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2025
Si le capitalisme et sa propension à croître à l’infini n’est pas compatible avec le respect des limites planétaires, par quel système le remplacer et comment organiser ce grand basculement ? Bienvenue dans l’ère du post-capitalisme, une nouvelle phase de civilisation qui va nous amener à complètement repenser notre logiciel économique. Timothée Parrique est un économiste originaire de Versailles, en France. Il est actuellement chercheur à la School of Economics and Management de l'Université de Lund (Suède). Il est titulaire d'un doctorat en économie du Centre d'études et de recherches sur le développement (Université de Clermont Auvergne, France) et du Stockholm Resilience Centre (Université de Stockholm, Suède). Timothée est l'auteur de Ralentir ou périr. L'économie de la décroissance (septembre 2022, Seuil), une adaptation pour un large public de sa thèse de doctorat. Il écrit fréquemment sur la croissance verte et le découplage ; il est également l'auteur principal de « Decoupling debunked - Eviden
La préfecture des Ardennes a interdit la consommation de l’eau du robinet pour près de 3 000 habitant·es de treize communes du département, forcé·es de changer leurs habitudes. En cause, la présence de PFAS dépassant largement les limites sanitaires. Reportage.
Tout le monde connaît la Fresque du Climat. Mais qui connaît vraiment Cédric Ringenbach ? Dans cet épisode, on découvre le parcours d’un homme qui a tout plaqué après une “claque climatique”. De consultant à directeur du Shift Project, il est aujourd’hui l’un des vulgarisateurs les plus influents sur les limites physiques de notre monde. Il explique comment il a conceptualisé la Fresque du Climat, mais surtout, il alerte sur un point essentiel : nous ne sommes pas du tout prêts. Pas à la hauteur, pas formés, pas alignés avec la réalité. C’est un appel lucide à mettre la transition au cœur de nos vies, pas seulement dans des powerpoints.
Jour du dépassement : la planète vit à crédit à partir de ce jeudi
Une tache bleue au milieu de l’Atlantique Nord intrigue les scientifiques. Est-ce un simple phénomène naturel… ou le signe avant-coureur d’un basculement climatique majeur ? Dans cette vidéo, Vinz nous plonge dans le mystère de l’AMOC, un gigantesque courant océanique qui agit comme le cœur thermique de notre planète. Si ce courant ralentit – ou pire, s’effondre – les conséquences pourraient être cataclysmiques : vagues de froid en Europe, dérèglement des moussons, insécurité alimentaire, montée des eaux... Avec la chercheuse Julie Deshayes, on découvre pourquoi ce système est si vital, pourquoi il pourrait s'effondrer plus vite que prévu, et surtout, ce que cela dit de notre rapport au climat et aux limites planétaires. Une vidéo à voir absolument pour comprendre les signaux faibles d’un monde en mutation.
Une étude révèle que les écosystèmes ont survécu à deux grands bouleversements. 60 millions d’années de stabilité… jusqu’à maintenant.
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 2024 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l’instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, altération du cycle de l’eau douce et effondrement de la » biodiversité ». Pour quelle raison, alors que nous mettons en œuvre des actions écologiques depuis 50 ans, notre situation (celle du vivant en général) ne cesse d’empirer ?
À cause de la destruction des espaces de vie, de la (sur)pêche et des pesticides, 73% des vertébrés sauvages ont été exterminés en 54 ans2 et 67% des arthropodes (dont les insectes) en 10 ans3. Quant au climat, le seuil des 1,5°C a été franchi en 20244 – augurant un emballement brutal et irréversible. Cette limite planétaire est en conséquence largement dépassée, à l'instar de 5 autres (parmi les 9 qui ont été identifiées5) : artificialisation des sols, pollution, perturbation des cycles biogéochimiques de l'azote et du phosphore, altération du cycle de l'eau douce et effondrement de la « biodiversité ».
Selon une nouvelle étude, une septième limite planétaire pourrait avoir été franchie, celle de l’acidification des océans.
A Los Angeles, New York ou Atlanta, des milliers de manifestations étaient organisées ce samedi 14 juin pour protester contre «la militarisation de la démocratie» par Donald Trump. Des défilés massifs et essentiellement pacifiques, malgré de rares incidents.