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Bad climate news is everywhere. Africa is being hit particularly hard by climate change and extreme weather, impacting lives and livelihoods. We are living in a world that is warming at the fastest rate since records began. Yet, governments have been slow to act.
La COP30 de Belém, qui se tiendra en novembre prochain, est un rendez-vous crucial pour relancer la dynamique climatique internationale dix ans après l'Accord de Paris. Des premiers rendez-vous se sont tenus à Bonn et Séville pour entamer les discussions mais le clivage Nord-Sud semble à son apogée. Le Brésil a la lourde tâche de réussir à apaiser les tensions dans un contexte particulièrement difficile.
Après dix jours d’échanges, les négociations climatiques de Bonn, en Allemagne, se sont achevées tard dans la soirée de jeudi sans avancée majeure. Ce qui laisse présager d’âpres pourparlers dans cinq mois lors de la COP30, cruciale pour l’avenir de la planète.
Le non-dépassement de un degré et demi de réchauffement climatique global a toujours été une chimère Paris, décembre 2015 : objectif 2°C max. ! Lors de la COP21 à Paris en décembre 2015, le Préside…
Ces prix exorbitants compromettent la participation des pays du Sud à la Conférence mondiale sur le climat, laissant craindre de voir l’événement se transformer en « COP des élites », selon les mots du quotidien économique « Valor ».
Between 80% and 89% of the world’s people want their governments to do more about climate change. This fact is the central tenet of the 89% Project for climate journalism. Timed to coincide with Earth Day and Earth Week, the project launched in April, 2025, and will culminate in another week of focused stories in October, just before the next COP meeting in Brazil.
Sans baisse rapide des émissions, le budget carbone pour limiter le réchauffement à 1,5 ºC sera épuisé d’ici trois ans, alertent des scientifiques. Le climat se dérègle plus vite que prévu.
Selon un collectif de scientifiques, l’objectif fixé par l’accord de Paris en 2015 ne pourra pas être atteint en raison de l’incapacité des pays à diminuer les émissions de gaz à effet de serre.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva affirme que "le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", défendant ses projets d'extraction de combustibles fossiles à quelques mois d'accueillir la COP30, dans une interview publiée jeudi. "Je suis favorable à travailler à l'idée d'un jour sans combustibles fossiles, mais je suis très réaliste : le monde n'est pas prêt à vivre sans pétrole", a déclaré Lula dans une interview au podcast du rappeur brésilien Mano Brown.
Les négociations climatiques intermédiaires, qui durent du 16 au 26 juin, préparent la COP30 au Brésil. L’enjeu est de remobiliser les Etats, dont les efforts pour limiter le réchauffement restent très loin des besoins.
Sept anciens ministres de l'Environnement du Brésil ont publié jeudi une lettre ouverte critiquant un projet de loi controversé visant à assouplir les règles pour l'obtention de licences environnementales. Déjà approuvé au Sénat, ce projet de loi doit être débattu prochainement à la Chambre des députés, alors que le pays sud-américain s'apprête à accueillir en novembre la conférence de l'ONU sur le climat COP30 dans la ville amazonienne de Belem.
Alors que de nombreux reculs environnementaux ont émaillé le second mandat de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, l'objectif climatique à 2040 du continent pourrait être pris en otage. Il est pourtant crucial que l'UE se positionne en amont de la COP30 de Belém.
Cette suppression fait craindre une absence totale des Etats-Unis lors de la COP30, qui se tiendra au Brésil en novembre. La décision intervient trois mois après l’annonce retentissante du nouveau retrait américain de l’accord de Paris sur le climat.
L’ancienne ministre de la justice occupe depuis l’automne 2024 une prestigieuse chaire universitaire au Brésil. Elle prépare activement la COP30, où elle défendra la préservation de la forêt amazonienne, en s’appuyant sur le travail des chercheurs qu’elle dirige.
Pour la première fois, les acteurs les plus éminents de la lutte contre la désinformation climatique à travers le monde sont rassemblés au même endroit, à Brasília (Brésil). Encore mieux : ils sont explicitement soutenus par le gouvernement brésilien et les Nations unies.
Réapparition d’espèces ou ouverture de zones de baignades, grâce à une politique volontariste les habitants redécouvrent la Seine. Parce que l’habitabilité de notre planète ne peut se faire sans une protection des écosystèmes marins, la ville de Paris se mobilise pour régénérer son fleuve mais voit aussi plus loin et s’engage au niveau mondial pour la COP30 de Belém. [...] Le 23 juin, pour les dix ans de l’accord de Paris, nous rassemblerons à Paris scientifiques, responsables associatifs et maires de villes engagées.
In november zal de COP30 plaatsvinden in Belém, Brazilië. Braziliaanse minister van Milieu- en Klimaatverandering Marina Silva wil dat er resultaten geboekt worden op de volgende COP. Het mag volgens haar niet uitdraaien op een feestelijk spektakel.
Ce lundi 10 février marque la date limite pour que les États de l'accord de Paris rendent leur copie. Tous les cinq ans, les 194 pays et l'Union européenne doivent mettre à jour leurs « plans climat » afin de limiter le réchauffement climatique bien en dessous de deux degrés. Ce sera l'enjeu de la COP30 au Brésil en fin d'année, mais seulement une poignée d'entre eux ont rendu leur travail en temps et en heure.
À quelques mois du prochain sommet mondial sur le climat, qui se tiendra en novembre à Belém, la construction d’une quatre voies à travers une zone protégée de l’Amazonie suscite une vive controverse. Si le gouvernement du Pará défend un projet “durable” pour moderniser la ville, écologistes et habitants dénoncent une menace pour l’environnement et les communautés traditionnelles locales.
Climat : une partie de la forêt amazonienne abattue pour construire une autoroute en vue de la COP30
(12/03) - Belga,Une partie de la forêt amazonienne a été abattue pour construire une autoroute en vue de la COP30 qui se tiendra à Belem dans le nord du Brésil, rapporte la BBC mercredi. Belem accueillera la COP30, la prochaine conférence sur le climat de l’ONU, du 10 au 21 novembre. Quelque 50.000 visiteurs sont attendus pour l’occasion. Pour faire face à cet afflux, les autorités ont lancé la construction d’une autoroute à quatre voies, qui traverse des dizaines de milliers d’hectares de forêt amazonienne protégée.
Een stuk van 13 kilometer beschermd Amazone-regenwoud is gekapt om plaats te maken voor een nieuwe snelweg met 4 rijvakken. De reden? De klimaattop COP30 die in november plaatsvindt in de Braziliaanse stad Belém. Of hoe de klimaattop haar eigen ecologische voetafdruk achterlaat.
Le Japon s'est engagé mardi à réduire de 60% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2035 par rapport à 2013, dans le cadre d'un plan climatique à l'ambition relevée, et qui s'accompagne d'une révision de sa stratégie énergétique.La quatrième économie mondiale, encore très dépendante des hydrocarbures et accusée d'avoir le mix énergétique le plus polluant des puissances du G7, s'est déjà fixé pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050.
La « COP30 » désigne la 30e Conférence internationale des parties de la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Cette COP fait suite à la COP28 de Dubaï en 2023 et à la COP29 de Bakou qui s'est tenue fin 2024. La COP30 aura lieu du 10 au 21 novembre 2025 à Belém, capitale de l'État du Para située au nord du Brésil. Cette ville de près de 1,5 million d'habitants se trouve dans l'estuaire des fleuves Tocantins et Pará, aux portes de la forêt amazonienne.
Près de 200 Etats avaient jusqu’au lundi 10 février pour fournir à l’ONU leur stratégie de réduction des gaz à effet de serre. Alors que la date limite est désormais dépassée, l’UE et la Chine n’ont toujours pas rendu leurs travaux.
Seulement 5 % des signataires de l'Accord de Paris ont rendu leur plan pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre. Et ceux qui l'ont fait n'ont rien présenté d'ambitieux.
En dépit des critiques des écologistes, le président brésilien Lula a renforcé cette semaine la pression en faveur d'un méga-projet d'exploration pétrolière près de l'embouchure de l'Amazone, en pleins préparatifs pour la COP30 dans la ville amazonienne de Belem."Nous voulons le pétrole, car il va encore exister longtemps", a déclaré mercredi Luiz Inacio Lula da Silva, argumentant que la manne de l'or noir doit servir "à financer la transition énergétique, qui coûtera très cher".
Developing countries urge biggest polluters to act as Trump’s return to the White House heightens geopolitical turmoil
Le Brésil organisera en novembre, à Belem, la prochaine conférence mondiale sur le climat, quelques mois après l’annonce par les États-Unis de leur retrait. Un défi à la fois sur le plan des négociations et de l’organisation.
COP ou pas cap ? Mardi, le président brésilien Lula a nommé le diplomate André Corrêa do Lago à la tête de la 30ème conférence mondiale sur le climat, qui se tiendra en novembre prochain au Brésil. Un choix validé par les organisations écologistes.
L'année 2025 s'annonce décisive pour les sujets climat et biodiversité. La COP30 sur le climat qui se tiendra au Brésil coïncidera avec les dix ans de l'Accord de Paris. Les pays devront revoir leurs engagements à la hausse. En 2025, la COP16 Biodiversité devra aussi s'achever sur un accord, tandis que des conférences se tiendront sur les océans et le financement du développement.
In the lead-up to COP29, Fausto Corvino emphasized the need for a paradigm shift within the international climate negotiations to ensure that the global rich bear a greater responsibility for climate finance. In this follow-up article, he explains why COP29 has failed in its historic mission to lay the foundations for a rapid and equitable global transition to low-carbon energy....
Dans cette vidéo, on analyse sans filtre les temps forts et les échecs de la COP29, organisée en Azerbaïdjan, un pays au cœur des enjeux fossiles. Entre finance climatique insuffisante, absences marquantes des grandes puissances, et poids croissant des lobbyistes fossiles, cette conférence soulève des questions cruciales sur l'avenir de la lutte contre le réchauffement climatique.
Op de klimaattop in Bakoe eerder deze maand botsten Noord en Zuid frontaal. Het resultaat was een teleurstellend akkoord. Het stof was in de Azerbeidzjaanse hoofdstad nog niet neergedaald toen MO* sprak met de vooraanstaande klimaatwetenschapster Joyeeta Gupta. Is effectief klimaatbeleid nog wel mogelijk? En hoe ziet een rechtvaardige transitie er anno 2025 uit?
La COP29 s'est terminée sur un goût amer, les pays en développement n'ayant pas obtenu un montant d'aide climatique au niveau espéré. Une déception qui risque de réduire leurs ambitions futures en matière de réduction de gaz à effet de serre, estiment plusieurs experts.Selon l'accord de Paris, les Etats doivent présenter tous les cinq ans leur plans d'actions climatiques au travers des "contributions déterminées au niveau national" (NDC). La troisième salve de révision, avec des objectifs à 2035, doit être publiée d'ici février.
COP29 in Baku, which finished last week, was crawling with fossil-fuel lobbyists determined to eke out profits for as long as possible. Shockingly, for a second year running, it is European governments that have facilitated access for a huge number of them.
La COP29 s'est terminée à Bakou tôt dimanche matin, avec un accord mais beaucoup de frustrations. Nous avons interrogé Marc-Antoine Eyl-Mazzega, directeur du Centre énergie et climat de l'Ifri sur ce résultat et sur les perspectives des négociations climatiques.
Na twee weken van onderhandelingen op de klimaattop in Bakoe zijn de landen tot een akkoord gekomen. Het resultaat is een financieel plan dat niet meer voorstelt dan een druppel op een gloeiende (wereld)plaat.
La conférence sur les changements climatiques COP29 s'est terminée dimanche sans mention explicite de la "transition" vers la sortie des énergies fossiles, un recul jugé "inquiétant" par nombre d'experts qui y voient un "pas en arrière" dans les chances de maintenir la planète sous 1,5 degré de réchauffement.
La promesse des pays riches à la COP29 de débloquer 300 milliards de dollars par an de finance climatique pour les pays pauvres a suscité leur colère, mais elle témoigne également d'une évolution des réalités politiques mondiales. Les deux semaines marathon de la COP à Bakou se sont ouvertes quelques jours après l'élection à la présidentielle américaine de Donald Trump, qui affiche son scepticisme aussi bien sur la question du climat que celle de l'aide internationale.
La COP est pleine. Après deux semaines de négociations poussives, la 29ème conférence mondiale (COP29) sur le climat a débouché sur un accord financier ce week-end à Bakou en Azerbaïdjan. Adopté dans l’amertume et la confusion, il est déjà désavoué de toutes parts. Vert fait le bilan.
Notre carnet de bord de la COP29 se termine. Dans cet ultime épisode, Reporterre retrace les vingt-quatre dernières heures de négociations ayant mené à un accord « néocolonialiste » et « sans consensus ».
Rijke landen zullen tegen 2035 minstens 300 miljard dollar per jaar vrijmaken voor ontwikkelingslanden, zodat die zich beter kunnen wapenen tegen de gevolgen van de klimaatcrisis. Dat nieuwe financieringsdoel is op de valreep vastgelegd in het slotakkoord op de VN-klimaattop in Bakoe (COP29).
A la COP29, les sujets concernant l'atténuation, le bilan mondial ou les droits humains ont peu progressé voire reculé.
Réunis à Bakou, en Azerbaïdjan, les pays développés se sont engagés à tripler leurs prêts et dons aux pays en développement d'ici 2035. Pour Marie Toussaint, c'est une "trahison absolue".
L'accord conclu dimanche à la COP29 est "décevant" et "pas à la hauteur des enjeux", a regretté dimanche la ministre française de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher.Malgré "plusieurs avancées", dont le triplement des financements en faveur des pays pauvres menacés par le changement climatique, la conférence de Bakou a été marquée "par une vraie désorganisation et une absence de leadership de la présidence" azerbaïdjanaise, a affirmé la ministre dans une déclaration transmise à l'AFP.
Les pays développés se sont engagés dans la nuit de samedi 23 novembre à dimanche 24 novembre à Bakou à financer davantage les pays pauvres, au terme d’un sommet climat chaotique. Mais le texte ne satisfait pas les pays en développement.
"Au moins 300 milliards de dollars" annuels d'ici 2035 pour les prêts et dons aux pays en développement : les pays développés se sont engagés dimanche à Bakou à financer davantage les pays pauvres menacés par le changement climatique, au terme d'une conférence de l'ONU chaotique en Azerbaïdjan dont de nombreux acteurs repartent déçus et en colère.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a exprimé des sentiments mitigés à propos de l'accord sur le financement de la lutte contre le changement climatique conclu en Azerbaïdjan tôt dimanche matin, exhortant les Etats à le considérer comme une "fondation" à consolider."J'avais espéré un résultat plus ambitieux - tant sur le plan financier que sur celui de l'atténuation - pour relever le grand défi auquel nous sommes confrontés", a-t-il déclaré dans un communiqué, appelant "les gouvernements à considérer cet accord comme une fondation - pour continuer à construire".
La COP29 a eu lieu cette année en Azerbaïdjan, pays exportateur d’énergies fossiles et qui avait la lourde tâche de faire avancer les négociations climatiques dans un contexte international particulièrement tendu. Dès le début de la COP, le président du pays hôte a déclaré “le pétrole et le gaz sont un cadeau de dieu”. Le même jour, l’équipe de négociation argentine était renvoyée chez elle par le président d’extrême droite climatosceptique Javier Milei, qui avait déjà déclaré que le changement climatique était “un mensonge socialiste”. Le ton était donné.
La 29e conférence des Nations unies sur le changement climatique a adopté plusieurs décisions, dont la principale a fixé aux pays riches l'obligation de financer 300 milliards de dollars par an d'ici 2035 pour soutenir la transition énergétique et l'adaptation au changement climatique des pays en développement.
Wat staat er nu precies in het akkoord dat onverhoopt uit de bus is gekomen op de VN-klimaatconferentie in Bakoe? Het werd erg verdeeld onthaald. Er is dan wel een nieuw bedrag van 300 miljard dollar afgeklopt dat het Westen zal moeten betalen aan de ontwikkelingslanden om hun klimaatkosten te dekken. Maar er vallen heel wat kanttekeningen bij te maken. 5 vragen en antwoorden.
COP29 is afgelopen met een akkoord waar heel wat landen ontevreden mee zijn. De grote verliezer is het klimaat zelf, zo lijkt het. Het was weer bijzonder moeilijk om tot een moeizaam (en uiteindelijk zwak) akkoord te komen, nadat weer verlengingen moesten worden gespeeld. Is het format van een klimaattop stilaan voorbijgestreefd? De meningen zijn verdeeld: "Vergelijk het met een snelkookpan voor bepaalde kwesties, met snel een goede focus en druk om iets te bereiken".
Les pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique ont laissé éclater leur colère samedi contre la présidence azerbaïdjanaise de la conférence de l'ONU à Bakou, estimant n'avoir pas été entendus sur leurs besoins financiers et promettant de continuer à se battre en prolongation.Après plus de 24 heures de retard, la séance de clôture de la COP29 a enfin débuté samedi soir, par un appel du président de la conférence, Moukhtar Babaïev, à ce que les pays surmontent leurs "divisions".Cette séance pourrait durer une partie de la nuit et inclure des suspensions.
La ministre des Affaires étrangères allemande, venue à Bakou pour le sprint final de la COP29, a accusé samedi la présidence azerbaïdjanaise du sommet des Nations unies sur le climat d'être sous l'influence de certaines puissances pétrolières, visant implicitement l'Arabie saoudite, sans la nommer.
La COP29 est entrée en prolongations samedi, après douze jours de négociations infructueuses.
L'appel à la "transition" vers la sortie des énergies fossiles, acquis principal de la COP28 de Dubaï combattu par l'Arabie saoudite, n'apparaît pas explicitement dans les principaux textes finaux présentés à la conférence sur le climat de l'ONU, la COP29, à Bakou dimanche.L'appel à "opérer une transition juste, ordonnée et équitable vers une sortie des combustibles fossiles dans les systèmes énergétiques" avait été arraché dans la douleur en 2023.
Pionnier de la lutte pour l’environnement, Brice Lalonde, de retour de la COP29 à Bakou, plaide pour une réforme de ces rencontres, qui débouchent rarement sur des avancées concrètes.
Faute d'accord sur l'objectif de financement, la conférence sur le climat est entrée dans les prolongations. "Franchement, c'est assez navrant", réagit Lucie Basch, cofondatrice de l'application Too Good To Go.
Le texte en préparation « est absolument inacceptable et permet aux pays développés de s’affranchir complètement de leurs obligations en matière de financement de la lutte contre le changement climatique pour les pays en développement », estiment 335 organisations dans une lettre.
L'Union européenne, premier bailleur mondial pour le climat, a relevé samedi son engagement financier pour les pays en développement, mais quoiqu'il arrive d'ici la nuit, nombre de pays semblent résignés à repartir mécontents de la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou.La présidence azerbaïdjanaise de la COP29 prévoit de publier vers 14H00 (10H00 GMT) son ultime proposition de compromis, avant de le soumettre à l'approbation des près de 200 pays réunis ici vers 18H00 (14H00 GMT), 24 heures après la fin théorique de la conférence.
Daan Vandenberghe (20) is VUB-student geografie en neemt als VN-jongerenvertegenwoordiger vanuit de Vlaamse Jeugdraad deel aan de klimaattop COP29 in Bakoe. "We vrezen dat een ambitieus akkoord uitblijft. Maar meer dan een miljard kinderen en jongeren rekenen op de beleidsmakers. Laat hun toekomst zwaarder wegen dan de macht van de fossiele lobby."
‘De klimaatverandering wakkert een migratiecrisis aan met miljoenen mensen die van huis en haard worden verdreven. Alleen al in het afgelopen jaar waren ze met 26 miljoen’, zegt Ugochi Daniels van de Internationale Organisatie voor Migratie (IOM) op de klimaattop in Bakoe. Zij ziet migratie enkel nog toenemen.
De wereldwijde uitstoot van broeikasgassen stijgt nog altijd, maar daaraan komt binnenkort wellicht een einde. Dat zegt de energiedenktank Ember. De helft van alle economieën verbruikt nu al minder fossiele brandstoffen dan 5 jaar geleden, en ook China lijkt op de goede weg. Toch is het belangrijk dat de wereld op de COP in Bakoe vasthoudt aan de uitstap uit fossiele brandstoffen als hij de klimaatverstoring wil afremmen, zegt Ember.
Les pays riches ont enfin abattu leurs cartes à la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou en proposant 250 milliards de dollars par an pour l'action climatique dans les pays en développement, selon un projet d'accord. Ce dernier est jugé "inacceptable" par les pays africains et fustigé par les ONG engagées dans la défense de l'environnement. Les négociations se poursuivent vendredi soir.
Ce vendredi 22 novembre est le dernier jour de la COP29 à Bakou. Les négociateurs n’arrivent toujours pas à se mettre d’accord sur un financement pour aider les pays en développement à faire face au changement climatique et un autre point est devenu clivant : les pays pétroliers ne veulent même plus faire mention de l’accord de l’année dernière, qui vise à sortir progressivement des énergies fossiles.
Le négociateur de l'Union européenne à la COP29, Wopke Hoesktra, a estimé jeudi que le projet d'accord publié dans la nuit était "inacceptable" en l'état.
Nations riches et en développement sont entrées jeudi dans la dernière phase des négociations autour du montant de l'aide financière à la COP29, et les cartes commencent à s'abattre, avec une demande plus précise de l'énorme groupe de pays du G77+Chine.Une plénière baptisée « kouroultaï »Le représentant de cette alliance de 134 pays du Sud a réclamé à l'UE, au Japon ou aux États-Unis "au moins" 500 milliards de dollars de financements par an pour le climat d'ici 2030.
Le groupe des pays arabes refusera tout texte ciblant "les énergies fossiles", a indiqué jeudi son représentant, le Saoudien Albara Tawfiq, à la conférence climatique de l'ONU à Bakou, à l'avant-dernier jour théorique de la COP29."Le groupe arabe n'acceptera aucun texte qui cible des secteurs spécifiques, y compris les combustibles fossiles", a déclaré en plénière ce négociateur saoudien dont le pays préside cette année le groupe arabe à l'ONU Climat.
Nations riches et en développement sont entrées jeudi dans la dernière phase des négociations autour du montant de l'aide financière à la COP29, et les cartes commencent à s'abattre, avec une demande plus précise d'une alliance de pays en développement.Le représentant de cette alliance de 134 pays du Sud a réclamé aux pays développés concernés (Union européenne, Japon, Etats-Unis...) "au moins" 500 milliards de dollars de financements par an pour le climat d'ici 2030.
Ce 20 novembre à la COP29 à Bakou, l’urbanisation est au cœur des discussions. Quel est le lien avec le climat ? Là où le sol est le plus bétonné, non seulement il y a de plus grands risques d’inondations mais c’est aussi là où les températures sont les plus chaudes l’été. Le réchauffement climatique combiné au phénomène d’îlot de chaleur fait que ces quartiers ne se refroidissent pas la nuit car la chaleur accumulée dans le béton est réverbérée.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
Ils prônent la transition tout en polluant. 126 jets privés de grandes entreprises et de gouvernements ont atterri à Bakou lors de la 1ʳᵉ semaine de la COP29, selon une enquête de Reporterre et du collectif Mémoire vive.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés mercredi à la COP29 à ne plus ouvrir de centrale au charbon, dans l'espoir d'emmener d'autres pays vers la fin du charbon.Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteur de charbon, ont signé cet appel volontaire pendant la conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan. La Chine, l'Inde et les Etats-Unis n'y sont pas.
Terwijl de urgentie van de klimaatcrisis steeds groter wordt, lijkt ze steeds lager op de politieke agenda te staan. Hoe verklaar je deze paradox?
A trois jours de la clôture officielle de la COP29, les négociations sont toujours enlisées autour du nouvel objectif de financement climat.
Une nouvelle alerte sur le manque d'ambition des politiques mondiales de réduction des gaz à effet de serre. Selon l'outil Climate Action Tracker, nous sommes sur la voie d'un réchauffement de 2,7°C à la fin de ce siècle.Et ce ne sont pas les marchés carbone qui vont nous aider. Si leur régulation a été adoptée au début de cette COP, il reste des zones d'ombre. Et ces crédits pourraient au mieux être inefficaces et au pire nous faire perdre un temps précieux.
Depuis Bakou, les délégués et ONG présents à la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) ont relevé des avancées sur la finance climatique dans la déclaration finale des dirigeants du G20 réunis à Rio dans la nuit de lundi à mardi, sans y voir d'impulsion décisive.Mais ils ont en revanche souligné clairement leur déception face à l'absence d'engagement à accélérer la transition vers l'abandon des énergies fossiles, une formulation qui était un acquis de la COP28 de Dubaï l'an dernier et n'a pas été repris à Rio.
Les participants de la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) notent mardi les avancées générales sur la finance climatique pour les pays en développement contenues dans la déclaration du G20 à Rio, mais préviennent que le plus dur reste à accomplir à Bakou. D'autant que, le communiqué de Rio s'accompagne d'un silence des 20 puissances sur la sortie des énergies fossiles, une formulation arrachée à la COP28 de Dubaï mais qui n'a pas été reprise, ce qui sème la consternation parmi les ONG.- "Ordre de marche"-
La sortie des énergies fossiles "reste toujours d'actualité" et il faut "maintenir la pression" pour que cet objectif soit réaffirmé au niveau international, a estimé mardi la ministre française de la Transition écologique et de l'Energie dans un entretien aux Echos.Cette question d'une réduction progressive du recours au pétrole, charbon et au gaz pour tenter d'enrayer le réchauffement climatique faisait partie de l'accord obtenu l'an dernier à la COP28 de Dubaï. Mais depuis, elle semble progressivement reléguée au second plan voire remise en cause par certains.
Trente pays, dont la Belgique, se sont engagés mardi à la COP29 à Bakou, à réduire les émissions de méthane provenant des déchets organiques, a annoncé la présidence azérie de la COP29. Ces pays représentent, ensemble, près de la moitié des émissions mondiales de méthane (CH4) dues aux déchets organiques.