Les Soulèvements de la Terre

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"Et le pétrole dans tout ça?", c'est la question récurrente entourant le gigantesque déploiement militaire américain près des cotes sud-américaines, officiellement pour une opération anti-drogue contre le Venezuela qui dispose des plus grandes réserves d'or noir du monde et fait déjà l'objet d'un embargo pétrolier. Les États-Unis ont déployé sept navires de guerre dans les Caraïbes et un dans le Golfe du Mexique, et le plus grand porte-avion du monde est en route pour la zone. Pour le président Nicolas Maduro, Washington se sert du trafic de drogue comme prétexte "pour imposer un changement de régime" et s'emparer du pétrole vénézuélien. - "Le business continue"
Google a annoncé lundi avoir passé un accord avec le groupe américain NextEra Energy qui prévoit la remise en service début 2029 de la centrale nucléaire Duane Arnold, dans l'Iowa (centre), pour le développement des infrastructures de l'IA du géant californien. L'accord entre les deux entreprises vise à "répondre à la demande croissante en énergie de l'intelligence artificielle (IA) grâce à une énergie nucléaire propre et fiable", ont-elles annoncé dans un communiqué commun.
Chevron, opérateur historique au Venezuela, est au centre de la crise entre Caracas et Washington : la compagnie pétrolière américaine bénéficie d'un régime spécial depuis juillet avec une nouvelle "licence" qui a des conséquences complexes sur l'économie du pays et sa monnaie, en chute libre. Washington a durci ses sanctions contre le Venezuela en 2019 pour tenter d'évincer du pouvoir Nicolas Maduro dont il ne reconnaît pas les réélections en 2018 et 2024. Il a en même temps octroyé des autorisation d'exploiter du pétrole ou du gaz, malgré l'embargo à des sociétés pétrolières.
L'intelligence artificielle (IA) peut aider à doubler la productivité d'un puits de pétrole, a affirmé mardi le PDG de Saudi Aramco, estimant que les combustibles fossiles fourniront une grande part des besoins énergétiques mondiaux pendant encore des décennies. "Si vous forez un puits et que vous exploitez l'IA et la numérisation, vous pouvez augmenter la productivité deux fois plus", a déclaré Amin Nasser, patron du plus grand exportateur de pétrole au monde, lors de la conférence Future Investment Initiative (FII) à Ryad.
Le gouvernement américain va investir au moins 80 milliards de dollars dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels en vertu d'un partenariat annoncé mardi avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. C'est une nouvelle étape majeure du rebond du nucléaire aux Etats-Unis, en partie initié par les géants du secteur technologique aux besoins croissants en électricité pour alimenter leurs centres de données (data centers), notamment pour l'intelligence artificielle (IA).
Les Gafam affichent tous une consommation électrique 100 % décarbonée, malgré la course au gigantisme de leurs centres de données. L’examen de leur comptabilité écologique montre que cela passe par des contrats d’électricité très spécifiques, dont les effets sont, en réalité, limités.
On commence souvent par là : débattre de nos préférences. Quel scénario nous plaît, quelle technologie nous séduit ? Pas dingo comme point de départ. Mieux vaut poser d'emblée la question de Nate Hagens, celle qui coupe court aux fantasmes : est-ce que ça peut arriver, est-ce que ça ne peut pas arriver, ou est-ce que ça n'arrivera pas à temps pour compter ?
Des données inédites révèlent que des projets d’exploitation déjà planifiés à travers la planète sont susceptibles de rejeter à eux seuls des quantités de CO₂ largement supérieures au budget carbone restant à l’humanité pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde. Les organisations autrices du nouveau décompte (Lingo, Data for Good, Reclaim Finance, Eclaircies) estiment que 28 projets de ce type ont démarré entre 2021 et 2025, et 12 ont été annulés. Leur décompte total est de 601, dont 365 projets dont les émissions sont encore évaluées à plus d'1 milliard de tonnes. La différence est due aux projets ayant été consommés ou réévalués. Leur analyse se fonde sur des bases de données des secteurs énergétiques et financiers.
À deux semaines de la conférence mondiale sur le climat au Brésil, un consortium d’ONG publie de nouvelles données sur les «bombes carbone», ces projets d’extraction fossile qui pourraient générer des quantités faramineuses de CO2 sur l'ensemble de leur durée de vie. Pétrole, gaz, charbon : les associations ont recensé 601 mégaprojets.
Malgré l’urgence climatique, les investissements mondiaux dans les énergies fossiles continuent de croître, soutenus par un réseau dense de financements bancaires.
L'ONG mozambicaine Justiça Ambiental a dénoncé lundi les conditions "ultra-favorables" demandées par TotalEnergies au Mozambique pour relancer son projet gazier géant et a accusé la major française de prendre "en otage" ce pays d'Afrique australe, parmi les plus pauvres au monde. Après quatre ans de suspension en raison d'une attaque jihadiste meurtrière, le géant français des hydrocarbures s'est dit vendredi prêt à reprendre le projet onshore, dont il est le premier actionnaire et le maître d'oeuvre, dans une lettre adressée au président du Mozambique dans laquelle il dit souhaiter une compensation pour le surcoût lié au retard, chiffré à 4,5 milliards de dollars.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde.
Le monde compte désormais 600 bombes carbone et plus de 2 300 projets fossiles, selon l'actualisation de la carte carbonbombs publiée ce lundi 27 octobre par quatre associations, dont Data for Good et Reclaim Finance. Une tendance à la hausse alors que le scénario 1,5°C de l'Accord de Paris impose la fin de tout nouveau projet fossile depuis 2021.
Google a annoncé lundi avoir passé un accord avec l’énergéticien américain NextEra Energy qui prévoit la remise en service, début 2029, de la centrale nucléaire Duane Arnold en Iowa (centre), fermée depuis 2020, une nouvelle source d’électricité pour le développement des infrastructures d’intelligence artificielle (IA) du géant californien.
Engie a signé un contrat de fourniture d'électricité (PPA) renouvelable avec Meta (Facebook, Instagram) aux États-Unis, où il installera un parc solaire de 600 MW destiné à alimenter les centres de données du géant de la tech. La capacité totale des contrats d'achat d'électricité renouvelable signés entre Engie et Meta atteint ainsi plus de 1,3 GW, qui proviendront de quatre grands sites de production d'électricité renouvelables au Texas, précise l'énergéticien français dans un communiqué publié lundi.
TotalEnergies s’apprête à relancer une « bombe carbone ». Quatre ans après avoir suspendu un mégaprojet de gaz naturel liquéfié au Mozambique, le groupe français a annoncé samedi 25 octobre avoir levé l’état de « force majeure » pesant sur le chantier. Pour redémarrer, celui-ci ne doit plus qu’avoir le feu vert du gouvernement mozambicain.
L'homme le plus riche du continent africain, Aliko Dangote, a annoncé dimanche que la plus grande raffinerie d'Afrique, située au Nigeria, allait doubler en trois ans sa capacité à 1,4 million de barils par jour pour en faire "la plus grande raffinerie au monde". "Nous sommes en train de plus que doubler les barils... à 1,4 million contre 650.000", a déclaré M. Dangote, le propriétaire de cette raffinerie, lors d'une conférence de presse à Lagos. "Cela en fera la plus grande raffinerie" du monde, dépassant la raffinerie indienne de Jamnagar, a estimé l'homme d'affaires nigérian.
TotalEnergies a réclamé au gouvernement du Mozambique une extension de 10 ans de la concession pour le projet gazier qu'il est prêt à reprendre après quatre ans de suspension en raison d'une attaque jihadiste meurtrière, et souhaite une compensation pour le surcoût lié au retard, qu'il chiffre à 4,5 milliards de dollars, selon une lettre dont l'AFP a obtenu copie. "Pour compenser en partie l'impact économique" lié à la suspension du projet, "le concessionnaire demande respectueusement au gouvernement de lui accorder une extension" de sa licence d'exploitation "d'une durée de dix ans", indique la lettre en date du 24 octobre signée du directeur général du groupe et adressée au président du Mozambique.
Derrière son écran, l'opérateur donne le top départ: une tête laser montée sur un bras robotique s'attaque à la découpe d'une tuyauterie, une opération-test en réalité virtuelle menée au Commissariat à l'énergie atomique pour répondre aux enjeux du démantèlement des vieilles centrales nucléaires. Des outils de découpe robotisés aux drones d'investigation, ces assistants permettent aux intervenants d'"être moins exposés radiologiquement", explique Hubert-Alexandre Turc, ingénieur-chercheur au CEA, à plusieurs journalistes, lors d'une visite du site de Marcoule (Gard), berceau de l'industrie nucléaire française.


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