Les Soulèvements de la Terre

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Des températures océaniques bien au-delà des normes saisonnières ont touché différents récifs coralliens du pays, dont la Grande Barrière à un niveau inédit, et provoqué une gigantesque prolifération d’algues toxiques dans le Sud.
Entre août 2024 et mai 2025, l’Institut australien des sciences marines a rapporté le blanchissement « le plus étendu » provoqué par des températures océaniques étouffantes en 2024 qui ont engendré « des niveaux de stress thermique sans précédent » depuis les premiers relevés, il y a près de quarante ans.
Une tache bleue au milieu de l’Atlantique Nord intrigue les scientifiques. Est-ce un simple phénomène naturel… ou le signe avant-coureur d’un basculement climatique majeur ? Dans cette vidéo, Vinz nous plonge dans le mystère de l’AMOC, un gigantesque courant océanique qui agit comme le cœur thermique de notre planète. Si ce courant ralentit – ou pire, s’effondre – les conséquences pourraient être cataclysmiques : vagues de froid en Europe, dérèglement des moussons, insécurité alimentaire, montée des eaux... Avec la chercheuse Julie Deshayes, on découvre pourquoi ce système est si vital, pourquoi il pourrait s'effondrer plus vite que prévu, et surtout, ce que cela dit de notre rapport au climat et aux limites planétaires. Une vidéo à voir absolument pour comprendre les signaux faibles d’un monde en mutation.
Un courant océanique majeur dans l’hémisphère sud aurait inversé sa direction pour la première fois dans l’histoire, ce que les climatologues qualifient de point de basculement « catastrophique » dans le système climatique mondial. Ce phénomène, confirmé par des scientifiques marins espagnols de l’Institut de Ciències del Mar (ICM-CSIC) de Barcelone, a déclenché une alarme générale parmi les climatologues en raison de son potentiel à accélérer le réchauffement climatique et à déstabiliser les régimes météorologiques à l’échelle mondiale.
Une étude néerlandaise estime que, en cas d’arrêt de l’AMOC, la circulation océanique qui régule le climat mondial et européen, le nord-ouest du Vieux Continent connaîtrait des températures hivernales chutant par endroits de 15 °C.
Alors que l’Autorité internationale des fonds marins prépare un code minier pour les planchers océaniques est réunie en conseil, The Metals Company menace de se lancer dans l’exploitation de ces milieux fragiles et méconnus en s’en remettant au droit américain. En vertu de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, l’instance onusienne prépare depuis plus de dix ans le futur code minier qui devra, tout en préservant l’environnement, encadrer l’exploitation de « la zone », c’est-à-dire des fonds marins et océaniques et de leur sous-sol situés dans les eaux internationales. Une durée bien trop longue au goût de The Metals Company.
Calottes râpées. Le courant océanique circumpolaire antarctique pourrait perdre en intensité à cause de la fonte des glaces de l’Antarctique, révèle une nouvelle étude. Au risque d’accentuer la variabilité du climat.
Un nouvel article du grand climatologue James Hansen affirme que le réchauffement a accéléré il y a quelques années. La réduction des aérosols liés au fuel des navires en serait la cause. La fonte du Groenland dépasse les prévisions et mènera à un arrêt de la circulation océanique dans 20 -30 ans, ce qui provoquera plus tard une importante montée du niveau de la mer. Il suggère des prévisions climatiques complémentaires à celles du GIEC, qui s’appuieraient plus sur les observations de la réalité.
L’AMOC, qui contribue à maintenir un climat doux en Europe, des pluies dans les tropiques et qui stocke du CO₂, devrait ralentir, et pourrait même s’arrêter, en raison du dérèglement climatique.
De nouvelles recherches, rendues publiques le 18 novembre dans la revue Nature, établissent un lien de cause à effet entre la fonte des glaces et le ralentissement d'un courant océanique crucial pour la régulation du climat. Si les prévisions doivent être lues avec prudence en raison des variabilités naturelles, les conséquences désastreuses auxquelles mènerait cet effondrement font consensus et appellent à un sursaut immédiat.
Le système de circulation océanique mondial, véritable moteur climatique de notre planète, montre des signes alarmants de ralentissement. Cette gigantesque « courroie de transmission » marine, qui régule la distribution de chaleur à l’échelle planétaire, est sur le point de s’effondrer. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme : les conséquences pourraient être dévastatrices pour le climat et les écosystèmes terrestres.
Des climatologues ont publié une lettre ouverte exhortant les décideurs politiques des pays nordiques à engager des actions urgentes contre l’effondrement imminent de la circulation méridionale de retournement atlantique (AMOC).
Un second El Niño, jusqu'alors inconnu des scientifiques, est-il responsable de conséquences météo que personne n'avait réussi à comprendre jusqu'à maintenant ? C'est ce que révèle une nouvelle étude publiée dans Journal of Geophysical Research : Oceans.
L’Autorité internationale des fonds marins réunit ses instances annuelles à partir du 15 juillet, à la Jamaïque. Ses membres s’opposent sur l’intérêt et les risques liés à la récolte des métaux présents sur le plancher des océans.
Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Fruit de la collaboration d’une centaine d’auteurs de 28 pays, le rapport de la Commission océanographique intergouvernementale publié lundi 3 juin dresse un état des lieux inquiétant du monde océanique.
En cultivant des algues et fruits de mer, Bren Smith redonne vie à l'océan. Et avec GreenWave, organisation à but non lucratif, il essaime cette agriculture océanique régénératrice. Dans son livre, Le Fermier des océans*, ce Terre-Neuvien canadien raconte de façon sa rédemption écologique. Bren Smith est en effet passé du statut de pêcheur destructeur des écosystèmes à la fin des années 80 à celui d'agriculteur océanique régénérateur.
De qui s’Amoc-t-on ? Dérèglement des températures, inversion des saisons sèches et humides, montée du niveau de la mer… L’effondrement de la circulation méridionale de renversement de l'Atlantique (ou «Amoc»), un courant océanique essentiel dans la régulation du climat, pourrait être catastrophique. Et il a peut-être déjà commencé. On fait le point avec René van Westen, chercheur en océanographie physique
De nombreux courants océaniques redistribuent de la chaleur à la surface de la planète, produisant un effet encore mal estimé sur le climat mondial. Ils nécessitent une certaine stabilité pour subsister et, selon une nouvelle étude, le principal courant de l’Atlantique (également l’un des plus importants du monde), qui redistribue de la chaleur vers les hautes latitudes, serait progressivement en train de freiner et pourrait même complètement s’arrêter, produisant un refroidissement à la surface des océans dans l’hémisphère Nord et un réchauffement dans l’hémisphère Sud. Des reconstitutions des variations passées de ce courant océanique les avaient déjà liées à d’abruptes changements climatiques…
D’ici 2026, Airbus prévoit de moderniser sa flotte de cargos transatlantiques avec trois nouveaux navires rouliers, bien plus écologiques et efficaces.


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