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Fin des années 60, le Club de Rome commande une étude sur la viabilité de la croissance économique. Cette étude sera publiée en 1972 sous le titre « The limits to growth » (« Les limites à la croissance » en français) ou « Rapport Meadows ».
Voici nos références avec le mot-clef « Meadows » :
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Claire Gatinois
2025
Une vingtaine de pays se sont rangés derrière le président américain, soucieux de mettre en œuvre les étapes à venir de la reconstruction et de la gouvernance de la bande de Gaza, gage de paix durable.
La Turquie pourrait jouer un rôle majeur dans la force de stabilisation qui permettra de désarmer le mouvement palestinien, tandis que la France a réuni, à Paris, une conférence sur le « jour d’après ».
Le quai d’Orsay souligne les « faiblesses » et les « risques » de la feuille de route concoctée par les Etats-Unis et Israël, notant que la création d’un Etat palestinien n’y apparaît que comme un horizon lointain et flou.
Donald Trump a évoqué vendredi 26 septembre un « deal » qui permettrait la libération des otages israéliens et la paix à Gaza. En coulisse, une poignée d’Etats, dont la France et des pays arabes, tentent de convaincre le président américain d’être plus ferme avec le premier ministre israélien.
Après un soutien initial sans faille à Israël, le président français a recentré sa position sur la solution à deux Etats. Une inflexion, opérée au fil de la guerre à Gaza, qui se concrétisera par la reconnaissance de la Palestine par la France à l’ONU, le 22 septembre.
Les dirigeants d’une trentaine de pays engagés à soutenir Kiev contre l’agression russe se réunissent jeudi en visioconférence en présence du président ukrainien.
Dans le sillage d’Emmanuel Macron, le Royaume-Uni, le Canada et le Portugal ont pris un engagement similaire, aggravant l’isolement du gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou.
Mardi 29 juillet, le premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, en septembre. D’autres Etats comme le Canada, l’Australie et le Portugal pourraient suivre. Une « dynamique » dont Paris se félicite.
Le chef de l’Etat souligne que Mahmoud Abbas a dénoncé les attentats du 7-Octobre, promis de renouveler la gouvernance de l’Autorité palestinienne et de démilitariser le Hamas. Il espère être suivi par d’autres pays, en septembre, lors de l’annonce officielle à la tribune de l’ONU.