La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire, apparu dans les années 2010, qui envisage les risques, causes et conséquences d’un effondrement de la civilisation industrielle1,2. Source : wikipedia
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Grégoire Poissonnier
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 2024 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l’instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, altération du cycle de l’eau douce et effondrement de la » biodiversité ». Pour quelle raison, alors que nous mettons en œuvre des actions écologiques depuis 50 ans, notre situation (celle du vivant en général) ne cesse d’empirer ?
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans2 et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans3. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 20244 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l'instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées5) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l'azote et du phosphore, altération du cycle de l'eau douce et effondrement de la « biodiversité ».
.. comment élucider le mystère de la réduction (apparente) de la violence telle que la perçoit le psycholinguiste Steven Pinker ? Ce dernier spécifie en effet : « Le déclin de la violence constitue un aboutissement que nous pouvons savourer, et une invitation à chérir les forces civilisatrices et éclairées qui l’ont rendu possible. » Il s’appuie à cette fin sur « […] un humanisme réfractaire à la violence »
Aux yeux du philosophe Marc Crépon, l’État est violent par essence, et la non-violence utopique : « À l’origine de tout régime politique, il y a toujours de la violence. Pour savoir quelle est, de deux formes de violence, la plus légitime, nous devons en appeler à un principe qui transcende le droit, qui est celui de la justice...
Selon l’activiste Paul Watson, « on ne peut pas qualifier la protection de l’environnement d’écoterrorisme, ça n’a aucun sens. L’écoterrorisme, c’est ce que font les entreprises de combustibles fossiles et Monsanto. Eux, ils terrorisent l’environnement… » Au-delà de cette mise au point sémantique, le mot « écoterrorisme » a été créé en 1983 par l’écrivain libéral Ron Arnold dans le but de dénoncer les « crimes pour sauver la nature » et fut depuis l’objet de romans et même d’accusations par des hommes politiques. Mais l’usage de la violence est-il toujours injustifié ?
Astrophysicien et philosophe, Aurélien Barrau décrit la sixième extinction massive (anéantissement biologique global) actuellement observée par les naturalistes.