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2025
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a dénoncé lundi une "escalade inquiétante" après les attaques de drones revendiquées par l'Ukraine, qui ont visé vendredi et samedi deux pétroliers en Mer noire, à proximité des côtes turques. "Nous ne pouvons en aucun cas accepter ces attaques qui menacent la sécurité de navigation, l'environnement et la vie dans notre zone économique exclusive", a souligné le chef de l'Etat, dont le pays occupe la rive sud de la Mer noire.
L'Australie et la Turquie ont réussi mercredi à trouver un compromis au sujet de l'organisation de la prochaine COP. Selon un accord qui doit encore être entériné, en novembre 2026, les dizaines de milliers de participants de la conférence climatique de l’ONU vont prendre la direction d’Antalya. La traditionnelle conférence pré-COP aura elle lieu dans le Pacifique, l'Australie réclamant la présidence des négociations.
Afin d’éviter un blocage, le premier ministre australien, Anthony Albanese, qui avait rejeté lundi une offre de co-organisation, affirme que son pays « ne chercher[a] pas à opposer [son] veto » si le choix se porte sur Ankara.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a annoncé mardi se rendre en Turquie mercredi pour tenter de "raviver" des négociations de paix et reprendre les échanges de prisonniers de guerre avec la Russie.
La Turquie est en lice pour accueillir la COP31 en 2026 et elle est prête à la diriger seule si aucun consensus n'est trouvé sur un modèle de coprésidence, a déclaré dimanche à l'AFP une source diplomatique turque.
Après avoir annoncé dimanche 26 octobre sa décision de se retirer de Turquie, le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) se dit désormais prêt à entamer les étapes juridiques et politiques de paix. Le porte-parole du parti d’Erdogan salue de son côté les «progrès réalisés».
La Turquie pourrait jouer un rôle majeur dans la force de stabilisation qui permettra de désarmer le mouvement palestinien, tandis que la France a réuni, à Paris, une conférence sur le « jour d’après ».
Une équipe spéciale menée par les pays médiateurs a été chargée ce jeudi 9 octobre de localiser les corps des otages israéliens à Gaza. Plus tôt ce matin, des membres du Hamas avaient fait état de difficultés pour restituer à temps les dépouilles.
Avec des barrages presque vides et des nappes phréatiques surexploitées, la côte égéenne turque vit une grave crise hydrique. La troisième plus grande ville du pays impose des coupures d’eau aux habitants et les agriculteurs sont contraints de changer de semences.
En recevant jeudi Recep Tayyip Erdogan, Donald Trump s'est dit prêt à lever "presque immédiatement" les sanctions américaines contre le secteur turc de la défense. Il a toutefois demandé à son homologue que la Turquie cesse d'acheter du pétrole à la Russie.
Dans les chantiers navals d’Istanbul, un projet titanesque prend forme sous les yeux du président Erdogan. Le MUGEM, futur porte-avions turc, promet de redessiner la carte des forces navales mondiales d’ici 2030. Avec ses dimensions hors normes et sa technologie révolutionnaire centrée sur les drones de combat, ce mastodonte des mers annonce une nouvelle ère dans la stratégie militaire maritime.
Dans la région agricole de Konya, en Turquie, plusieurs centaines de cratères géants se sont formés en quelques années dans des sols calcaires du fait de l’épuisement des réserves souterraines en eau.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé les États du Golfe, plusieurs pays européens et la Turquie comme hôtes potentiels pour les futurs pourparlers de paix avec la Russie.
L’industrie militaire turque vient de franchir un cap décisif avec la présentation de deux bombes révolutionnaires lors du salon IDEF 2025 d’Istanbul. Ces nouvelles armes, baptisées Gazap et NEB-2 Ghost, redéfinissent les standards de la puissance de frappe conventionnelle et positionnent la Turquie comme un acteur incontournable sur l’échiquier géopolitique mondial. Leur capacité destructrice approche dangereusement celle des armes nucléaires tactiques, soulevant des questions majeures sur l’évolution de la guerre moderne.
La Turquie a connu le mois de juillet le plus chaud depuis 55 ans, a annoncé samedi le ministère turc de l'Environnement. Des températures record ont été enregistrées par 66 stations météorologiques sur 220 à travers le pays, avec une hausse de 1,9°C de la température moyenne par rapport aux années précédentes, a affirmé sur X le ministère. Une température de 50,5°C avait été mesurée fin juillet à Silopi, dans le sud-est de la Turquie, un record absolu à l'échelle du pays, selon les autorités. La localité de Silopi est située dans la province de Sirnak, à moins de 10 km des frontières irakienne et syrienne. Le précédent record national, 49,5°C, avait été mesuré en août 2023 dans la province d'Eskisehir (ouest).
En voulant devenir un acteur incontournable de l'armement mondial, la Turquie a mis au point la bombe non nucléaire la plus puissante du monde. Nommée "Gazap", colère en turc, le ton est donné.
La Turquie bataille toujours lundi 28 juillet contre quatre incendies majeurs, dont celui de Bursa, quatrième ville du pays et vaste site industriel au sud d’Istanbul. Outre Bursa, où le feu fait rage depuis samedi soir, la région de Karabük (nord), la plus boisée du pays, qui abrite la petite ville touristique de Safranbolu, est également touchée.
Quelque 2 300 pompiers et secouristes ont combattu les flammes, dimanche. Plus de 3 500 personnes ont dû être évacuées de la zone. Un autre feu résiste depuis cinq jours dans le nord du pays.
Depuis une semaine, une canicule terrasse la Turquie et la Grèce, et favorise des incendies destructeurs, qui ont déjà ravagé des milliers d’hectares.
Dix-neuf villages ont dû être évacués dans la région de Safranbolu, et plus de 3.500 personnes autour de Bursa.
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