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Pierre
2025
Pour sortir de la dépendance fossile, Pierre Charbonnier prône des alliances, soit la construction d’une « coalition climat ». Son livre éponyme, destiné aux décideurs, ne convainc pas car cette écologie politique est pensée en surplomb.
Les océans nous permettent de respirer, absorbent le CO2 et régulent le climat mais aujourd’hui ils sont en danger. Le réchauffement des océans impacte la biodiversité marine mais aussi les phénomènes météorologiques extrêmes.
Exowatt, une petite start-up énergétique dont Sam Altman figure parmi les principaux investisseurs, propose d’alimenter les centres de données d’IA à l’aide de l’énergie thermique tirée de pierres chaudes. Ces dernières sont installées à l’intérieur de boîtiers spéciaux convertissant l’énergie thermique en électricité et qui, à terme, pourraient réduire le coût énergétique à seulement un centime le kilowattheure. L’entreprise ambitionne ainsi avec sa technologie de contribuer à atténuer la pression énergétique liée à l’essor de l’IA.
Et si le confort thermique en automne et en hiver n’était pas seulement une affaire de thermostat ? Une expérimentation sociale menée avec un groupe de ménages volontaires ouvre des perspectives intéressantes. Cette approche, pour être utile, ne doit bien entendu pas se substituer à l’impératif de rénovation énergétique du parc immobilier, mais la compléter. Elle explore ainsi une autre piste : celle d’une sobriété choisie plutôt que contrainte.
Comment procéder pour que l’urgence climatique soit un enjeu qui mobilise plus de citoyens ? C’est sur cette question que se penche le philosophe Pierre Charbonnier. Il invite à créer une « coalition climat » et attire, aussi, notre attention sur le positionnement de la Chine en matière climatique. Il était l’invité du podcast de Pascal Claude "Dans quel Monde on vit".
Le conférencier Arthur Keller était à Thiers la semaine dernière. En plus d'une conférence grand public, il a fait plancher les élus et agents de la communauté de communes sur la préparation aux risques systémiques. J'ai fait la petite souris pour observer l'atelier...
Le polémiste, assassiné le 10 septembre sur un campus dans l’Utah, a reçu, mardi, la médaille présidentielle de la liberté. Le même jour, le site « Politico » publiait une enquête révélant des échanges prônant racisme, nazisme et violence entre Jeunes Républicains sur la messagerie Telegram.
Début septembre 2025, la société civile belge mettait la pression sur le gouvernement fédéral afin de renforcer, sans attendre, la réglementation des produits mis sur le marché afin que nous cessions d’être exposés quotidiennement aux PFAS1. Interdire l’utilisation des polluants éternels dans les biens que nous consommons, voilà ce que nous demandons. Une telle interdiction aura non seulement pour effet de limiter notre exposition en tant que consommateurs, mais également de réduire les potentiels rejets industriels contaminants nos ressources. Pour l’instant, la collectivité paie les pots cassés du manque de régulation en amont : traitement de l’eau polluée pour la potabiliser, soins de santé des personnes massivement contaminées, projets de recherche pour identifier les pistes de solutions, … Quelle politique souhaitons-nous favoriser ? Celles du « pollueur-payeur » ou bien du « pollué-payeur » ?
L’acharnement de l’armée israélienne contre l’hôpital Nasser éclaire sur la véritable nature de la guerre menée depuis octobre 2023 contre l’enclave palestinienne, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu, dans sa chronique.
En Belgique, le problème des PFAS est bien plus vaste qu'on ne l'imagine. […] "Lorsqu'on parle de Pfas en Belgique, on fait en général référence à une liste de 10 à 20 substances reconnues. Dans les faits, ce sont plus de 10 000 substances qui se trouvent potentiellement sur le marché". D'emblée, Pierre Jamar chargé de mission chez Canopea, la fédération des associations environnementales en Belgique, plante le décor. D'après lui, la majorité des substances en circulation en Belgique sortent "complètement des radars". Toutes ne présentent pas la même dangerosité mais, selon Pierre Jamar, certaines nuisent à la santé des Belges, sans que cela ne soit connu.



