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Le dernier Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) du Tourisme réalisé par l'ADEME en France tirait la sonnette d'alarme. Selon les chercheurs, l’impact environnemental du tourisme n’a pas seulement augmenté entre 2009 et 2019, mais il s’est fait à un rythme plus de deux fois supérieur à celui de l’économie mondiale. Le technosolutionnisme permet à peine de limiter la casse...
Ce nouvel objectif est l’axe central de la nouvelle contribution que le Royaume-Uni, comme les autres pays signataires de l’accord de Paris sur le climat de 2015, doit déposer à l’ONU d’ici à février. Auparavant le pays s’était engagé à réduire ses émissions de 68 % d’ici à 2030.
Le Brésil a augmenté son objectif de réduction des gaz à effet de serre de 59 % à 67 % d'ici à 2035, a annoncé le gouvernement du président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva.La nouvelle "contribution déterminée au niveau national" (CDN) du Brésil, basée sur les niveaux de 2005, tente de s'aligner sur les engagements de l'Accord de Paris sur le changement climatique, selon une note officielle publiée vendredi soir.
Le ministère français de la Transition écologique a confirmé lundi son objectif de réduire de moitié les émissions brutes de gaz à effet de serre de la France d'ici 2030 par rapport à 1990. La part des énergies fossiles doit baisser tandis que celle de l'électricité doit augmenter, notamment grâce à la construction de réacteurs nucléaires de nouvelle génération.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.
La Commission européenne s'est réjouie jeudi d'une baisse des émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3% en 2023 dans l'UE, par rapport à l'année précédente, grâce au développement des énergies renouvelables.Un niveau d'émissions inférieur de 37% au niveau de 1990"Il s'agit de la plus forte baisse annuelle depuis des décennies, à l'exception de 2020, lorsque le Covid-19 a entraîné une réduction des émissions de 9,8%", souligne Bruxelles dans un communiqué.
La Commission européenne s’est réjouie jeudi 31 octobre d’une baisse des émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3 % en 2023 dans l’UE, par rapport à l’année précédente, grâce au développement des énergies renouvelables.
"Une autre année. Un autre record…". Les gaz à effet de serre continuent d’atteindre des sommets, laissant un bilan qui, sans changements radicaux, pourrait bien rendre les objectifs climatiques inaccessibles, indique le dernier bulletin de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux décennies.
Dans un rapport publié ce lundi, l’ONU alerte sur de nouvelle augmentations qui entraîneront immanquablement des hausses de température ces prochaines années. Nous éloignant encore de l’objectif de limiter le réchauffement à +2°C.
L'ONU a tiré l'alarme lundi sur la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre, à deux semaines de l'ouverture de la COP29. Ces engagements mènent à seulement 2,6 % de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43 % préconisés.
L'Organisation mondiale de la météorologie (OMM) publie ce lundi 28 octobre son relevé annuel des différents gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère. Si le CO2 pèse pour 65 % dans le réchauffement climatique, le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O) sont également impliqués dans le réchauffement planétaire. Un autre rapport de l'ONU-Climat demande aux pays d'augmenter l'ambition de leurs plans climat pour s'aligner sur la trajectoire climatique de l'Accord de Paris.
Selon le document, publié à moins d'un mois de la COP29, les politiques de réduction des émissions mises en place par les pays entraîneraient un réchauffement "catastrophique" de 3,1°C au cours du siècle.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.
L'indice des gaz à effet de serre, qui est dominé par le CO2 à hauteur de 86%, a reculé de 4% en Belgique en 2022,...


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gaz à effet de serre

décembre 2024

Le dernier Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) du Tourisme réalisé par l'ADEME en France tirait la sonnette d'alarme. Selon les chercheurs, l’impact environnemental du tourisme n’a pas seulement augmenté entre 2009 et 2019, mais il s’est fait à un rythme plus de deux fois supérieur à celui de l’économie mondiale. Le technosolutionnisme permet à peine de limiter la casse...

novembre 2024

Ce nouvel objectif est l’axe central de la nouvelle contribution que le Royaume-Uni, comme les autres pays signataires de l’accord de Paris sur le climat de 2015, doit déposer à l’ONU d’ici à février. Auparavant le pays s’était engagé à réduire ses émissions de 68 % d’ici à 2030.
Le Brésil a augmenté son objectif de réduction des gaz à effet de serre de 59 % à 67 % d'ici à 2035, a annoncé le gouvernement du président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva.La nouvelle "contribution déterminée au niveau national" (CDN) du Brésil, basée sur les niveaux de 2005, tente de s'aligner sur les engagements de l'Accord de Paris sur le changement climatique, selon une note officielle publiée vendredi soir.
Le ministère français de la Transition écologique a confirmé lundi son objectif de réduire de moitié les émissions brutes de gaz à effet de serre de la France d'ici 2030 par rapport à 1990. La part des énergies fossiles doit baisser tandis que celle de l'électricité doit augmenter, notamment grâce à la construction de réacteurs nucléaires de nouvelle génération.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.

octobre 2024

La Commission européenne s'est réjouie jeudi d'une baisse des émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3% en 2023 dans l'UE, par rapport à l'année précédente, grâce au développement des énergies renouvelables.Un niveau d'émissions inférieur de 37% au niveau de 1990"Il s'agit de la plus forte baisse annuelle depuis des décennies, à l'exception de 2020, lorsque le Covid-19 a entraîné une réduction des émissions de 9,8%", souligne Bruxelles dans un communiqué.
La Commission européenne s’est réjouie jeudi 31 octobre d’une baisse des émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3 % en 2023 dans l’UE, par rapport à l’année précédente, grâce au développement des énergies renouvelables.
"Une autre année. Un autre record…". Les gaz à effet de serre continuent d’atteindre des sommets, laissant un bilan qui, sans changements radicaux, pourrait bien rendre les objectifs climatiques inaccessibles, indique le dernier bulletin de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux décennies.
Dans un rapport publié ce lundi, l’ONU alerte sur de nouvelle augmentations qui entraîneront immanquablement des hausses de température ces prochaines années. Nous éloignant encore de l’objectif de limiter le réchauffement à +2°C.
L'ONU a tiré l'alarme lundi sur la trajectoire des émissions de gaz à effet de serre, à deux semaines de l'ouverture de la COP29. Ces engagements mènent à seulement 2,6 % de baisse des émissions mondiales de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 2019, au lieu des 43 % préconisés.
L'Organisation mondiale de la météorologie (OMM) publie ce lundi 28 octobre son relevé annuel des différents gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère. Si le CO2 pèse pour 65 % dans le réchauffement climatique, le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O) sont également impliqués dans le réchauffement planétaire. Un autre rapport de l'ONU-Climat demande aux pays d'augmenter l'ambition de leurs plans climat pour s'aligner sur la trajectoire climatique de l'Accord de Paris.
Selon le document, publié à moins d'un mois de la COP29, les politiques de réduction des émissions mises en place par les pays entraîneraient un réchauffement "catastrophique" de 3,1°C au cours du siècle.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.

septembre 2024

L'indice des gaz à effet de serre, qui est dominé par le CO2 à hauteur de 86%, a reculé de 4% en Belgique en 2022,...