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Histoire
2025
Au fond de la mer du Nord, une révolution énergétique prend forme. Des milliers de mètres sous la surface, un câble électrique titanesque s’étend progressivement entre deux nations, promettant de transformer à jamais la façon dont l’Europe gère son électricité.
Un travail colossal a amené un chercheur à dresser un bilan anxiogène de notre système. D’après ses études, si les inégalités ne sont pas enrayées, un effondrement sociétal mondial est à prévoir prochainement.
The Other Economy - Ressources bibliographiques et documentaires sur les enjeux économiques et écologiques
Malgré les pressions israéliennes, Emmanuel Macron a annoncé jeudi que la France allait reconnaître l'État de Palestine lors de l'Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York. France 24 retrace l’histoire qui a empêché cet État de voir le jour.
Vision du monde, pouvoir, guerre commerciale : décryptage de la Chine par André Chieng
La pétition contre la loi Duplomb continue sa percée et dépasse désormais 1,5 million de signatures. S’agit-il pour autant d’un record ? Vert a compilé les cinq mobilisations en ligne les plus soutenues de tous les temps en France.
Il y a 250 millions d’années, la Terre a connu la plus grande extinction de masse de son histoire : la crise Permien-Trias (PTME). Environ 90 % des espèces marines et 89 % des tétrapodes terrestres ont disparu. Un volcanisme cataclysmique dans en Sibérie, a provoqué ce changement par le relâchement d’énormes quantités de CO₂, de méthane et d’autres composés toxiques dans l’atmosphère. Ensuite, un super-effet de serre a régné sur la planète pendant près de 5 millions d’années, bien après la fin du volcanisme actif.
La plus grande extinction de masse a effacé près de 90 % des espèces de la surface de la Terre il y a environ 250 millions d’années. Mais le grand mystère de cet événement porte sur sa suite : pourquoi le globe est-il resté invivable pendant cinq millions d’années ? Des scientifiques ont peut-être trouvé la solution et elle tient en partie aux forêts tropicales. De quoi nous alerter de leur importance encore à l’heure actuelle.
Si le record de 2019 n’a pas été battu, ce mois de juin, avec une température moyenne supérieure de 3,3 °C aux normales de saison, se rapproche du plafond de 2003.
En deux cents ans d’observation du climat, outre le réchauffement à l’œuvre, ce qui a changé, c’est le rôle de la science : d’une volonté de se baser sur le passé pour rassurer, elle le fait aujourd’hui pour prévenir des risques qu’encourt la planète, observe Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique.