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D’où vient le virus SARS-CoV-2 ? Trois agences états-uniennes, dont la CIA, pointent vers la possibilité d’une fuite d’un laboratoire chinois. Entre politique et science, essayons d’y voir plus clair.
Cela fait déjà 5 ans qu’un mystérieux virus venu de Chine a bouleversé et métamorphosé notre société. Aujourd’hui, si le SARS-CoV-2 est l’un des virus plus le plus étudiés au monde, il reste pourtant des zones d’ombre sur ses origines. Comment est-il apparu ? Dans quel contexte ? Et puis aujourd’hui, le virus est-il toujours parmi nous ? Qu’en est-il de sa dangerosité ? Faisons le point.
Selon une évaluation de l’agence de renseignement américaine, déclassifiée à la demande du nouveau directeur nommé par Donald Trump, la pandémie de Covid-19 était “probablement” due à une fuite de virus depuis un laboratoire chinois.
Environ 777 millions de personnes ont contracté le Covid-19 depuis l'apparition du virus il y a près de cinq ans, a indiqué mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Plus de sept millions de patients ayant contracté la maladie sont décédés.
Les pays qui ont pris des mesures de restriction des contacts sociaux sans attendre la saturation de leurs hôpitaux ont sauvé plus de vies et davantage préservé leur économie, montre une étude inédite de l’Institut Pasteur, publiée lundi.
Les cancers et les maladies cardio-vasculaires sont restés, dans cet ordre, les causes principales de mort en 2022. Mais les maladies respiratoires autres que le Covid-19 sont devenues la troisième cause de mortalité sur le territoire.
Des chercheurs ont mis en évidence des troubles cognitifs très légers chez des patients jeunes et en bonne santé, un an après un Covid sans complication. Une seconde étude montre que le cerveau de patients plus âgés ayant subi une forme sévère de la maladie semble avoir vieilli de vingt ans.
Depuis fin août une nouvelle souche détecté du variant Omicron, nommé XEC, qui retient l’attention des experts. Des symptômes identiques aux précédentes souches, mais qui nécessite un rappel de vaccin selon les immunologistes.
Les données collectées pendant et après la pandémie de Covid-19 continuent à être analysées pour en évaluer l’impact. Le bilan de surmortalité révèle une importante et hétérogène perte d’espérance de vie. Mais que sait-on, quatre ans après le début de la pandémie, de ses effets sur la longévité humaine ? Explications.
« Plandémie », implication de Bill Gates, manipulations en laboratoire ou complot des Big Pharma… L’urgence de santé publique déclarée par l’Organisation mondiale de la santé ravive les obsessions des complotistes.
Comment les personnes hospitalisées lors de la première vague de Covid-19 décrivent-elles leur fonctionnement psychique et cognitif plusieurs années après ? Dépression (légère ou sévère), anxiété, fatigue ou déclin cognitif sont la plupart du temps toujours là voire apparaissent sous la forme de nouveaux symptômes, deux ou trois ans après. C’est la conclusion principale d’une étude menée par une équipe de scientifiques de l’Université d’Oxford et de l’Université de Leicester, pilotée par le Belge Maxime Taquet, et qui vient de paraître dans le journal The Lancet Psychiatry.
Le microbiologiste et médecin hongkongais renommé, Yuen Kwok-yung, met en garde contre une nouvelle pandémie qui pourrait être plus dévastatrice que le Covid-19. Il exhorte les dirigeants à considérer cette éventualité et à agir pour faire face aux défis mondiaux que représentent le changement climatique rapide et les maladies infectieuses émergentes. L'expert insiste sur l'importance d'une collaboration internationale, essentielle pour la protection de tous.
Ces derniers mois, les cas de covid-19 sont hausse en Belgique.
Le virus frappe à nouveau le peloton, qui part de Florence, samedi, depuis quelques semaines. Après le forfait de deux coureurs de poids, certaines équipes envisagent de rétablir des protocoles sanitaires.
Une étude révèle que certaines personnes semblent immunisées contre le SARS-CoV-2 même sans vaccination, grâce à une réponse immunitaire unique. Ces résultats pourraient ouvrir la voie à des stratégies thérapeutiques de nouvelle génération.
C’est un variant, ou plutôt une famille de variants du Sars-CoV-2, virus du Covid-19, qui semble gagner du terrain dans plusieurs parties du globe.
En seulement deux ans, la pandémie de Covid-19 a anéanti plus de dix ans de progrès en termes d'espérance de vie à la naissance et d'espérance de vie en bonne santé (EVBS), selon le dernier rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les statistiques sanitaires mondiales.
L’homme âgé de 72 a développé plus d’une cinquantaine de mutations du virus.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fait part de sa préoccupation face à la propagation croissante de la souche H5N1 de la grippe aviaire à de nouvelles espèces, y compris les humains. Pour l’infectiologue Yves Van Laethem, il est urgent de relancer les systèmes de surveillance et de détection des infections.
Le virus peut également s’avérer très dangereux pour celui qui le contracte.