Transition énergétique ?

OA - Liste

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

filtre:
bombe

2025

Nous vivons avec l’espoir qu’une fois les émissions de gaz à effet de serre stoppées, la planète commencera progressivement à se refroidir. Un espoir logique, réconfortant même, qui guide aujourd’hui l’ensemble des politiques climatiques mondiales. Pourtant, des climatologues allemands viennent de publier une étude dans AGU Advances qui ébranle cette certitude rassurante. Leur prédiction est glaçante : l’océan Austral, qui absorbe consciencieusement notre chaleur depuis un siècle, va nous la restituer d’un seul coup, provoquant un nouveau réchauffement climatique durant plus d’un siècle. Et ce, même si l’humanité parvenait à atteindre des émissions nettes négatives.
En début d’année 2025, la Turquie avait dévoilé sa nouvelle bombe baptisée Gazap. Or, celle-ci est tout simplement la bombe non nucléaire la plus puissante du monde. L’objectif du pays était de montrer ses progrès technologiques dans l’industrie de l’armement, au-delà de ses avancées déjà remarquables en matière de drones et de technologies de défense autonome.
Le titre vous semble peut-être exagéré, mais ces prochains jours, nos droits fondamentaux risquent de voler définitivement en éclats. Les ministres européens se réuniront le 10 décembre à Strasbourg pour une conférence interministérielle qui pourrait attaquer le principe de base de notre démocratie : la séparation des pouvoirs. Plus que jamais, la mobilisation est nécessaire.
L’homme est poursuivi pour avoir posé des bombes artisanales devant les sièges des partis républicain et démocrate en janvier 2021. Il s’agit de la première arrestation annoncée en plus de quatre ans dans ce dossier.
En Europe, au moins 28 % des décharges seraient situées en zones inondables. Des dépôts qui polluent les eaux avec des métaux lourds et des microplastiques. Reporterre a enquêté avec The Guardian, Investigate Europe et Watershed Investigations sur ce risque écologique et sanitaire majeur.
Le poison caché dans nos assiettes : pourquoi le cadmium fait peur Difficile de soupçonner qu’un simple produit de base puisse contenir une substance potentiellement dangereuse. Pourtant, le cadmium, ce métal lourd peu connu du grand public, est partout pointé du doigt. Invisible, sans goût ni odeur, il s’infiltre dans certains aliments courants et s’accumule insidieusement dans notre organisme.
Pendant que vous faites vos courses hebdomadaires, une transformation silencieuse s’opère dans les rayons des supermarchés du monde entier. Les plats mijotés, les légumes frais et les recettes traditionnelles cèdent progressivement leur place à des produits ultra-transformés emballés aux couleurs vives, promettant gain de temps et praticité. Mais derrière cette révolution alimentaire se cache une réalité inquiétante que 43 experts internationaux viennent de documenter dans une série d’articles explosifs publiés par The Lancet. Leur verdict est sans appel : nous assistons à une crise sanitaire mondiale orchestrée par une industrie qui place ses profits avant notre santé.
Il s'agit de bombes planantes, des armes guidées bon marché, mais très destructrices.
Alors que les citoyens du monde entier s’efforcent de réduire leur empreinte carbone, qu’ils renoncent à la voiture, limitent leur consommation de viande et investissent dans des panneaux solaires, un rapport publié lundi par plusieurs ONG révèle une réalité glaçante : depuis 2021, vingt-huit méga-projets d’extraction d’énergies fossiles ont été lancés dans le monde. Chacun d’eux générera plus d’un milliard de tonnes de CO2. Bienvenue dans l’ère des bombes carbone.
Des données inédites révèlent que des projets d’exploitation déjà planifiés à travers la planète sont susceptibles de rejeter à eux seuls des quantités de CO₂ largement supérieures au budget carbone restant à l’humanité pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde. Les organisations autrices du nouveau décompte (Lingo, Data for Good, Reclaim Finance, Eclaircies) estiment que 28 projets de ce type ont démarré entre 2021 et 2025, et 12 ont été annulés. Leur décompte total est de 601, dont 365 projets dont les émissions sont encore évaluées à plus d'1 milliard de tonnes. La différence est due aux projets ayant été consommés ou réévalués. Leur analyse se fonde sur des bases de données des secteurs énergétiques et financiers.
À deux semaines de la conférence mondiale sur le climat au Brésil, un consortium d’ONG publie de nouvelles données sur les «bombes carbone», ces projets d’extraction fossile qui pourraient générer des quantités faramineuses de CO2 sur l'ensemble de leur durée de vie. Pétrole, gaz, charbon : les associations ont recensé 601 mégaprojets.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde.
Les nouveaux projets miniers, pétroliers et gaziers risquent d’émettre 11 fois plus de carbone que la limite à ne pas dépasser pour maintenir le réchauffement à 1,5 °C, selon les données compilées par quatre associations.
Le monde compte désormais 600 bombes carbone et plus de 2 300 projets fossiles, selon l'actualisation de la carte carbonbombs publiée ce lundi 27 octobre par quatre associations, dont Data for Good et Reclaim Finance. Une tendance à la hausse alors que le scénario 1,5°C de l'Accord de Paris impose la fin de tout nouveau projet fossile depuis 2021.
TotalEnergies s’apprête à relancer une « bombe carbone ». Quatre ans après avoir suspendu un mégaprojet de gaz naturel liquéfié au Mozambique, le groupe français a annoncé samedi 25 octobre avoir levé l’état de « force majeure » pesant sur le chantier. Pour redémarrer, celui-ci ne doit plus qu’avoir le feu vert du gouvernement mozambicain.
En cause : deux sous-marins nucléaires russes qui ont coulé il y a déjà longtemps mais qui alarment aujourd'hui les experts.
"Une bombe à retardement": pour Ika Paul-Pont, écotoxicologue au Laboratoire des sciences de l'environnement marin (Lemar), entre sa "production exponentielle", "l'absence de gestion de fin de vie des déchets" et "sa haute toxicité", le plastique fait peser de gros risques sur l'environnement et les écosystèmes marins. "Nous ne mesurons pas encore l'étendue des dégâts de ce matériau et de sa toxicité, liée à ses composants chimiques, une boîte noire, avec 16.000 additifs dont environ un quart sont considérés comme préoccupants", développe auprès de l'AFP la directrice de recherche au CNRS qui, depuis 12 ans, étudie au sein de l'université de Brest les effets du plastique sur les invertébrés marins, et plus spécialement les mollusques bivalves comme les huîtres. "Quand nous avons commencé il y a une quinzaine d'années, nous pensions que c'était un matériau assez simple, que le seul problème était l'ingestion ou l'étranglement mais plus on l'étudie et plus on se rend compte de sa complexit
Le développement de la bombe et de l’énergie atomiques, souvent associé à la Seconde Guerre mondiale et au projet Manhattan, n’aurait jamais pu advenir sans les travaux réalisés en Europe avant le début du conflit –  notamment ceux portés en France par Irène et Frédéric Joliot-Curie.
Le groupe Anti-tech Résistance développe sa notoriété dans le milieu écologiste grâce à une communication tapageuse. Son idéologie lui attire l’hostilité d’une large part du mouvement social, qui la qualifie de réactionnaire.



Listing généré avec