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Le Guyana s'apprête à accélérer l'exploration pétrolière et encourager de nouveaux contrats de participation garantissant plus de richesse "pour le peuple", a annoncé dimanche son président, Irfaan Ali, lors de son discours d'investiture. Ali a été réélu la veille pour un second mandat de cinq ans à la tête du petit pays d'Amérique du Sud, disposant des plus grandes réserves d'or noir de la planète par habitant.
Le chef d'Etat du Guyana, Irfaan Ali, a annoncé mercredi à l'AFP avoir remporté la présidentielle de ce petit pays d'Amérique du sud qui dispose des plus grandes réserves de pétrole par habitant de la planète. Le dirigeant de centre-gauche, 45 ans, a fait la promesse de sortir le pays de 850.000 habitats de la pauvreté grâce à la manne pétrolière. Il devra aussi gérer l'épineux dossier de l'Essequibo, la région au riche sous-sol que réclame son voisin géant le Venezuela. "Les chiffres sont clairs. Le PPP/Civic (son parti, centre gauche) a remporté une victoire écrasante. Nous avons une grande majorité et nous sommes prêts à faire avancer le pays", a-t-il dit dans une brève déclaration par téléphone.
Le Guyana, qui attend jeudi les résultats de ses élections présidentielle et législatives, est un récent allié des Etats-Unis face au Venezuela, qui convoite les deux tiers de son territoire et ses riches réserves pétrolières. Le Guyana a confié à la compagnie américaine Exxon l'essentiel de l'exploitation de ses ressources pétrolières, notamment dans l'Essequibo, région revendiquée par Caracas. Essequibo et pétrole ont été omniprésents dans la campagne des élections générales qui se sont tenues lundi.
Le Guyana élit lundi son nouveau président appelé à gérer l'énorme manne pétrolière de ce pays pauvre d'Amérique du Sud disposant des plus grandes réserves de la planète par habitant, sur fond de tensions avec le Venezuela voisin. L'armée et la police du Guyana ont dénoncé des "coups de feu" tirés dimanche depuis le Venezuela sur un bateau transportant du matériel électoral dans la région de l'Essequibo que convoite Caracas. Aucun blessé n'est à déplorer, de même source.
Le petit pays d’Amérique du Sud, aux formidables réserves d’or noir, choisira lundi 1er septembre entre le président sortant de droite et son rival de gauche, représentants d’un bipartisme à base ethnique. Mais un nouveau venu populiste pourrait jouer les trouble-fêtes.
Le Guyana, petit pays pauvre d'Amérique du sud qui espère un avenir meilleur grâce aux plus grandes réserves de pétrole per capita de la planète, est appelé à des élections générales lundi sous la pression de son gigantesque voisin le Venezuela, dont les réclamations sur l'Essequibo se font toujours plus pressantes. Environ 750.000 électeurs (incluant la diaspora), sur une population de 850.000 habitants dont la plus grande partie vit dans la pauvreté, sont appelés à ce scrutin législatif à un tour qui couronne président le candidat dont le parti est arrivé en tête. Le vainqueur aura en charge la gestion de l'immense manne pétrolière qui a permis de quadrupler le budget de l'Etat, de 6,7 milliards de dollars en 2025. Le pays, qui a commencé l'exploitation pétrolière en 2019, espère faire passer sa production de 650.000 barils par jour actuelle à plus d'un million en 2030.
Le Guyana va renforcer la sécurité dans l'Essequibo, la zone riche en pétrole et minerais réclamée par le Venezuela, lors des élections présidentielles et législatives du 1er septembre, a annoncé lundi un membre de la Commission électorale lors d'une conférence de presse. "Nous avons obtenu une garantie de sécurité. Les plans ne sont pas définitifs", a déclaré le chef adjoint des élections de la Commission électorale du Guyana, Aneal Giddings, soulignant que la police et les forces de défense avaient "soulevé" la question et fait part de "leurs préoccupations" lors des réunions préparatoires.
Slechts één land ter wereld produceert genoeg voedsel om zijn bevolking volledig te voeden volgens moderne voedingsrichtlijnen: het Zuid-Amerikaanse Guyana. Dat blijkt uit een grootschalige analyse van de productiecapaciteit van 186 landen, gepubliceerd in het toonaangevende tijdschrift Nature Food. De studie, geleid door onderzoekers van de Universiteit van Göttingen, toont aan dat de meeste landen ver achterblijven in het realiseren van een gezond voedingspatroon op basis van eigen productie.
Dans le cadre d’une étude récente, des économistes européens ont simulé un arrêt des échanges alimentaires mondiaux. Selon les résultats, un seul pays brillant par son autosuffisance devrait survivre aisément à l’arrêt des échanges alimentaires.
L'armée vénézuélienne s'est déclarée dimanche en "état d'alerte", après que Caracas a dénoncé un complot présumé qui prévoirait une attaque contre le groupe pétrolier américain ExxonMobil au Guyana pour l'attribuer au gouvernement de Nicolas Maduro. Le différend concernant l'Essequibo, territoire de 160.000 km³ qui couvre les deux tiers de la superficie du Guyana, mais revendiqué par le Venezuela, a été ravivé lorsque ExxonMobil a découvert d'immenses réserves de pétrole en 2015.
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a traité « d’imbécile », jeudi, le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, après les mises en garde de ce dernier au sujet de l’Essequibo, territoire riche en pétrole que Caracas réclame au Guyana.
Rubio au Guyana pour offrir la protection américaine à ce pays riche en pétrole, voisin du Venezuela
(27/03) - Connaissance des ÉnergiesLe secrétaire d'État américain Marco Rubio est arrivé jeudi au Guyana pour proposer de placer ce petit pays aux importantes réserves pétrolières sous la protection américaine en matière de sécurité alors que le Venezuela voisin revendique une partie de son territoire.
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, en visite jeudi au Guyana pour l'assurer de sa protection, a averti le Venezuela voisin que toute attaque de ce petit pays pétrolier se "terminerait mal".
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a averti mercredi le Guyana et le groupe pétrolier américain ExxonMobil qu'il prendrait "toutes les mesures nécessaires" pour mettre fin à leur "action illégale" dans l'Essequibo, région riche en pétrole disputée par les deux pays sud-américains. Nicolas Maduro a une nouvelle fois accusé le Guyana de se livrer à une "activité illégale consistant à utiliser une eau territoriale en cours de délimitation internationale pour des activités d'exploitation pétrolière".
La zone maritime au large de la région de l'Essequibo, riche en pétrole et au coeur d'un différend territorial ancien entre le Guyana et le Venezuela, a été le théâtre samedi d'un regain de tensions, les deux pays s'accusant mutuellement d'activités illégales. Le président du Guyana Irfaan Ali a dénoncé l'incursion dans la matinée d'un navire militaire vénézuélien dans les eaux de son pays, après quoi Caracas a insisté sur le caractère de son point de vue "illégal" de l'exploitation de pétrole par le Guyana.
L'armée vénézuélienne a nié ce dimanche l'entrée samedi d'un navire militaire dans les eaux du Guyana, petit État du Nord de l'Amérique du sud, affirmant que son bateau effectuait un simple tour de garde dans les "eaux maritimes de la façade atlantique vénézuélienne".
Le Premier ministre indien Narendra Modi, en visite de deux jours au Guyana, a réaffirmé jeudi l'intérêt de son pays pour le pétrole guyanien lors d'un discours devant le Parlement de ce petit pays du nord de l'Amérique du sud, disposant des plus grandes réserves de pétrole per capita de la planète. "L'Inde entre dans une nouvelle ère. La demande d'énergie augmente rapidement en Inde et le pays diversifie ses sources d'énergie. À cet égard, nous considérons le Guyana comme une source d'énergie importante", a-t-il déclaré.
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L’Essequibo désigne à la fois le plus long fleuve du Guyana et un vaste territoire qui fait l’objet d’un différend territorial entre le Venezuela et le Guyana. Ce différend est exacerbé depuis 2015 par la découverte d’importantes réserves de pétrole dans cette zone par ExxonMobil.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé lundi le Guyana et le Venezuela à la "retenue", s'inquiétant d'un risque d'"escalade des tensions" entre les deux pays autour de leur différend sur la région de l'Essequibo riche en pétrole. Les membres du Conseil de sécurité, dont le Guyana fait partie depuis janvier, ont exprimé dans cette déclaration "leur inquiétude concernant la possible escalade des tensions entre le Venezuela et le Guyana".