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16 août 2024

Assis bien confortablement dans notre canapé, nous l’attendons, nous le redoutons… Il est 19h59, et comme chaque soir, le dernier bulletin météo de la journée est sur le point de commencer. Cette fois, vous le sentez, les nouvelles seront bonnes. La pluie qui vous plombe le moral depuis des mois ne tombera pas demain. Mais lorsque le présentateur météo ouvre la bouche, c’est la désillusion. Votre bon vieux parapluie n’a pas fini de vous rendre service. En fait, il se pourrait même que vous ne vous en soyez jamais autant servi.
Émission QR réalisée par le Green Office ULiège en collaboration avec les étudiants de Géographie (climatologie) et les étudiants de journalisme de l'Université de Liège sur le plateau du Média Campus.
Misinformation by fossil fuel companies is slowing down the energy transition and global efforts to tackle climate change, warns the UN.
Les orages de l’été et leurs fortes pluies sont parfois accueillis avec soulagement après une période de sécheresse. Mais aident-ils vraiment à recharger l’eau des nappes ?
L’urbanisme favorable à la santé est une approche qui réfléchit l'aménagement des villes à l’aune de son impact sur la santé… et souvent par ricochet, sur l’environnement.
Près de 400 combattants du Hezbollah ont été tués en marge de la guerre à Gaza, des pertes supérieures à celles du conflit de 2006.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique. Identifiée en 1958, cette maladie n’a rien de nouveau. Pourquoi suscite-t-elle de nouvelles inquiétudes ? France 24 fait le point.

15 août 2024

La société dans laquelle nous vivons semble de plus en plus hors de contrôle. Mais il ne s’agit pas d’une simple impression, nous explique Theodore Kaczynski, histoire et sciences dures à l’appui. En effet, plus un système se complexifie, plus son instabilité augmente. Toute gestion rationnelle de son développement devient alors impossible ; de même qu’en matière de prédictions économiques ou météorologiques, dès que l’on dépasse le très court terme, « l’échec est la norme ». D’où l’importance de mettre fin au développement technologique qui ravage actuellement les systèmes sociaux et biologiques mondiaux et menace de détruire l’essentiel de la vie sur Terre.
ce célèbre examen, par Langdon Winner, des implications politiques, sociales et philosophiques de la technologie s’avère plus actuel que jamais. Il démontre que les choix technologiques, loin d’être neutres, déterminent le genre de monde dans lequel nous vivons et le type d’être humain qui y vit, qu’en adoptant une technologie, on adopte une politique – autrement dit, que les décisions techniques sont des décisions politiques, aux conséquences majeures en matière de pouvoir, de liberté et de justice. La Baleine et le Réacteur nous encourage donc à nous défaire d’importants préjugés et lieux communs, en vue de nous permettre de reconstruire un rapport humain et politique à la technologie.
À l’heure de la crise écologique, le dogme révolutionnaire de la « réappropriation des moyens de production » ne peut plus être affirmé innocemment. Moteur humain, moteur mécanique : ce sont là les bases de l’invention capitaliste du « travail ». La croyance en la substituabilité indéfinie d’une dépense d’énergie abstraite nourrit le développement technologique et entretient une relation ambivalente avec la thermodynamique. Une conception substantialiste de la valeur, telle que développée par Karl Marx et relue par Robert Kurz, permet de réinscrire le paradigme énergétique à l’intérieur de la forme sociale capitaliste et d’en expliciter la dynamique propre. Le rapport de composition organique du capital articule en effet étroitement le « travail mort » des machines et le « travail vivant » des humains. La crise énergétique et ses retombées écologiques constituent en ce sens le mur externe du métabolisme capitaliste, l’autre mur étant la création d’une humanité superflue. L’abolition du travail abstrait ne pou