Jean-Baptiste Fressoz

OA - Liste

filtre:
baleine

2025

Alors que la troisième conférence des Nations unies sur l’océan aura lieu à Nice du 9 au 13 juin, la secrétaire exécutive de la Commission baleinière internationale, Martha Rojas Urrego, alerte sur les «nouvelles menaces» causant une forte mortalité chez de nombreuses populations de cétacés.
Nommé « Saguaro », il implique la construction d’un gazoduc de 800 kilomètres du Texas jusqu’à la mer de Cortès, où le ballet des navires, comme les risques de pollution, pourrait nuire aux baleines et à la biodiversité.
Avez-vous déjà pensé à ce qui se passerait si toute la vie dans l’océan disparaissait ? Une étude récente explore ce scénario extrême pour comprendre comment la biologie océanique façonne le climat passé, présent et futur. L’océan joue un rôle crucial dans la régulation du climat terrestre. Il constitue un immense réservoir de carbone qui absorbe environ 25 % des émissions humaines, contribuant ainsi à maintenir un niveau relativement bas de CO₂ dans l’atmosphère. Mais que se passerait-il si toute la vie marine – du plus petit plancton à la plus grande baleine – disparaissait ? Une étude récente se penche sur ce scénario extrême afin de révéler le rôle essentiel que joue la biologie océanique dans l’atténuation du changement climatique.
Qu’y a-t-il de si fascinant chez les cétacés ? À quels sacrifices doit-on se préparer pour les protéger ? Le fondateur de Sea Shepherd, Paul Watson, et la présidente de la branche française de l’ONG, Lamya Essemlali, livrent leur vision du militantisme.
Le seul baleinier actif d’Islande, Hvalur, ne chassera pas la baleine cet été, pour la deuxième année consécutive, en raison des turbulences économiques mondiales, selon la presse locale. L’Islande, la Norvège et le Japon sont les seuls pays qui autorisent encore la chasse commerciale à la baleine, largement condamnée par les associations de défense des animaux.
Le Japon est aujourd’hui confronté à un problème très particulier de sécurité publique et qui prend de plus en plus d’ampleur. Un animal pose de plus en plus de soucis et cette fois, il ne s’agit pas des baleines, bien connues dans l’archipel, mais d’ours. Ces animaux s’en prennent de plus en plus aux humains. Les autorités nippones ont donc décidé d’assouplir la réglementation relative à l’abattage de ces plantigrades.

2024

Le militant américano-canadien a été libéré mardi après cinq mois de détention au Danemark. Rentré en France, il s’exprimait samedi de la place de la République, où se tenait un rassemblement célébrant sa libération.
Le militant écologiste américano-canadien Paul Watson est arrivé à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle vendredi après-midi peu avant 15H00, après avoir passé cinq mois en détention au Danemark, pays qui a rejeté mardi la demande d'extradition du Japon, a observé une journaliste de l'AFP.
Les autorités nippones ne décolèrent pas après la décision du Danemark de ne pas extrader l’activiste et sa remise en liberté. Dans le pays, on comprend mal l’engouement occidental pour ce militant anti-chasse à la baleine.
Houle puante. Le défenseur des baleines Paul Watson ne sera pas extradé vers le Japon, a confirmé le gouvernement danois mardi. Tokyo ne renonce pas pour autant à ses poursuites. Le Japon et les sociétés baleinières nippones déplorent ce mercredi la libération du militant écologiste.


Listing généré avec