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Poutine

juillet 2025

Donald Trump a accusé Vladimir Poutine de dire "beaucoup de conneries" à propos de l'Ukraine, tout en laissant entendre qu'il souhaitait imposer de nouvelles sanctions à Moscou, lors d'un Conseil des ministres mardi.
La suspension des aides américaines, à Kiev, s’inscrit bien dans les plans militaires du chef du Kremlin : intensifier cet été son offensive en Ukraine et entretenir un conflit sans fin, synonyme de survie de son régime grâce à la nouvelle « stabilité » bâtie sur l’économie de guerre.
Le ministre russe des Transports, Roman Starovoït, démis de ses fonctions lundi par le président Vladimir Poutine, s'est suicidé, a annoncé quelques heures plus tard le Comité d'enquête russe dans un communiqué.
Le président américain Donald Trump s'est dit vendredi "très mécontent" de son appel téléphonique la veille avec Vladimir Poutine, qui n'a pas apporté de progrès pour parvenir à mettre fin à la guerre en Ukraine, estimant que son homologue russe voulait "juste continuer à tuer des gens".
Au lendemain de son dernier échange avec le président russe concernant la guerre en Ukraine, le locataire de la Maison Blanche a concédé vendredi 4 juillet au soir que la situation est «très difficile».
A l’heure du désengagement américain, et où l’attention générale est tournée vers le Moyen-Orient, Kyiv a besoin d’un soutien occidental franc pour espérer une issue au conflit favorable aux Ukrainiens.
Au forum de Saint-Pétersbourg, qui s’est tenu du 18 au 21 juin, le chef du Kremlin a exclu toute entrée en récession, mais les chiffres indiquent bel et bien un ralentissement. Au gouvernement, les voix sont discordantes.

juin 2025

La création de cette cour permettrait de contourner l’impossibilité de juger le «crime d’agression» à la Cour pénale internationale, non reconnue par la Russie.
Au lendemain des attaques ukrainiennes sur le territoire russe, nous avons échangé avec Alain De Neve, chercheur à l'École royale militaire. Si cette opération a fait autant de dégâts que ceux avancés par Kiev, quel impact sur la guerre dans son ensemble ?
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.

mai 2025

Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
Donald Trump, qui pourrait annoncer bientôt de nouvelles sanctions contre la Russie selon des médias américains, a une nouvelle fois laissé éclater mardi sa frustration envers Vladimir Poutine, estimant qu'il "jouait avec le feu".
Donald Trump a affirmé dimanche que Vladimir Poutine était "devenu complètement fou", durcissant le ton contre Moscou après un week-end d'attaques russes meurtrières contre l'Ukraine malgré les appels au cessez-le-feu.
Après un week-end marqué par des attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, le président américain a durci le ton contre Moscou, évoquant même une potentielle «chute de la Russie» si Poutine s’emparait du territoire ukrainien.Comme à son habitude, Donald Trump n’y est pas allé par quatre chemins. «J’ai toujours eu de très bonnes relations avec [le président] russe, Vladimir Poutine, mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement FOU ! Il tue inutilement un grand nombre de personnes, et je ne parle pas seulement des soldats», a écrit dimanche 25 mai le président américain sur son propre réseau, Truth Social, durcissant le ton contre Moscou après un week-end d’attaques russes meurtrières contre l’Ukraine, et ce malgré les appels au cessez-le-feu.
À la suite du "Mage du Kremlin" son précédent ouvrage qui a remporté un énorme succès public et critique, Giuliano da Empoli, écrivain et conseiller politique, présente "L’Heure des prédateurs" (Gallimard). Il y analyse l’émergence de leaders politiques comme Trump, Poutine, et des figures de la Silicon Valley. Quel rôle l’intelligence artificielle et les géants de la Silicon Valley jouent-ils dans la transformation de la politique et de la société ? Comment le déclin des technos démocraties est-il couplé avec le retour d’une forme politique où se déploient la force et l’agressivité ? Rencontre avec Giuliano da Empoli dans Le Monde en direct.
L’Ukraine a rejeté vendredi la proposition du président russe Vladimir Poutine de créer une zone tampon le long de la frontière ukrainienne. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga estime que ces plans montrent que la Russie n’a aucune intention de mener des pourparlers de paix. "Poutine reste la seule raison de l’effusion de sang actuelle", a-t-il écrit sur X (anciennement Twitter).
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit.
Les présidents américain et russe se sont entretenus ce lundi 19 mai par téléphone pour faire avancer un dossier totalement bloqué par les exigences impossibles de Moscou.
Dans une tribune au « Monde », l’économiste russe Vladislav Inozemtsev et le chercheur ukrainien Mykola Vorobiov constatent que les appels au président russe pour arrêter la guerre ont toujours été peine perdue. Selon eux, il ne consentira à négocier que si la guerre devient dangereuse pour son propre compte.
La Chine a apporté son soutien mardi à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu, suite à son coup de fil avec Poutine. La Haute représentante de l'UE pour les affaires étrangères, Kaja Kallas, a réclamé, elle, une "réaction forte" des États-Unis en l'absence de tout cessez-le-feu de la part de la Russie en Ukraine.
Volodymyr Zelensky a accusé ce mardi 20 mai la Russie «d’essayer de gagner du temps» en faisant traîner les discussions en vue d’un cessez-le-feu. Selon Kyiv, au lendemain d’un entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le seul but de Moscou est de «poursuivre» son invasion de l’Ukraine. Dans le même temps, la vice-présidente de la Commission européenne, Kaja Kallas a annoncé l’adoption formelle par l’UE d’un 17e paquet de sanctions contre la Russie.
Donald Trump a affirmé lundi que la Russie et l'Ukraine allaient "démarrer immédiatement des négociations en vue d'un cessez-le-feu" après son appel avec son homologue russe, Vladimir Poutine, lequel n'a cependant pas consenti à un arrêt des combats sans conditions comme réclamé par Washington et Kiev.
Alors qu’une frappe russe sur un minibus de civils a fait 9 morts ce samedi en Ukraine, le président américain, pressé par Emmanuel Macron, a confirmé qu’il parlerait au président russe lundi 19 mai.Encore et encore. Donald Trump a assuré ce samedi 17 mai qu’il parlerait au président russe au téléphone lundi pour évoquer une fin à la guerre en Ukraine, avant de parler au président ukrainien Volodymyr Zelensky et à plusieurs dirigeants d’Etats membres de l’Otan. «Les sujets de l’appel seront : mettre fin au “bain de sang”», a déclaré le président américain sur sa plateforme Truth Social.
Au lendemain de discussions sans progrès entre Russes et Ukrainiens à Istanbul, le Kremlin a annoncé, samedi, qu'une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky ne serait "possible" qu'à la seule condition que Moscou et Kiev trouvent des "accords" au préalable. Le président américain Donald Trump a déclaré, par ailleurs, qu'il s'entretiendra lundi avec ses homologues russe et ukrainien.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis vendredi d'accroître la pression sur Moscou jusqu'à ce que le président russe Vladimir Poutine soit "prêt pour la paix" dans les discussions avec l'Ukraine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky "était prêt à une rencontre. Le président Poutine ne s'est pas présenté. Cela démontre une chose: le président Poutine ne veut pas la paix", a-t-elle déclaré puis Tirana.
Ancien ministre de la Culture et historien aux vues nationalistes, le conseiller de Vladimir Poutine, Vladimir Medinski, emmène la délégation russe aux négociations de paix avec l'Ukraine à Istanbul, un rôle qu'il a déjà joué en mars 2022, au tout début du conflit. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait mis au défi son homologue russe de se rendre "en personne" à cette rencontre, mais Vladimir Poutine y a envoyé une délégation composée de responsables de second rang et dirigée par M. Medinski.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a jugé vendredi, à son arrivée à Tirana (Albanie) pour une réunion de la Communauté politique européenne, qu'il était temps d'intensifier la pression sur la Russie jusqu'à ce que Vladimir Poutine soit prêt pour la paix.
Des délégations russe et ukrainienne sont attendues jeudi à Istanbul, en Turquie, pour y mener leurs premiers pourparlers directs depuis le printemps 2022, bien que les modalités de cette rencontre, à laquelle le président russe Vladimir Poutine a refusé de participer, restent peu claires à ce stade.
Le président brésilien, présent aux cérémonies commémoratives du 9 mai à Moscou, a exhorté son homologue russe à se rendre en personne aux négociations sur l’issue de la guerre en Ukraine qui doivent se dérouler ce jeudi en Turquie.
Donald Trump a évoqué mercredi la "possibilité" de se rendre en Turquie si le président russe Vladimir Poutine s'y déplace pour des pourparlers avec le chef d'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky.
La Russie a refusé d’annoncer mardi si le président russe se rendrait à Istanbul pour y rencontrer son homologue ukrainien dans le cadre de négociations directes pour mettre fin au conflit.
Le silence du président russe Vladimir Poutine face à la proposition du président ukrainien Volodymyr Zelensky de le rencontrer jeudi à Istanbul signifie que le Russe a "probablement été surpris" par cette proposition, a commenté mardi la porte-parole en chef de la Commission européenne.
Des images satellites dévoilent une préoccupante activité russe près de la frontière finlandaise, avec des méthodes similaires à celles utilisées avant l'invasion de l'Ukraine. De quoi inquiéter l'OTAN ?
En proposant à Vladimir Poutine une rencontre en Turquie jeudi, Volodymyr Zelensky a réussi à le mettre dos au mur. Un énième tour de force qui pourrait amadouer les États-Unis et peser lourd dans le bras de fer diplomatique.
Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations "directes" et "sans condition préalable" avec l'Ukraine dès jeudi à Istanbul, tout en repoussant à ces discussions toute possibilité de cessez-le-feu, pourtant exigé par les alliés de Kiev. De son côté, Volodymyr Zelensky attend un engagement de Moscou en faveur d'une trêve, tout en se disant "prêt" à entamer des pourparlers. Il évoque des "signes positifs" laissant penser que la Russie commence à envisager la fin du conflit.
Le président russe a proposé dans la nuit de samedi à dimanche des négociations «directes» et «sans condition préalable» entre la Russie et l’Ukraine jeudi 15 mai à Istanbul.Vladimir Poutine n’aime pas les ultimatums. Rien de surprenant donc qu’il rejette celui que lui ont lancé les Occidentaux, venus rendre visite samedi 10 mai à Volodymyr Zelensky à Kyiv. Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre Donald Tusk, portant la volonté de la «coalition des volontaires» et avec la bénédiction de Donald Trump, ont exigé que la Russie accepte, sans conditions, dès lundi, un cessez-le-feu complet de 30 jours. Faute de quoi les alliés se sont accordés sur la nécessité de renforcer les sanctions contre Moscou et l’aide militaire à l’Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré dimanche qu'il "attendrait" son homologue russe Vladimir Poutine en Turquie, où ce dernier a proposé plus tôt de tenir des discussions à partir de jeudi."Nous attendons un cessez-le-feu total et durable, à partir de demain, pour fournir une base nécessaire à la diplomatie", a-t-il écrit sur X, ajoutant: "J'attendrai Poutine en Turquie jeudi. Personnellement. J'espère que cette fois, les Russes ne chercheront pas d'excuses".
Le président ukrainien a répondu positivement ce dimanche 11 mai à la proposition de Vladimir Poutine, tout en affirmant attendre l’application d’un «cessez-le-feu complet» dès lundi.«J’attendrai Poutine en Turquie jeudi. Personnellement. J’espère que cette fois-ci, les Russes ne chercheront pas d’excuses.» Ce dimanche 11 mai au soir, Volodymyr Zelensky a annoncé sur X avoir accepté la proposition émise dans la nuit de samedi à dimanche par Vladimir Poutine d’entamer des négociations «directes» à Istanbul dès le 15 mai.
Le président ukrainien a pris au mot le maître du Kremlin qui réclamait une rencontre avant toute trêve. Il l’attendra jeudi 15 mai en Turquie, «en personne». Un week-end à rebondissements qui ne permet certainement pas de s’attendre à un arrêt rapide de la guerre de la Russie en Ukraine, ni même à l’installation durable d’un cessez-le-feu. Avec un animal politique aussi torve que Vladimir Poutine, ce serait aller trop vite en besogne.
L'Ukraine et ses alliés européens ont approuvé la création d'un tribunal pour juger la Russie pour son invasion. Kiev espère que ce tribunal spécial permettra de condamner en justice le président russe Vladimir Poutine, a déclaré vendredi le chef de la diplomatie ukrainienne à Lviv (ouest). "Pour nous, le plus important est de préserver le principe de l'inévitabilité de la punition pour tous, y compris (...) le président russe", a déclaré Andriï Sybiga. "Ce tribunal est en train d'être mis en place pour prononcer des peines appropriées à l'avenir", a-t-il ajouté.


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