filtre:
rfi
2025
Près d'un tiers des habitants des Tuvalu, archipel du sud-ouest du Pacifique menacé par la montée du niveau des océans, cherche à obtenir un visa pour vivre en Australie dans le cadre d'un traité signé en 2024. Sur les quelque 10 000 habitants de l'archipel, plus de 3 000 Tuvaluans se sont enregistrés pour le premier tirage qui offrira 280 visas, selon les chiffres officiels fournis par le programme australien.
Le tribunal allemand de Hamm a reconnu ce 28 mai le principe d’une responsabilité mondiale des producteurs d’énergies fossiles dans les dommages liés au changement climatique, où qu’ils se produisent. À l\'origine de l\'affaire : un simple agriculteur péruvien - Saul Luciano Lliuya - qui accusait le géant de l\'énergie RWE d\'être en partie responsable des risques d\'inondations de sa maison.
A la veille de la conférence de l’ONU sur l’océan qui se tient à Nice, un comité de scientifiques internationaux dévoile ce dimanche 8 juin un rapport inédit sur l’état de santé des océans.
L'Ukraine a mené, dimanche 1er juin, une vaste opération contre plusieurs aérodromes militaires russes, et a notamment touché une base en Sibérie orientale, à des milliers de kilomètres de ses frontières.
Ce lundi 10 février marque la date limite pour que les États de l'accord de Paris rendent leur copie. Tous les cinq ans, les 194 pays et l'Union européenne doivent mettre à jour leurs « plans climat » afin de limiter le réchauffement climatique bien en dessous de deux degrés. Ce sera l'enjeu de la COP30 au Brésil en fin d'année, mais seulement une poignée d'entre eux ont rendu leur travail en temps et en heure.
Selon une étude sur la qualité de l'air publiée mardi 11 mars par l'entreprise suisse IQAir, avec le soutien de Greenpeace, seulement 17% des villes étudiées dans 138 pays avaient en 2024 un air qui respectait les recommandations de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) en termes de particules fines (PM2,5). C'est mieux que les 9% de 2023, mais un air pur reste une denrée rare.
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a présenté lundi 10 mars le troisième Plan national d'adaptation au changement climatique finalisé (Pnacc-3), soit les mesures que le gouvernement juge nécessaires pour préparer l'Hexagone au climat des prochaines décennies et à ses conséquences. Une stratégie bienvenue mais qui pourrait vite s'ensabler sans moyens sérieux à la hauteur des risques.
Jamais il n'y a eu aussi peu de banquise cumulée sur le globe qu'au début de ce mois de février 2025, selon les mesures du programme européen Copernicus. C'est l'une des conséquences du réchauffement climatique.
La superficie végétale détruite par des incendies au Brésil a augmenté de 79% en 2024 à 30,8 millions d'hectares, supérieure à celle de l'Italie, selon un rapport de la plateforme de surveillance MapBiomas publié mercredi.
2024
Added complexity allows an economy to grow, even as resource limits are reached. But at some point, the complexity itself becomes a problem.