obsant.eu/lst
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
autisme
Donald Trump, président des États-Unis, a déclaré que l’utilisation de paracétamol par les femmes enceintes faisait courir un risque d’autisme aux enfants à naître. Il leur a vivement déconseillé d’en prendre. Sur quelle base s’appuie cette recommandation ? Que disent réellement les études scientifiques ? Pourquoi est-il si difficile d’établir un tel lien ?
Y aurait-il de la friture sur la ligne entre JD Vance et Donald Trump ? Le vice-président américain a semblé contredire le milliardaire, concernant le paracétamol.
Lors d'une conférence sur l'autisme, Donald Trump a exhorté les femmes enceintes à éviter le paracétamol, mais la recherche scientifique va à l'encontre de ses propos. La plus vaste étude menée à ce jour porte sur 2,48 millions d’enfants en Suède. Et elle conclut que ce médicament n'augmente pas le risque d’autisme.
Le président américain Donald Trump a déclaré lundi qu'il existait un lien entre l'utilisation du paracétamol pendant la grossesse et l'autisme chez les enfants, une affirmation contestée par de nombreux scientifiques.
La communauté scientifique rejette en masse le lien entre autisme et usage du paracétamol pendant la grossesse. Les agences des médicaments européenne et belge rassurent sur cet emploi.
Robert F. Kennedy Jr. (RFK Jr.), actuellement à la tête du Département américain de la Santé et des Services sociaux, a tenu des propos pour le moins controversés sur l’autisme lors d’une récente conférence de presse. Selon lui, la hausse des diagnostics serait principalement imputable à des facteurs environnementaux potentiellement nocifs apparus au cours des dernières décennies – une thèse que réfutent fermement les spécialistes. Le responsable politique entend néanmoins lancer une enquête sur les origines du trouble, en faisant abstraction des données scientifiques déjà disponibles.
Engagé de longue date dans le soutien aux parents d’enfants neuroatypiques, le président des Etats-Unis défend des positions archaïques sur l’autisme. Depuis vingt ans, sa vision est influencée par la fille d’un couple d’amis, passée de l’errance médicale à un combat antivax. C’est l’histoire d’une lubie trumpiste pas comme les autres. En mars, le nouveau ministre de la santé des Etats-Unis, le lobbyiste Robert F. Kennedy Jr, a confié aux Centres de contrôle des maladies (CDC), la principale agence de santé du pays, la mission d’étudier le lien fantasmatique entre autisme et vaccination.
Selon une étude menée sur des souris, l'exposition précoce aux insecticides de la famille des pyréthrinoïdes pourrait augmenter le risque d'autisme et d'autres troubles neuro-développementaux, comme le trouble de déficit de l’attention.
La multiplication du nombre de cas d'autisme dans les pays industrialisés suscite de vives inquiétudes sanitaires. La responsabilité de la pollution s’impose progressivement, mais n’a pas encore été formellement démontrée sur le plan neurobiologique. C’est ce qu’ambitionne de réaliser, en France, une étude inédite, qui suivra 1 700 couples sur dix ans. Pour ses artisans, prendre conscience du lien entre santé humaine et pollution pourrait transformer notre rapport à l’environnement.
abs_empty
![]()


