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12 novembre 2025

Plus de 3 000 représentant·es des peuples autochtones brésiliens se rendent à Belém, où se déroule le 30ème sommet mondial sur le climat. Sur place, l’espace «Aldeia COP» a été pensé pour défendre leurs territoires, partager leurs savoirs ancestraux et influer sur les négociations climatiques. Vert s’y est rendu.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de doctorants et de doctorantes en sciences de la Terre et du climat dénonce l’hypocrisie de politiques internationales qui prétendent mener la transition écologique mais « minent, décision après décision, les moyens d’y parvenir ».
We, the undersigned, are scientists working in the field of climate research and feel it is urgent to draw the attention of the Nordic Council of Ministers to the serious risk of a major ocean circulation change in the Atlantic. A string of scientific studies in the past few years suggests that this risk has so far been greatly underestimated. Such an ocean circulation change would have devastating and irreversible impacts especially for Nordic countries, but also for other parts of the world.
Affaibli par le dérèglement climatique, l’AMOC aurait bien plus de chances de s’arrêter que prévu, avertit une nouvelle étude. Un événement littéralement glaçant puisqu’il ferait chuter les températures en Europe jusqu’à –30 °C.
Alors que la COP30 débute aux portes de l’Amazonie, de riches propriétaires de terres assènent de fake news le débat sur la déforestation. Reporterre a rencontré l’un de ces leaders, cow-boy pro-Trump résolument anti-écologiste.
Parce que les énergies renouvelables coûtent moins cher que les fossiles, leur croissance exponentielle est désormais inarrêtable. Mais cela reste insuffisant pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre, alors que la demande énergétique est hors de contrôle, prévient l’Agence internationale de l’énergie.
« Je suppose qu’il est tentant, si le seul outil dont vous disposez est un marteau, de traiter tout comme s’il s’agissait d’un clou. » C’est ce qu’écrivait le célèbre psychologue Abraham Maslow en 1966. Si Maslow était encore parmi nous aujourd’hui, j’imagine qu’il approuverait le corolaire selon lequel si votre seul outil est la technologie, chaque problème semble avoir une solution technologique. Et c’est une caractérisation pertinente de la pensée centrée sur les « tech bro » qui prévaut aujourd’hui dans le discours public sur l’environnement.
We are hurtling toward climate chaos. The planet's vital signs are flashing red. The consequences of human-driven alterations of the climate are no longer future threats but are here now. This unfolding emergency stems from failed foresight, political inaction, unsustainable economic systems, and misinformation. Almost every corner of the biosphere is reeling from intensifying heat, storms, floods, droughts, or fires. The window to prevent the worst outcomes is rapidly closing. In early 2025, the World Meteorological Organization reported that 2024 was the hottest year on record (WMO 2025a). This was likely hotter than the peak of the last interglacial, roughly 125,000 years ago (Gulev et al. 2021, Kaufman and McKay 2022). Rising levels of greenhouse gases remain the driving force behind this escalation. These recent developments emphasize the extreme insufficiency of global efforts to reduce greenhouse gas emissions and mark the beginning of a grim new chapter for life on Earth.
Des heurts ont eu lieu entre des militants autochtones brésiliens et les agents de sécurité de la conférence sur le climat de l’ONU à Belem, au Brésil.
Plus de 80 pays n’ont toujours pas remis leur plan de baisse d’émissions de gaz à effet de serre pour 2035, alors qu’ils étaient tenus de le faire avant le coup d’envoi du sommet mondial. Une situation qui illustre la difficulté croissante à faire converger les efforts. […] Elles portent un nom abscons, mais, dans cette COP30 qui a débuté lundi 10 novembre à Belém, au Brésil, leur rôle est crucial. Les NDC, pour «contributions déterminées au niveau national», désignent les plans climatiques par lesquels chaque Etat s’engage, devant le reste du monde, à baisser ses émissions de gaz à effet de serre et rendre compte de ses progrès. Instituées par l’accord de Paris en 2015, ces feuilles de route doivent être actualisées tous les cinq ans, et les pays ont l’obligation de rehausser leur degré d’action à chaque nouvelle mouture.