Transition énergétique ?

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2025

La pollution de l'air n'endommage pas seulement les poumons, de plus en plus de recherches montrent qu'elle pourrait aussi fragiliser le cerveau. Une nouvelle étude met en évidence un lien direct entre les particules fines et la démence à corps de Lewy, une forme encore méconnue de maladie neurodégénérative. À Bruxelles, malgré des progrès notables, les niveaux de pollution restent préoccupants pour la santé publique.
La pollution atmosphérique est un véritable fléau, faisant plusieurs centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. En France, des chercheurs proposent d’explorer un nouvel indice pour mesurer ce type de pollution. Il s’agit du « potentiel oxydant », permettant de définir les dommages causés par les particules fines.
Les résultats d’une étude publiée par l’ONG Greenpeace sont pour le moins surprenants. Les taux de particules fines enregistrés dans et autour de la forêt amazonienne sont plus élevés que dans de certaines mégalopoles comme Londres ou Pékin. Principal responsable ? Les feux de forêt allumés par la chaîne d’approvisionnement de l’industrie de la viande.
Convivial, écolo et moins cher : le chauffage au bois a le vent en poupe. Mais sa généralisation à l’échelle du territoire ne serait pas sans risque, entre émissions de particules fines dangereuses pour la santé et effet rebond, explique Simon Mathex de l'INRAE.
Alors que la 50e édition du salon EquipAuto, salon international des pros de l’automobile, s’ouvre à Paris ce 14 octobre, penchons-nous sur l’autre problème de pollution, grandissant, posé par toutes les voitures, même électriques : les émissions hors échappement, dues à l’usure des freins, des pneus et de la chaussée. La question est indépendante de l’enjeu de réduire les émissions à l’échappement des voitures neuves, qui ont déjà fortement diminué du fait des progrès techniques. Une norme européenne, qui doit entrer en vigueur en 2026, entend les réduire, mais sa mise en œuvre pourrait ne pas livrer les effets escomptés.
Le docteur Clémence Rose est chargée de recherche CNRS au Laboratoire de météorologie physique depuis 2018. Elle étudie les plus fines particules qui composent notre atmosphère et ses travaux ont été salués par le CNRS, qui lui a décerné cette année la médaille de bronze.
Dans la capitale, les niveaux de ces particules de la taille d’un virus, sont deux à trois fois plus élevés sur les grandes artères que dans les quartiers préservés des voitures, alerte un nouveau rapport d’AirParif ce vendredi 20 juin.
Small particulate matter (PM2.5) in air pollution raises the risks of respiratory problems, cardiovascular disease, and even cognitive decline. Heat waves, which are occurring more often with climate change, can cause heatstroke and exacerbate conditions such as asthma and diabetes. When heat and pollution coincide, they can create a deadly combination.
Selon une étude sur la qualité de l'air publiée mardi 11 mars par l'entreprise suisse IQAir, avec le soutien de Greenpeace, seulement 17% des villes étudiées dans 138 pays avaient en 2024 un air qui respectait les recommandations de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) en termes de particules fines (PM2,5). C'est mieux que les 9% de 2023, mais un air pur reste une denrée rare.
Les seuils de pollution de l’air préconisés par l’OMS sont dépassés dans la quasi-totalité des pays, dont la France, d’après une étude d’IQAir. Seuls 12 territoires sur 138 évalués ne dépassent pas les normes de particules fines.



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