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israélien
2025
Si les réactions diplomatiques ont été peu nombreuses, la reconnaissance de la famine peut venir alimenter les procédures ouvertes devant la justice internationale pour « crime contre l’humanité » contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant, et pour « génocide » contre l’Etat d’Israël.
En Cisjordanie occupée, les colons israéliens mènent aujourd’hui l’une des campagnes d’intimidation et d’accaparement de terres les plus violentes depuis 1967.
Même si Israël reste suspendu à la décision de Benyamin Nétanyahou sur l’accord temporaire de cessez-le-feu, les manœuvres autour de la plus grande ville de l’enclave palestinienne, présentée comme un « bastion » du Hamas, ont déjà commencé. D’ici à quelques semaines, plus de 120 000 réservistes devraient être sur le terrain.
Le plan majeur de colonisation en Cisjordanie occupée approuvé mercredi par Israël est "inacceptable" et représente "une violation de la loi internationale", ont condamné jeudi 21 pays parmi lesquels le Royaume-Uni et la France, dans un communiqué commun.
La capitale de l’enclave palestinienne a été bombardée ce jeudi 21 août par l’armée israélienne, qui a appelé à l’évacuation des hôpitaux et des ONG vers le Sud, se préparant à l’offensive terrestre.
Le colonel à la retraite et expert de la défense éclaire sur la nouvelle offensive de Netanyahu.
Parallèlement, Israël Katz a également émis un ordre de rappel de 60 000 réservistes afin de «mener à bien la mission».
Le ministre iranien de la Défense a annoncé, mercredi, que Téhéran dispose désormais de missiles plus performants que ceux employés lors de la guerre des 12 jours en juin. L'Iran se dit prêt à les utiliser en cas de nouvelle attaque israélienne, alors que des manœuvres militaires doivent débuter en mer d'Oman et dans le nord de l'océan Indien.
L’ONU a jugé "inacceptable" mardi le comportement du ministre israélien d’extrême droite, Itamar Ben Gvir, qui a diffusé une vidéo où il prend à partie dans sa cellule, Marwan Barghouthi, un leader palestinien emprisonné depuis 2002.
Alors que l’armée a accepté une nouvelle intervention massive à Gaza, le ministre de la défense et le chef des forces armées israéliens s’opposent sur la stratégie. Le désaccord profond inquiète après la remise en question, depuis deux ans, de hauts fonctionnaires, magistrats et militaires, accusés de manquer de loyauté envers Benyamin Nétanyahou.
Dans une lettre, une centaine d'ONG dénoncent, jeudi, une nouvelle législation israélienne les empêchant d'intervenir à Gaza. Soixante demandes d'aide ont été rejetées pour le seul mois de juillet. C'est le cas si les autorités israéliennes estiment qu'une ONG nie le caractère démocratique d'Israël ou "promeut des campagnes de délégitimation" contre le pays.
L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir "approuvé" le plan pour la prise de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien, dans le cadre d'une nouvelle phase de son offensive destinée à vaincre le Hamas et assurer la libération des otages. Des témoins ont signalé mercredi des frappes aériennes très intenses sur la ville ainsi que la présence de chars israéliens et de fortes explosions dans les quartiers de Tal al-Hawa et Zeitoun, où l'armée démolissait des maisons.
Des dizaines de milliers d'Israéliens ont manifesté ce samedi dans les rues de Tel-Aviv, pour demander la fin de la guerre dans la bande Gaza et dénoncer le plan d'Israël pour la conquête de la ville de Gaza.
« Nous devons faire tout ce qui est humainement possible » pour que cesse « la barbarie » en cours, implore l’auteur dans une tribune au « Monde ». Il en appelle à l’union de tous, « politiques et artistes, progressistes et conservateurs, religieux et laïcs, Israéliens, Européens et Américains ».
Dans la nuit de jeudi à vendredi, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a obtenu l'aval du cabinet de sécurité pour son plan visant à "vaincre le Hamas". L'armée israélienne se prépare donc à "prendre le contrôle de la ville de Gaza".
Le cabinet de sécurité israélien a validé, dans la nuit de jeudi à vendredi, un plan présenté par Benjamin Netanyahu visant à "vaincre" le Hamas et à "prendre le contrôle" de la ville de Gaza, ravagée par la guerre et confrontée à une grave crise humanitaire.
Dix-neuf spécialistes du droit international et de philosophie juridique soulignent, dans un courrier adressé au premier ministre de l’Etat hébreu, que le droit de recourir à la force en état de légitime défense n’« est pas illimité ».
L'armée israélienne devra "exécuter" les décisions politiques sur la guerre dans la bande de Gaza, a affirmé mercredi le ministre de la Défense, au moment où des dissensions s'expriment dans ses rangs face à la perspective d'une occupation totale du territoire palestinien.
Les agences de l’ONU et les ONG ont appelé mercredi les autorités israéliennes à abroger une réglementation menaçant à terme toutes leurs activités humanitaires dans la bande de Gaza et en Cisjordanie occupée, indique un communiqué.
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël ont appelé, lundi, le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza. "Traquer les derniers hauts responsables du Hamas peut être fait plus tard", mais les "otages ne peuvent pas attendre", insistent-ils.