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2025
Une clôture métallique de cinq mètres de haut coiffée de barbelés, et des soldats polonais en armes qui guettent la moindre arrivée de migrants depuis le Bélarus : ce pays, et derrière lui la Russie de Vladimir Poutine, ont tenté de déstabiliser la Pologne en instrumentalisant les flux migratoires dans le cadre d'une vaste guerre "hybride" contre l'Union européenne, met en garde Varsovie.
Le ministre allemand de la Défense s'est dit samedi ouvert à l'envoi de soldats allemands en Ukraine si une zone démilitarisée y était instaurée, pour garantir le respect d'un hypothétique cessez-le-feu avec la Russie.
L'armée ukrainienne a accusé vendredi les forces russes d'avoir frappé avec des drones FPV une école située à Soudja, dans la partie de la région russe de Koursk occupée par l'Ukraine et qui sert de refuge à une centaine de civils russes.
La guerre en Ukraine semble s’intensifier à quelques jours de l’investiture de Donald Trump à la présidence américaine. Russes et Ukrainiens multiplient leurs frappes pour tenter d’améliorer leurs positions avant d’éventuelles négociations.
Sébastien Lecornu, le ministre français des Armées, a dénoncé vendredi ce qu'il a qualifié de "mesure d'intimidation" russe "pas acceptable" au-dessus de la mer Baltique. Un système russe de défense air-sol aurait pris pour cible un avion français qui effectuait un vol de surveillance.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer est arrivé jeudi matin à Kiev, où il a signé un partenariat de sécurité "sur 100 ans" avec l'Ukraine, à quelques jours du retour à la Maison Blanche de Donald Trump. Une sirène aérienne suivie par de fortes explosions a retenti à Kiev dans le même temps.
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré mercredi que la Russie a planifié des "actes de terreur" dans les transports aériens à travers le monde, accusant Moscou d'organiser des sabotages et des détournements sur le sol polonais et au-delà.
La Russie a lancé mercredi près de 120 missiles et drones contre le réseau énergétique ukrainien, une nouvelle attaque "massive" qui a provoqué des coupures d'électricité dans plusieurs régions de l'Ukraine pendant la visite du président Zelensky en Pologne.
Au lendemain de la plus importante attaque aérienne ukrainienne contre le territoire russe depuis le début du conflit entre Moscou et Kiev, l'armée russe a lourdement frappé mercredi des "infrastructures essentielles" du réseau énergétique en Ukraine.
La Russie s'est emparée de gisements de lithium en Ukraine. Des gisements encore inexploités qui constituaient un atout non négligeable pour le président ukrainien.
Le géant industriel ukrainien Metinvest a annoncé mardi la mise à l'arrêt de la mine de Pokrovsk, essentielle à l'économie nationale, en raison du rapprochement des soldats russes de cette ville de l'est de l'Ukraine, importante pour la logistique de l'armée de ce pays. Voici ce que l'ont sait sur la mine de Pokrovsk.- Seule mine de coke -La mine de Pokrovsk est la seule sous contrôle de Kiev à produire du coke, un charbon nécessaire à la fabrication de l'acier, qui occupe la deuxième place dans les exportations ukrainiennes.
La République tchèque a annoncé mardi qu'elle s'était affranchie de sa dépendance à l'égard du pétrole de Russie qu'elle continue d'acheter, tout en pouvant désormais s'approvisionner en quantité à partir de l'Ouest grâce à l'extension de l'oléoduc européen TAL."La construction de cette extension est terminée", "la Russie ne peut plus nous faire chanter et nous avons la garantie de pouvoir nous approvisionner à partir de l'Ouest", a annoncé à la presse le Premier ministre tchèque Petr Fiala.
L’Ukraine accélère à tel point ses attaques de drones contre des sites russes liés à la production et à l’exportation d’hydrocarbures que Moscou accuse désormais Kiev de "terrorisme énergétique". Une arme importante dans l’arsenal ukrainien, utilisée depuis maintenant près d’un an.
L'Ukraine a lancé dans la nuit de lundi à mardi une attaque majeure de drones et de missiles sur plusieurs régions russes. Kiev assure avoir frappé une usine chimique produisant des explosifs pour l'armée russe dans la région frontalière russe de Briansk.
Si aujourd’hui les extrêmes droites russe et ukrainienne sont des ennemies mortelles, elles ont longtemps eu, en la personne de Jean-Marie Le Pen, un allié français commun.
Le géant gazier russe Gazprom, en proie à des difficultés financières résultant de l'assaut de Moscou contre l'Ukraine, envisage de supprimer environ 40% des postes au sein de son siège à Saint-Pétersbourg (nord-ouest), a indiqué lundi à l'AFP un porte-parole du groupe. Cette annonce intervient deux semaines après la fin du lucratif transit de gaz russe via l'Ukraine, une décision prise par Kiev pour limiter les revenus de Moscou après trois ans de conflit.
Le géant gazier russe Gazprom, en proie à des difficultés financières résultant de l’assaut de Moscou contre l’Ukraine, envisage de supprimer environ 40% des postes au sein de son siège à Saint-Pétersbourg (nord-ouest), a indiqué lundi à l’AFP un porte-parole du groupe.
La Russie a accusé lundi l'Ukraine d'avoir attaqué par les airs et sans succès une station de distribution gazière du gazoduc TurkStream, seul voie d'acheminement de gaz russe vers l'Europe depuis l'arrêt du transit le 1er janvier via le territoire ukrainien.Le secteur énergétique est un champ de bataille clé du conflit: depuis près de trois ans, Moscou est largement amputé de revenus clés, le marché européen du gaz s'étant en grande partie refermé en représailles de l'assaut et du fait du sabotage de Nord Stream en mer Baltique en septembre 2022.
L'armée russe a revendiqué lundi la prise de Pichtchané, village minier près de Pokrovsk dans l'est de l'Ukraine et zone où les forces de Moscou progressent lentement mais sûrement depuis plusieurs mois, avec de lourdes pertes.Le ministère russe de la Défense a dit avoir "libéré" cette localité, située à moins de 10 km au sud-ouest de Pokrovsk et qui abrite un important site minier d'extraction de charbon.
Du mazout issu de deux pétroliers russes naufragés mi-décembre dans le détroit de Kertch s'est répandu dans la mer d'Azov et a atteint les côtes de la région ukrainienne de Zaporijjia, en partie occupée par la Russie, a déclaré samedi le gouverneur régional installé par Moscou.