pas sur leurs radars à l’époque.
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Depuis le début de l’année, la déforestation de l’Amazonie est de 40% inférieure à la même période en 2022. Un progrès qui peut être vu comme une victoire pour le nouveau président Luiz Inacio Lula da Silva, mais qui se heurte aux freins d’oppositions régionales et d’une industrie pas prête à céder facilement ses acquis.
2022
Une « percée historique ». Une « révolution » pour la production d’énergie. Les superlatifs n’ont pas manqué autour du dévoilement, mardi, de la première fusion nucléaire jamais réussie en laboratoire. Mais avant d’espérer voir de l’électricité produite à grande échelle grâce à la fusion nucléaire, il faudra compter non pas des années, mais des décennies.
De la soupe sur un tableau de Van Gogh, de la purée sur une toile de Monet, de la cire sur une statue du roi Charles, les actions directes des militants écologistes de Just Stop Oil ont été très médiatisées. Cela interpelle même des scientifiques.
Coup sur coup cette semaine, trois rapports ont apporté un regard différent sur l’avenir : deux tracent un portrait sombre des promesses des différents pays, et un offre une lueur d’espoir… grâce à la guerre en Ukraine.
Longtemps décriée, la géoingénierie pourrait-elle acquérir ses lettres de noblesse en sauvant les glaces du Groenland? C’est l’objectif que semblent s’être donnés des entrepreneurs et au moins un milliardaire.
On est en septembre, et le Groenland continue de fondre. C’est l’avertissement inquiet qu’avait lancé au début du mois le glaciologue américain Jason Box, depuis son poste d’observation sur la banquise, alors que la pluie se mettait à tomber.
Si personne ne peut dire de quelle façon évoluera la variole du singe dans les prochains mois, une chose fait de plus en plus consensus: les différents gouvernements concernés ont manqué le bateau. Avec désormais 15 000 cas recensés depuis le mois de mai —et la possibilité, si la tendance exponentielle se maintient, d’atteindre 100 000 cas en août— il est clair que l’épidémie a échappé à tout contrôle dans plusieurs pays. Pas assez d’efforts de dépistage, de traçage des contacts ou de vaccination des groupes vulnérables.
La vague de chaleur intense qui frappe l’Europe cette semaine n’est pas la première, mais ces canicules ont augmenté en fréquence et en intensité depuis 40 ans.
Il avait été suggéré à la mi-juin que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) allait peut-être déclencher son plus haut niveau d’alerte pour l’épidémie de variole du singe. Le 25 juin, la décision était reportée. Mais même si ce niveau d’alerte était déclenché, cela permettrait-il de contrôler l’épidémie?
Lorsque de la pluie tombe sur le plus haut point de la calotte glaciaire du Groenland, ça n’est pas une bonne nouvelle. Pourtant, une nouvelle analyse de cet événement survenu en août dernier, révèle que cette pluie n’était qu’un élément mineur d’un plus vaste ensemble.
Cet ouvrage ouvre pour la première fois la boîte noire du GIEC. Il raconte la rigueur du processus d'évaluation et la lourdeur bureaucratique que cela induit. Il décrit le travail de négociation des experts avec les États sur les principales conclusions et pointe le risque de dépolitisation des enjeux climatiques.
Le récent documentaire de la réalisatrice canadienne Jennifer Abbott, L’ampleur de toutes choses, aborde les changements climatiques sous l’angle de la perte et du deuil – celle de sa sœur, décédée d’un cancer, mais aussi d’une sortie de crise que les innovations technologiques ne peuvent nous offrir.
On ne le croirait pas à écouter Fox News ou les élus républicains, mais même aux États-Unis, l’opinion publique est résolument en faveur de politiques d’aide aux énergies renouvelables, et ne doute plus de la nécessité d’agir contre le réchauffement climatique.
À première vue, rien ne ressemble plus à une molécule de CO2 qu’une autre molécule de CO2. Voilà que des chercheurs proposent une voie alternative pour les distinguer, plus facile que les méthodes actuelles et qui pourrait venir en aide à ceux qui cherchent à déterminer la quantité très précise de gaz à effet de serre que nous envoyons là-haut.