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2025
Le pays est le premier émetteur mondial, mais le premier investisseur dans les énergies renouvelables et les voitures électriques. Ses émissions ont baissé début 2025
La production d'énergie renouvelable en mer s'accroît en Méditerranée, où deux parcs d'éoliennes flottantes capables de fournir chacun l'électricité nécessaire à une ville de 50.000 habitants seront installés d'ici la fin de l'année, au large des côtes des Pyrénées-Orientales et de l'Aude. Contrairement à celles dont le mât est planté dans le sol marin, et qui représentent la majorité des éoliennes en mer en France, celles flottantes peuvent être installées dans des zones profondes, plus venteuses et plus loin des côtes.
Droite et extrême droite agitent depuis plusieurs semaines un chiffre choc – 300 milliards d’euros ! – censé démontrer le coût démesuré des énergies renouvelables. Habile, alors que le gouvernement veut sabrer à nouveau dans les dépenses publiques… mais Vert a refait les calculs.
La montée en puissance de l’éolien et du solaire en France, alors que la demande ne suit pas à la même vitesse, pose de nombreux défis pour la gestion du réseau électrique, du parc nucléaire et des finances publiques.
La France refuse que le plan de décarbonation 2040 de l'UE réhausse l'objectif de déploiement des énergies renouvelables, adopté en 2023 dans une directive que Paris veut voir remplacée par un texte traitant le nucléaire à l'égal de l'éolien et du solaire, selon une note consultée jeudi par l'AFP. La France, qui n'a pas respecté ses objectifs de développement des renouvelables, mène depuis plusieurs années un bras de fer avec la Commission européenne pour faire reconnaître son mix électrique, parmi les plus décarbonés du continent grâce à son importante production d'origine nucléaire.
Face à la croissance rapide de sa population et de son économie, l’Inde mise sur les énergies renouvelables et le nucléaire mais aussi sur le développement de ses champs pétroliers et le développement de sa capacité de raffinage. Si le pays affiche un objectif « Net Zéro » pour 2070, la sécurité énergétique et la capacité à fournir une énergie abordable à son milliard et demi d’habitants demeurent les objectifs principaux.
La méga-panne électrique en Espagne et au Portugal, encore inexpliquée, a néanmoins braqué les projecteurs sur un suspect: les énergies renouvelables, régulièrement accusées par leurs détracteurs de fragiliser le système. Une chose est sûre, leur essor représente un défi pour le réseau électrique, qui doit évoluer pour s'y adapter. Les opérateurs des réseaux veillent à l'équilibre, à tout instant, entre l'offre et la demande électrique. L'indicateur de cet équilibre est la fréquence électrique, calibrée à 50 Hz en Europe, 60 aux Etats-Unis. Un écart trop important par rapport à ce standard peut mettre en danger le réseau.
La gigantesque coupure d’électricité qui a touché la péninsule ibérique, lundi 28 avril, et dont la cause exacte n’a toujours pas été établie, suscite la controverse à Madrid entre les partisans du nucléaire et ceux des énergies vertes.
Lundi, l’Espagne et le Portugal ont été paralysés par une coupure de courant gigantesque, sans que les causes de cette panne soient encore éclaircies. Pourtant, le soir même sur Franceinfo, un invité a attribué l’incident aux énergies renouvelables, qualifiées de «péril», sans être contredit par la journaliste en plateau.
Le report à "la fin de l'été" de la publication du décret de programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) "répond directement aux menaces de censure" du Rassemblement national (RN) et met "en risque" le tissu industriel de la filière renouvelable, a estimé le Syndicat des énergies renouvelables (SER) dans un communiqué lundi. "François Bayrou enterre l'avenir des filières renouvelables", proteste ce syndicat professionnel après la décision de reporter la publication de ce décret prise par le Premier ministre.
Dans cette vidéo, Vincent Mignerot, un expert en théorie de l'existence, discute de la faisabilité de la transition énergétique et des grandes questions existentielles qui en découlent. À travers une analyse critique des théories scientifiques actuelles, Vincent remet en question la logique des transitions énergétiques proposées par la science conventionnelle, notamment la conversion des énergies fossiles vers les énergies renouvelables. Il explore l'idée de la "domestication de l'humain" par la technologie et les dangers d'une science relativiste qui pourrait mener à une impasse écologique.
Les menaces qui pèsent sur les systèmes électriques s’accroissent rapidement. Conflits, événements climatiques extrêmes et rupture des chaînes d’approvisionnement sont autant de risques pour le bon fonctionnement de nos réseaux. Or les sociétés contemporaines sont particulièrement dépendantes de leurs systèmes électriques, notamment du fait de l’électrification des usages. Les véhicules électriques, les pompes à chaleur, un nombre croissant de processus industriels et la numérisation de l’économie créent de nouveaux besoins. Plus critique encore, l’électricité est essentielle au fonctionnement de nos hôpitaux, à la sécurité ainsi qu’aux circuits d’approvisionnement en eau et en nourriture.
L’ancien vice-président américain et défenseur de l'environnement Al Gore a accordé un entretien à France 24. Selon lui, "la révolution des énergies renouvelables est inarrêtable". Mais la transition verte peut-elle survivre à Donald Trump, qui a promis de faire de l'Amérique la championne des énergies fossiles ? Nicolas Berghmans, spécialiste de l'énergie et du climat, analyse les propos d'Al Gore.
Des mesures néfastes pour les deux économies - Le président Trump semble faire peu de cas de l’intégration économique et énergétique de nos deux économies. Le marché énergétique nord-américain est très intégré (comme le démontre le réseau de pipelines de cette carte). Le Canada est bien pourvu sur le plan énergétique : il est à la fois une puissance fossile et une puissance en énergies renouvelables.
Jusqu'ici considérées comme les mieux-disantes sur la transition climatique, plusieurs compagnies pétro-gazières européennes ont depuis fait machine arrière sur leurs objectifs d'énergies renouvelables, pour doper leur rentabilité.. L'avenir du pétrole incertain
Après un recul de ses résultats annuels, le géant norvégien de l'énergie Equinor a annoncé mercredi une baisse de ses ambitions dans les énergies renouvelables et une hausse de sa production d'hydrocarbures.Le groupe, qui visait jusqu'à présent entre 12 et 16 gigawatts (GW) de capacité dans les énergies renouvelables en 2030, a ramené cette fourchette à entre 10 et 12 GW.
La transition verte de l'Ukraine "accélérée par la guerre", selon le patron de son énergéticien DTEK
- Afp,
La transition de l'Ukraine vers des énergies renouvelables est "accélérée par la guerre", car c'est un moyen de sécuriser davantage son approvisionnement en énergie face aux attaques russes, explique le patron du plus gros producteur privé d'énergie du pays dans un entretien avec l'AFP.
La Chine a battu en 2024 son propre record mondial en terme d'installations de capacités de production d'énergie renouvelable, selon des données officielles chinoises publiées mardi.Le pays a installé l'an passé quelque 277 gigawatts (GW) de nouvelles capacités en solaire, contre 217 GW en 2023, et 80 GW de nouvelles capacités en éolien, également plus que l'année précédente, selon des chiffres publiés par l'Administration nationale de l'Energie (NEA).
Selon le gestionnaire du réseau RTE, la production d’électricité a l’an dernier franchi pour la première fois le seuil de 95 % d’électricité d’origine bas carbone.
Il y a les mots et les actes. Trump a eu des envolées virulentes sur les énergies renouvelables, notamment l’éolien offshore. Mais concrètement, que pourrait-il faire ? Pas forcément grand-chose.