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Le président russe Vladimir Poutine s'est félicité jeudi que son pays reste "l'un des principaux producteurs" au monde de pétrole, malgré les sanctions occidentales et les pressions de son homologue américain Donald Trump sur les clients de Moscou.
Le Royaume-Uni a annoncé mercredi des sanctions contre deux géants pétroliers russes, Rosneft et Lukoil, et contre une cinquantaine de navires soupçonnés d'appartenir à la "flotte fantôme" utilisée par la Russie pour exporter son pétrole. Lukoil et Rosneft sont les deux plus grands producteurs russes de pétrole, qui exportent à eux deux quelque 3,1 millions de barils par jour, souligne le gouvernement britannique dans un communiqué.
Les sanctions occidentales poussent la Russie à emprunter des routes alternatives et à exploiter un « marché gris » pour ses approvisionnements. Une nouvelle géographie des échanges se dessine-t-elle ? Est-elle durablement viable ?
Les sanctions de Washington visant NIS, la compagnie nationale pétrolière de la Serbie, sont entrées en vigueur jeudi. Détenue majoritairement par Gazprom et d’autres sociétés russes, elle assure environ 80 % des besoins en carburant des 6,5 millions de Serbes.
Le président français Emmanuel Macron a appelé jeudi à "accroître la pression" sur la flotte fantôme russe, dont l'un des pétroliers a été intercepté au large des côtes françaises et est visé par une enquête pour "délits maritimes". Les commandos marine français ont arraisonné samedi le "Boracay", un navire battant pavillon du Bénin et appartenant à la flotte utilisée par Moscou pour contourner les sanctions occidentales contre ses ventes de pétrole depuis l'invasion de l'Ukraine.
En recevant jeudi Recep Tayyip Erdogan, Donald Trump s'est dit prêt à lever "presque immédiatement" les sanctions américaines contre le secteur turc de la défense. Il a toutefois demandé à son homologue que la Turquie cesse d'acheter du pétrole à la Russie.
Avant d’accentuer la pression sur Vladimir Poutine, Donald Trump exige de ses alliés européens qu’ils cessent d’acheter du pétrole russe et augmentent les droits de douane sur les produits chinois. Inacceptable pour l’UE, qui doit présenter, lundi, un 19ᵉ train de mesures et craint de faire les frais d’une guerre commerciale entre Washington et Pékin.
Le président américain Donald Trump a déclaré samedi qu’il était prêt à prendre "des sanctions significatives contre la Russie" à condition que tous les pays membres de l’Otan cessent leurs importations de pétrole russe. Il a également suggéré aux membres de l'Alliance des hausses substantielles des droits de douane visant la Chine pour que celle-ci diminue son soutien à Moscou.
La France et l’Allemagne proposent que l’Union européenne cible Lukoïl, une compagnie pétrolière russe présente en Europe, ainsi que davantage d’acteurs hors de l’UE qui aident la Russie à vendre son pétrole, dans le cadre du 19e paquet de sanctions en préparation, a-t-on appris de sources diplomatiques.
Donald Trump déclaré dimanche qu'il envisageait de nouvelles sanctions contre la Russie, au lendemain d'une importante attaque aérienne sur l'Ukraine, sans précédent par son ampleur.
Le président américain Donald Trump s'est déclaré mardi "très déçu" par son homologue russe Vladimir Poutine, après que leur rencontre en Alaska n'a abouti à aucun progrès substantiel sur une issue à la guerre en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé lundi avoir évoqué de potentielles sanctions et d’autres moyens de pression contre la Russie avec l’émissaire américain Keith Kellogg, en visite en Ukraine.
Les dirigeants américain et ukrainien se sont entretenus au téléphone ce mardi 5 août, et se sont entendus en matière de défense, alors que l’ultimatum donné par le locataire de la Maison Blanche à Poutine arrive à échéance.
Ces pétroliers font partie d'une "flotte responsable du transport illicite de marchandises d'une valeur de 24 milliards de dollars depuis le début de l'année 2024", indique le ministère britannique des Affaires étrangères dans un communiqué. Deux sociétés sont également visées : Intershipping Services LLC, accusée d'avoir "enregistré des navires de la flotte fantôme sous pavillon gabonais", et Litasco Middle East DMCC, liée à la compagnie pétrolière russe Lukoil, "pour son rôle dans le transport d'importants volumes de pétrole russe sur des navires de la flotte fantôme".
La France a salué, vendredi, l'adoption d'un 18e paquet de sanctions européennes "sans précédent" contre la Russie et ses soutiens, qui prévoit notamment un abaissement du seuil du prix du pétrole brut russe autorisé à l'exportation.
L'UE a adopté vendredi un 18e paquet de sanctions contre la Russie en guerre contre l'Ukraine, qui prévoit un abaissement du prix du pétrole russe autorisé à l'exportation, a-t-on appris de sources diplomatiques. "Nous avons maintenant un accord sur un 18e paquet de sanctions fort et efficace contre la Russie", a assuré un diplomate à Bruxelles à l'issue d'une réunion des ambassadeurs de l'Union européenne vendredi matin. La Slovaquie, qui bloquait jusqu'à présent l'adoption de ce nouveau paquet de sanctions, le 18e depuis l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, a finalement accepté de lever son veto après avoir reçu des garanties.
Le président américain a annoncé, lundi 14 juillet, la fourniture d’équipements militaires à l’armée ukrainienne, en passant par les alliés européens, et menacé les partenaires commerciaux de la Russie d’une surtaxe douanière de 100 %, si aucun accord de cessez-le-feu n’était trouvé dans les cinquante prochains jours.
Au lendemain de son dernier échange avec le président russe concernant la guerre en Ukraine, le locataire de la Maison Blanche a concédé vendredi 4 juillet au soir que la situation est «très difficile».
Les dirigeants des 27 pays membres de l'Union européenne, réunis en sommet à Bruxelles, ont donné leur accord pour prolonger leurs sanctions contre la Russie pour six mois supplémentaires, a-t-on appris de sources diplomatiques.
Alors que les initiatives diplomatiques pour obtenir de Vladimir Poutine un cessez-le-feu de trente jours en Ukraine sont au point mort, la Commission européenne a proposé, mardi, un nouveau train de sanctions contre la Russie afin de « faire monter la pression » sur le Kremlin.