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Économie
Depuis plusieurs mois déjà, les États-Unis fournissent à l’Ukraine des renseignements précis sur les installations énergétiques à bombarder en Russie. Un soutien qui tranche avec l’attitude passée de Donald Trump à l’égard de Vladimir Poutine. Officiellement, Washington veut pousser Moscou à négocier. Mais ce n’est probablement pas la seule motivation du président américain.
La « socialisation » de la production d’énergie est nécessaire pour démocratiser l’économie et réduire les inégalités, estime le chercheur Lucas Chancel dans un nouvel essai d’histoire globale de l’énergie.
Selon les dernières prévisions du FMI, la croissance mondiale devrait s’élever à 3,2 % en 2025, contre 3,3 % en 2024, et de 3,1 % en 2026.
Le Trésor américain avait annoncé jeudi un échange bilatéral de devises de 20 milliards de dollars et une intervention directe sur le marché des changes pour soutenir un peso sous pression.
C’est sans doute l’une des études les plus importantes de l’année. Après « A good life for all within planetary boundaries » (2018), la première tentative de quantification du donut de Kate Raworth, et sa mise à jour en 2022 dans « The social shortfall and ecological overshoot of nations », deux chercheurs viennent de publier la suite. Intitulée « Doughnut of social and planetary boundaries monitors a world out of balance » (2025), l’étude est sortie le mercredi 2 octobre dans la prestigieux revue Nature.
De Belgische klimaatkosten kunnen tegen 2050 oplopen tot 4 à 8,5 miljard euro per jaar. Tenminste, als er geen verdere maatregelen uitgerold worden om de impact van regen, stormen en overstromingen te verzachten. Daarvoor waarschuwt het Federaal Planbureau vandaag. Dat zou niet alleen een stevige impact hebben op de economie, maar ook op de Belgische schuldgraad.
Le ministère russe des Finances a proposé d’augmenter la TVA pour financer ses dépenses militaires exponentielles, après plus de trois ans et demi d’offensive en Ukraine.
Le concepteur de puces, devenu l’entreprise la plus riche du monde, va investir 100 milliards de dollars dans OpenAI, le créateur de ChatGPT. Une illustration éclatante de l’impact de l’intelligence artificielle, qui est devenue le dopant numéro un de la croissance aux États-Unis.
A côté de l’euphorie des marchés boursiers et des milliards investis par la tech, des signaux préoccupants s’allument pour une conjoncture américaine percutée par les droits de douane : tensions inflationnistes persistantes, emploi et consommation atones.
Le panorama mitigé de l’économie américaine, huit mois après le retour de Donald Trump au pouvoir, est occulté en grande partie par le boom de l’intelligence artificielle. Mais l’impact réel de cette technologie en matière d’emploi et de productivité reste incertain.
Une dizaine d'économistes de renom, dont les Nobel Joseph Stiglitz et Daron Acemoglu, ont mis en garde lundi contre un risque d'"effondrement du journalisme d'intérêt public" qui apporte une information de qualité, avec des "conséquences considérables" notamment sur l'économie.
L’Effondrement de 2026 - L’alerte de Fred Harrison […] Il nous avait prévenu en 1990. Il nous avait prévenu en 2008. Les deux fois, le monde l'a ignoré. Les deux fois, il avait raison. Fred Harrison, l'économiste qui avait anticipé les deux dernières grandes récessions, tire une nouvelle fois la sonnette d'alarme et cette fois, il affirme que l'effondrement a une date.
Un collectif de onze économistes, parmi lesquels Philippe Aghion et Joseph Stiglitz, appelle, dans une tribune au « Monde », les gouvernements internationaux à reconnaître et à défendre la valeur des médias d’intérêt général à travers une série de mesures.
Trois jeunes Belges, de retour de la 18e conférence de la Société internationale d'Économie écologique à Oslo, racontent leur expérience.
Le patron multimilliardaire de LVMH s’en prend ce samedi 20 septembre dans le journal britannique «Sunday Times» à l’économiste qui propose la taxe sur les grandes fortunes défendue par la gauche.
Il avait prédit le krach de 1990. Il avait prédit le krach de 2008. Aujourd’hui, l’économiste Fred Harrison avertit que le prochain effondrement aura lieu en 2025 — et cette fois, il pourrait être encore plus grave.
Qui dit PIB, dit consommation d’énergie : transport, construction, usines, etc. L'Union européenne importe massivement du pétrole, du gaz fossile, du charbon, de l’uranium et des panneaux photovoltaïques de pays plus ou moins fiables. Cette dépendance rend notre économie vulnérable.
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
"Doucement mais sûrement": Oleg fait le plein d'essence à Moscou et vitupère contre la hausse des prix nourrie par une demande accrue et les frappes ukrainiennes contre les infrastructures pétrolières, secteur clé de l'économie russe que les Occidentaux veulent sanctionner. "Tout le monde l'a remarqué", tonne Oleg, retraité de 62 ans: les prix des carburants vont crescendo à la pompe. Au 1er septembre, l'essence au détail coûtait 6,7% de plus que fin 2024, selon Rosstat, l'agence nationale des statistiques. Ce renchérissement s'inscrit dans un contexte de hausse générale des prix, avec une inflation annuelle qui a été de 8,14% en août, à l'heure où la Russie intensifie l'offensive qu'elle a lancée en 2022 en Ukraine.
Depuis des années, Jean-Marc Jancovici se consacre à l'étude du changement climatique et aux manières de décarboner l'économie. Son sens de la formule lui vaut d'être l'une des figures les plus populaires dans son domaine. De passage en Suisse, il explique vouloir s'adresser avant tout à la société civile.