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Grok
2025
Il s'appelle Grok et fait couler beaucoup d'encre aux Etats-Unis. Le ministère de la défense américain va en effet travailler avec ce chatbot de l'intelligence artificielle xAI, détenue par Elon Musk. Un choix qui fait polémique alors que Grok a été épinglé pour ses biais racistes et antisémites.
Elon Musk défie la domination de ChatGPT avec sa propre intelligence artificielle : Grok. Avec un style provocateur et un « humour rebelle », la nouvelle IA de Musk promet d’être un grand rival de ChatGPT et est directement intégrée à X (anciennement Twitter), la plateforme qu’il contrôle depuis 2022.Grok n’est pas simplement un autre chatbot : c’est le pari personnel de Musk pour redéfinir la manière dont nous interagissons avec l’intelligence artificielle. Disponible pour les abonnés Premium+ de X, ce modèle a été conçu pour offrir des réponses plus audacieuses, moins politiquement correctes et avec des informations actualisées en temps réel. Selon Musk lui-même, son IA « ne permettra pas la censure politiquement correcte », un slogan qui vise à attirer ceux qui se plaignent des filtres des modèles concurrents comme ChatGPT.
Après une mise à jour visant à le rendre plus « politiquement incorrect », le chatbot, qui répond aux questions des utilisateurs de X, a déraillé. L’entreprise a rétropédalé.
Grok, le logiciel d'intelligence artificielle d'Elon Musk, a dérapé ces derniers jours en émettant une tirade antisémite. Il a notamment indiqué qu'Hitler pourrait régler le problème migratoire aux Etats-Unis. Cette publication étrange est survenue après une mise à jour voulue par M. Musk destinée à ne pas éliminer systématiquement tous les contenus politiquement incorrects.
De plus en plus d’internautes ont le réflexe de se tourner vers l’IA pour trancher un débat sur les réseaux sociaux. Mais ces modèles, qui n’ont pas été conçus pour ça, peuvent inventer des faits de toutes pièces. Même Perplexity, présenté comme plus fiable, peut être victime «d’hallucinations».
Mercredi 14 mai, durant quelques heures, Grok, l’agent conversationnel du réseau social X, a fait montre d’une étrange obsession. Dans ses réponses, l’intelligence artificielle (IA) propriété d’Elon Musk a évoqué répétitivement la thèse d’un « génocide blanc » en Afrique du Sud, même lorsqu’on l’interrogeait sur tout autre chose – comme sur le salaire d’un joueur de baseball, ou la méthode pour changer de logiciel.
Digne d’un épisode de Black Mirror, une nouvelle tendance aux allures dystopiques se pointe sur le réseau X ce début de semaine : des utilisateurs demandent à Grok, l’IA générative d’Elon Musk, de déshabiller les femmes sur leurs publications.
Pour la première fois, une intelligence artificielle a rédigé une étude qui nie le rôle des activités humaines dans le réchauffement climatique, suscitant l'enthousiasme des climatosceptiques sur les réseaux sociaux. Grok, c’est son nom, explique avoir été influencée par ses co-auteurs… eux-mêmes climatodénialistes.
Grok 3 surpasse les autres en termes de raisonnement, de résolution de problèmes et d'efficacité dans le traitement des données.
2024
Intégrée à l’écosystème de X pour les abonnés à la fonctionnalité «Premium» du réseau social, la technologie est présentée comme «antiwoke» par l’homme d’affaires américain, dans une rupture idéologique avec ChatGPT.