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2025

La spectaculaire fuite à partir du groupe de discussion sur Signal dans lequel des hauts responsables de la politique étrangère américaine échangeaient sur les mérites d’une intervention militaire à venir contre les houthistes du Yémen révèle la teneur inquiétante des débats internes à l’administration Trump quant à son rôle dans le monde. Ce qui frappe, c’est moins que les Européens y soient décrits comme des profiteurs pathétiques que les considérations émises sur le rôle des États-Unis dans le système international.
Trois courants idéologiques à la fois contraires et convergents, les ultraconservateurs chrétiens, les nationaux-populistes et les techno-libertariens, sont portés par la victoire de Donald Trump.Cette internationale n’est pas structurée comme les internationales socialistes et communistes du XXe siècle, Des tentatives d’unification sont toutefois à l’œuvre depuis une décennie. Ancien conseiller stratégique de Donald Trump de 2016 à 2017, l’idéologue suprémaciste Steve Bannon avait lancé, en 2018 à Bruxelles, Le Mouvement, une fondation destinée à fédérer les populistes et nationalistes d’extrême droite en Europe.
En mettant fin, en 2015, à trente-cinq ans de "politique de l'enfant unique", le régime communiste espérait relancer la natalité pour contrer un vieillissement catastrophique de la population chinoise. Une décennie plus tard, l'échec est patent, et ce n'est pas la réforme légale du mariage annoncée il y a quelques jours qui permettra d'y remédier.
Depuis l’accident survenu au large du Royaume-Uni le 10 mars, des microbilles de plastique s’échouent dans la baie du Wash, une zone sensible qui héberge de nombreux oiseaux marins menacés.
Le tableau a été pensé dans l’urgence pour faire face à une crise inédite, d’une brutalité sans précédent. Un tableau « sinistre » de trois colonnes et trois couleurs pour « tenter de sauver un maximum de vies, coûte que coûte », témoigne Elodie Andrault, directrice des opérations au sein de l’organisation non gouvernementale (ONG) Action contre la faim (ACF).
Géochimiste de renommée internationale, Charles Langmuir est professeur à Harvard. Il s'intéresse en particulier à l'évolution de notre planète et à la place de l'être humain sur Terre. Le scientifique américain lance l'alerte pour la planète et "les attaques contre la science" dans son pays.
Certains chercheurs explorent actuellement la possibilité de construire la vie en utilisant une structuration inverse à celle observée dans la nature – un phénomène appelé "vie miroir". Ces recherches ont pour but de développer des protéines miroirs et d'en tirer un potentiel thérapeutique. Un groupe de scientifiques alerte sur les risques potentiellement "dévastateurs" pour l'homme, les animaux et les écosystèmes si ces bactéries étaient créées et relâchées dans la nature. Éclairage.
En engageant le pays sur la voie de l’autoritarisme, en s’alignant sur des despotes qui partagent son mépris de la démocratie et de l’Etat de droit, Donald Trump rompt avec une tradition qui faisait des États-Unis un modèle de liberté et de souveraineté, dénonce le sénateur de l’Etat du Vermont dans une tribune publiée par « Le Monde ».
En multipliant les menaces contre les personnes et les institutions qu’il considère comme hostiles, le président américain instaure un climat délétère qui fragilise les institutions américaines.
L’effroi et la sidération laissent place à la confusion et aux incertitudes. Les attaques de l’administration de Donald Trump contre les sciences du climat et de l’environnement se poursuivent aux Etats-Unis. Dans le même temps, les actions en justice contrent une partie de leurs effets. « La situation actuelle est incroyablement chaotique, indique Rachel Cleetus, directrice des politiques du programme climat et énergie de l’Union of Concerned Scientists. Cela a un effet extrêmement préjudiciable et paralysant sur le travail vital des scientifiques du gouvernement fédéral. »
Le collectif NoName serait à l'origine de cette attaque.
Au moins un chercheur de l'UCLouvain a été le destinataire d'un questionnaire envoyé par l'USAID, l'agence américaine pour le développement international. Une démarche qui évoque, pour certains, la campagne de courriels lancée récemment par Elon Musk contre les institutions américaines. L'université belge a immédiatement réagi.
L’Agence internationale de l’énergie conforte un paradoxe bien connu dans son dernier rapport. Le déploiement de technologies bas carbone limite la hausse des émissions de gaz à effet de serre, mais les besoins des pays émergents contribuent à accroître la demande énergétique, relève Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
L’outil ressemble à une simple scie circulaire fixée à un bras articulé, mais, conçu en alliage de titane, il peut résister à la pression de profondeurs jusqu’à 4 000 mètres, soit deux fois plus bas que le plus profond des câbles sous-marins actuels. Les chercheurs d’un institut officiel chinois qui l’ont créé le présentent comme un instrument de « développement des ressources marines », mais il pourrait aussi s’avérer une arme redoutable dans une bataille de plus en plus évidente ciblant les câbles optiques posés au fond des océans.
Cent quarante pages pour ausculter les maux d’une nature sous pression. Le dernier rapport sur l’état de l’environnement en France offre une synthèse éclairante de certaines améliorations, mais aussi de la dégradation des écosystèmes français. Alors que ce document est habituellement publié tous les cinq ans, l’édition 2024, que Le Monde s’est procurée, est pour le moment restée dans les tiroirs.
Le déploiement des technologies bas carbone limite la croissance des émissions, mais le réchauffement climatique contribue à accroître la demande en électricité, souligne l’Agence internationale de l’énergie.
L’ensemble des 54 pays du continent africain émet moins de 4 % des émissions mondiales, moins que la Chine, les Etats-Unis ou l’Inde.
A l’ouest d’Anvers, se trouve l’un des pires « hot spots » de l’empoisonnement de l’environnement par les « polluants éternels ». La zone fait aujourd’hui figure de laboratoire de décontamination pour le reste de l’Europe, au prix de travaux pharaoniques et de lourds sacrifices pour la population.
L’idée, reprise par la secrétaire d’Etat à l’agriculture, Brooke Rollins, inquiète scientifiques et vétérinaires. Cela donnerait l’occasion au virus de muter pour devenir plus dangereux. Pour mieux combattre le virus, faut-il le laisser circuler ? Face à la diffusion à très grande échelle du virus influenza aviaire H5N1 – on parle de grippe aviaire quand il touche l’humain – dans les élevages de volailles aux Etats-Unis, le ministre de la santé américain, Robert F. Kennedy Jr, propose une stratégie provoquant l’inquiétude des scientifiques et des vétérinaires. Au lieu d’abattre les bêtes dans les élevages contaminés, les agriculteurs « devraient peut-être envisager la possibilité de laisser circuler [le virus] dans les troupeaux afin qu[’ils] puiss[ent] identifier les oiseaux et préserver ceux qui y sont immunisés », a proposé cet antivax notoire à plusieurs reprises depuis début mars, notamment sur la chaîne conservatrice Fox News.
Provoquée le 13 mars par un glissement de terrain, une fuite dans un oléoduc a entraîné une grave pollution de plusieurs rivières et a privé d’eau potable des dizaines de milliers d’habitants de la province d’Esmeraldas.