« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Le Belge Olivier De Schutter, rapporteur spécial sur les droits de l'homme et l'extrême pauvreté de l'ONU, tente de faire bouger les lignes.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Comment les riches ravagent la planète (et nous avec...)
Selon l’étude annuelle «World Wealth Report» de Capgemini, la fortune des plus aisés a dépassé les 90 000 milliards de dollars en 2024. Un record depuis 1997 et la première publication de ce rapport annuel.
Les 1% des Belges les plus fortunés possèdent autant que les 75% les moins fortunés, rapportent L'Echo et De Tijd mardi, citant une étude de l'économiste Arthur Apostel (UGent), publiée par le Banque nationale.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Les 10% des personnes les plus riches de la planète sont responsables des deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990, dévoile une étude inédite publiée dans Nature climate change.
Une étude publiée dans Nature Climate Change révèle que les 10 % les plus riches de la planète sont responsables de deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990. En établissant un lien direct entre concentration de richesse et événements climatiques extrêmes, les chercheurs pointent une responsabilité très inégalement partagée et plaident pour des taxes ciblées.
Pour la première fois, des chercheurs européens ont quantifié les répercussions du mode de vie et des investissements des plus aisés sur le réchauffement climatique dans une étude publiée ce mercredi 7 mai.
Paper in Nature Climate Change journal reveals major role wealthy emitters play in driving climate extremes. The world’s wealthiest 10% are responsible for two-thirds of global heating since 1990, driving droughts and heatwaves in the poorest parts of the world, according to a study.