« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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Nétanyahou
2025
Le Premier ministre israélien a assuré que ces bombardements étaient une riposte à des attaques du Hamas à Rafah, ce mardi 28 octobre. En réponse, le mouvement islamiste a annoncé repousser la remise d’une dépouille d’otage prévue dans la soirée.
Dans une longue interview accordée au magazine américain «Time», le Président raconte comment il a orchestré la fin des combats dans l’enclave, entre intimidations, négociations et mises en garde musclées.
Le tribunal de Tel-Aviv a repris, non sans difficulté, l’audition du premier ministre, accusé de corruption, deux jours après que Donald Trump a exhorté le président israélien à mettre fin à son procès.
L’extrême droite rejette l’accord, qui prévoit la libération de 2 000 prisonniers palestiniens, mais ne souhaite pas, à ce stade, quitter la coalition.
L’accord validé ce jeudi 9 octobre relance les fractures internes du gouvernement israélien. Benyamin Nétanyahou est désormais coincé entre l’aile radicale qui crie à la trahison, et Washington qui impose son tempo.
Plus de 400 militants propalestiniens à bord de 41 navires d'une flottille d'aide pour la bande de Gaza ont été arrêtés par les forces navales israéliennes, a déclaré jeudi un responsable israélien.
Le premier ministre israélien a insisté sur les limites qu’il a fixées au texte proposé par le président américain. Dans un pays déchiré par vingt-trois mois de guerre, l’accord a été accueilli positivement par l’opposition et les familles des otages du Hamas.
Frappes israéliennes sur le Qatar : Donald Trump contraint Benyamin Nétanyahou à faire son mea culpa
- Benjamin Barthe
Le premier ministre de l’Etat hébreu a présenté ses excuses à l’émirat pour la frappe du 9 septembre, visant une réunion du Hamas à Doha. Le geste devrait permettre à la monarchie de reprendre ses efforts de médiation entre Israël et le mouvement islamiste, au moment où le président américain propose un plan de sortie de crise.
Donald Trump a évoqué vendredi 26 septembre un « deal » qui permettrait la libération des otages israéliens et la paix à Gaza. En coulisse, une poignée d’Etats, dont la France et des pays arabes, tentent de convaincre le président américain d’être plus ferme avec le premier ministre israélien.
Le Premier ministre israélien, qui s’apprêtait à prononcer un discours à la tribune des Nations unies, a suscité une vague de désapprobation menant au départ de plusieurs dizaines de diplomates.



