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pourparlers
2025
Lors des dernières négociations en juin, la Russie avait présenté des exigences maximales, incluant notamment la cession par l’Ukraine de quatre régions en plus de la Crimée annexée en 2014. L’Ukraine avait rejeté ce qu’elle avait qualifié d’«ultimatums».
Le président Zelensky s’est dit toujours prêt ce samedi 19 juillet à négocier directement avec Vladimir Poutine après des négociations qui ont échoué en juin.
La délégation ukrainienne est arrivée lundi matin à Istanbul pour une seconde session de pourparlers avec les émissaires russes, au lendemain de l'une des attaques ukrainiennes les plus audacieuses et réussies jamais menées sur le sol russe.
L'Ukraine se dit prête à participer à de nouveaux pourparlers avec la Russie, prévus lundi à Istanbul, mais exige un document précisant les conditions de Moscou pour une paix durable. Un premier cycle de négociations, tenu le 16 mai sous pression américaine, n'avait pas abouti.
Le Kremlin a écarté ce vendredi 30 mai l’hypothèse d’une rencontre Poutine-Zelensky-Trump, sous l’égide du Turc Erdogan, conditionnant tout sommet de ce type à l’obtention de «résultats» dans les négociations avec Kyiv.
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a fait part mardi de son scepticisme quant à l'issue des pourparlers en cours sur le nucléaire entre l'Iran et les États-Unis. "Nous ne pensons pas que [les pourparlers actuels] aboutiront à quelque résultat que ce soit", a déclaré lors d'un discours à Téhéran l'ayatollah Ali Khamenei, ajoutant que nier le droit de l'Iran à enrichir de l'uranium était "une grosse erreur".
Des délégations russe et ukrainienne sont attendues jeudi à Istanbul, en Turquie, pour y mener leurs premiers pourparlers directs depuis le printemps 2022, bien que les modalités de cette rencontre, à laquelle le président russe Vladimir Poutine a refusé de participer, restent peu claires à ce stade.
Kiev et ses alliés européens et américains se réunissent, mercredi, au Royaume-Uni, dans l’espoir d’obtenir « une réponse claire » de la Russie en faveur d’un « cessez-le-feu sans conditions ». Des discussions qui s’annoncent difficiles.
"Je pense que davantage de progrès doivent être effectués au niveau technique" avant de pouvoir passer à l'étape suivante, a-t-il déclaré en réponse à une question lors d'un point presse. "Il y a beaucoup de travail qui doit être fait avec les deux parties, en particulier avec la partie russe", a-t-il souligné
La Russie a salué mardi un "dialogue utile" avec Washington, affichant le souhait qu'il se poursuive avec l'implication de l'ONU, après douze heures de pourparlers la veille à huis clos en Arabie saoudite sur une possible trêve en Ukraine.