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L’entreprise prévoit, selon des informations de presse qu’elle n’a pas commentées, de licencier 30 000 personnes, ce qu’elle n’a pas fait aussi massivement depuis 2022.
Le géant américain du commerce en ligne a annoncé ce mardi le licenciement, dans un premier temps, de 14 000 personnes, sans préciser où. Une seconde vague est attendue en janvier. Les ouvriers des entrepôts ne sont pas touchés.
Lundi, plusieurs médias américains avaient rapporté qu’Amazon allait entamer mardi ce mouvement d’ampleur, évoquant un total de 30 000 postes touchés sur plusieurs mois à travers le monde.
Par leur mode de vie ostentatoire et leurs investissements polluants, les plus riches ont un impact démesuré sur le climat, alerte l’ONG Oxfam dans son dernier rapport sur les inégalités climatiques, publié ce mercredi.
Les métiers du droit sont contraints de s’adapter à l’intelligence artificielle (IA), de plus en plus performante, au point d’avoir réussi l’examen d’entrée au barreau américain en 2023. Dans les écoles et les universités, les programmes de formation se multiplient.
Malgré l’urgence climatique, les investissements mondiaux dans les énergies fossiles continuent de croître, soutenus par un réseau dense de financements bancaires.
OpenAI, l'entreprise qui a développé ChatGPT, a mené une étude pour savoir quels métiers seront les plus impactés par le développement de l'intelligence artificielle.
Interdiction de nombreuses applications de communication, obligations multiples imposées aux entreprises digitales et aux citoyens au nom de la transparence et de la lutte contre l’« extrémisme », caméras de surveillance omniprésentes dans les grandes villes, systèmes de reconnaissance faciale de plus en plus efficaces… Le contexte actuel est propice au développement, en Russie, d’un système intégré permettant au pouvoir de surveiller ses citoyens toujours plus étroitement.
« Sur le feed ». Chaque mois, la journaliste Laure Coromines décrypte les tendances numériques. Malgré la contre-productivité avérée des intelligences artificielles au travail, elles continuent d’être valorisées par les entreprises.
La Commission européenne planche sur la création d’un 28e État membre totalement fictif, qui pourrait être doté de son propre droit des sociétés, droit des faillites et droit du travail. Toutes les entreprises européennes pourraient opter pour ce régime alternatif à la place de leur législation nationale. Il s’agit ni plus ni moins de créer un droit fédéral des affaires taillé sur mesure pour les multinationales – un potentiel État virtuel du dumping réglementaire, pour le plus grand bonheur de nos patrons. Un projet sans équivalent au monde, qu’aucune entreprise n’a obtenu, pas même aux États-Unis sur leur propre territoire. Un paradis fiscal, juridique et social virtuel, sous drapeau européen, pourrait-il être proposé par la Commission en 2026 ? Des États s'y opposeront-ils ? On vous explique tout !
Zendesk, célèbre plateforme américaine de service client, a lancé la semaine dernière un nouvel agent IA qui prendrait en charge 80 % des problèmes d’assistance client de manière autonome. Ce dispositif s’inscrit dans une série de produits d’IA destinés à réduire la dépendance de l’entreprise aux techniciens humains, illustrant la manière dont ces outils émergents sont en passe de remodeler profondément les environnements professionnels, y compris les plus techniques d’entre eux.
Alors que le règlement européen sur l’intelligence artificielle entre progressivement en vigueur, les ressources humaines doivent faire preuve de vigilance sur le type de solutions d’IA qu’elles choisissent pour les aider à recruter. Toutes ne sont pas compatibles en matière de respect des données personnelles.
De PwC à Walmart en passant par Accenture, de plus en plus d’entreprises américaines évoquent l’intelligence artificielle pour expliquer la baisse des embauches, des licenciements ciblés et une réorganisation accélérée.
Baisse des exportations, interrogation sur les chaînes d’approvisionnement… les secteurs industriels subissent les taxes commerciales américaines, avec, pour beaucoup d’entre eux, la crainte de nouveaux chocs.
L’Etat américain, où sont basés les entreprises comme Google, Meta, OpenAI et Anthropic, a mis en place, une législation majeure de régulation, au moment où des dizaines de milliards de dollars d’investissement affluent dans la Silicon Valley.
Les entreprises reculent sur le reporting climatique, et certaines réduisent même leurs investissements dans la transition climatique, selon le BCG… Avec en toile de fond, l’émergence de l’IA comme outil de gestion des politiques climatiques.
L’écrasante majorité des multinationales cotées n’ont toujours pas aligné leurs plans d’investissement sur leurs objectifs de décarbonation, selon la London School of Economics. Les plans de transition des grandes entreprises manquent de crédibilité, et risquent de faire exploser le budget carbone mondial.
C’est en 2020 que cette liste avait pour la première fois été publiée par le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU. La liste actualisée inclut 68 nouvelles entreprises par rapport à celle de 2023, tandis que sept autres, dont le constructeur ferroviaire français Alstom, en ont été retirées.
Récemment , une vaste étude a permis de faire le lien entre les émissions de gaz à effet de serre (GES) de dizaines de grandes entreprises et de nombreuses vagues de chaleur ayant sévit dans plusieurs pays. Ayant fait l’objet d’une publication dans une revue scientifique, ces travaux pourraient changer la donne en ce qui concerne les contentieux climatiques.
À deux mois de la COP30 à Bélem en Amazonie, la participation des entreprises reste floue. Dix ans après l’Accord de Paris, elles hésitent à s’exposer, entre contraintes logistiques, tensions politiques et peur du greenwashing en plein blacklash écologique.
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