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Moscou
2025
Lors des dernières négociations en juin, la Russie avait présenté des exigences maximales, incluant notamment la cession par l’Ukraine de quatre régions en plus de la Crimée annexée en 2014. L’Ukraine avait rejeté ce qu’elle avait qualifié d’«ultimatums».
La Russie a intercepté une nouvelle vague d'attaques de drones ukrainiens ciblant Moscou et plusieurs régions frontalières durant la nuit dernière.
Le président Zelensky s’est dit toujours prêt ce samedi 19 juillet à négocier directement avec Vladimir Poutine après des négociations qui ont échoué en juin.
Le président américain a annoncé, lundi 14 juillet, la fourniture d’équipements militaires à l’armée ukrainienne, en passant par les alliés européens, et menacé les partenaires commerciaux de la Russie d’une surtaxe douanière de 100 %, si aucun accord de cessez-le-feu n’était trouvé dans les cinquante prochains jours.
Au lendemain de son dernier échange avec le président russe concernant la guerre en Ukraine, le locataire de la Maison Blanche a concédé vendredi 4 juillet au soir que la situation est «très difficile».
Sabotages, incendies suspects et câbles sectionnés en mer Baltique : les opérations clandestines imputées à Moscou se multiplient à travers l'Europe. Plusieurs gouvernements tirent la sonnette d'alarme, mais une riposte commune peine à émerger.
Le père d'Elon Musk s'est rendu à Moscou pour assister au "Forum du futur 2050", organisé par l'Institut Tsargrad.
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.
La Russie a dénoncé jeudi les attaques israéliennes dans la bande de Gaza comme une "punition collective de la population civile", en appelant à mettre fin "immédiatement à l'effusion de sang".
Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.