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manifestation
2025
Entre 1 000 et 2 000 personnes étaient présentes au rassemblement interdit contre l’autoroute entre Castres et Toulouse, pour lequel 1 500 gendarmes et policiers avaient été mobilisés. Après des jets d’objets divers par certains manifestants, le face-à-face a été tendu mais le bilan reste limité.
Ce samedi 14 juin, date d’anniversaire de Donald Trump, tandis que les partisans du président célébraient le "Trump Day", un événement devenu rituel dans certains cercles conservateurs, ce sont plus de 2000 manifestations anti-Trump qui ont également été organisées à travers le pays sous la bannière "No King". En tout, près d’un million de personnes ont répondu à l’appel, selon les estimations des autorités locales. Parmi les slogans classiques et messages de protestation, un détail a rapidement attiré l’attention des observateurs : une suite énigmatique de chiffres, "8 6 4 7", largement reprise sur des pancartes, bannières et publications en ligne.
A Los Angeles, New York ou Atlanta, des milliers de manifestations étaient organisées ce samedi 14 juin pour protester contre «la militarisation de la démocratie» par Donald Trump. Des défilés massifs et essentiellement pacifiques, malgré de rares incidents.
Des millions de personnes se sont rassemblées à travers le pays pour dénoncer les dérives autoritaires du président américain. Pendant ce temps-là, à Washington, le républicain assistait au défilé militaire qu’il avait organisé.
Alors que des manifestations ont lieu à Los Angeles depuis le 6 juin en réponse à une vague d’arrestations de migrants par les services d’immigrations américains, les outils d’intelligence artificielle sont détournés de leur usage normal pour produire des contenus trompeurs. Fausse vidéo créée par IA, erreur de vérification d’images, l’intelligence artificielle nourrit la désinformation sur les manifestations.
La situation restait tendue dans la nuit de dimanche à lundi à Los Angeles après trois jours d'affrontements entre forces de l'ordre et manifestants contre la politique migratoire de Donald Trump, qui affirme que la situation ne cesse de se détériorer dans la mégalopole démocrate et demande l'envoi des troupes.
Plusieurs centaines de militaires des Marines, un corps d'active de l'armée américaine, "vont être déployés à Los Angeles", a indiqué à l'AFP un haut responsable américain, marquant un nouveau durcissement de la réponse fédérale aux heurts survenus dans la grande ville californienne.
Alors que la tension monte à Los Angeles, où la police de l'immigration a mené des raids samedi, le président américain Donald Trump, jugeant que les autorités locales laissaient prospérer l'"anarchie", a déployé 2 000 membres de la Garde nationale. Le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, dénonce une décision "volontairement incendiaire".
Un homme aurait utilisé un lance-flammes artisanal et un engin incendiaire pour brûler des manifestants, rassemblés dimanche 1er juin dans la ville de Boulder.
À Paris, comme dans treize villes européenne était organisée une manifestation d'Israéliens réclamant l'interruption de la guerre à Gaza. L'historien et ex-ambassadeur Elie Barnavi a pris part à la mobilisation, dénonçant une "folie". "Nous avons la responsabilité de mettre fin à ce génocide", a souligné sur France 24 l'une des organisatrices du rassemblement.